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modem routeur ECHO LIFE 520b


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J’ai un abonnement ADSL chez EASY avec un modem routeur ECHO LIFE 520b. ce modem fonctionne avec mon ordinateur portable aussi bien en WiFi que par le câble Ethernet.

Mais Je ne suis jamais arrivé à connecter mon ordinateur fixe (Windows XP SP 3 carte réseau Atheros AR 8132 PCI E fast Ethernet) sur l’Internet par ce routeur. Bien que la connexion au réseau local soit activée.

Quelqu’un a-t-il eu un problème semblable ?

Y a-t-il un réglage que je n’ai pas su faire ?

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Merci pour vos réponses.

Les mesages affichés :

« le réseau local est maintenant connecté 100 Mbit / seconde»

Mais la connexion ne marche pas il ne m’envoie pas sur Easy. Il cherche toujours à faire la connexion d’accès à distance par le modem RTC que j’utilisais avant = impossible d’ouvrir quelque page Web que ce soit.

« la page web n'est pas disponible hors connexion »

Voici le Diagnostic du réseau pour Windows XP

Heure de la dernière exécution du diagnostic : 05/13/10 05:29:07

Diagnostic de la passerelle

Passerelle

 

info

La configuration de proxy suivante est utilisée par IE : Détecter automatiquement les paramètres :Désactivé Script de configuration automatique : Serveur proxy : Liste d'exceptions de proxys :

info

Cet ordinateur possède l'entrée ou les entrées de passerelle suivantes : 0.0.0.0

warn

Il n'existe pas d'entrée de passerelle par défaut

action

Réparation automatique : Rétablir la connexion réseau

action

Désactivation de la carte réseau

action

Activation de la carte réseau

info

Activation de la carte réseau réussie

info

Cet ordinateur possède l'entrée ou les entrées de passerelle suivantes : 0.0.0.0

warn

Il n'existe pas d'entrée de passerelle par défaut

info

Redirection de l'utilisateur vers l'appel d'aide

 

 

 

Diagnostic de la couche IP

Table de routage IP endommagée

 

warn

Le itinéraire par défaut est manquant ou non valide

 

Entrées de la mémoire cache ARP non valides

 

action

La mémoire cache ARP a été vidée

 

 

 

Diagnostic de la configuration IP

Adresse IP non valide

 

info

Adresse IP valide détectée : 192.168.1.4

 

 

 

Diagnostic sans fil

Sans fil - Service désactivé

 

 

Sans fil - SSID d'utilisateur

 

 

Sans fil - Premier paramétrage

 

 

Sans fil - Antenne éteinte

 

 

Sans fil - Hors de portée

 

 

Sans fil - Problème matériel

 

 

Sans fil - Utilisateur novice

 

 

Sans fil - Réseau ad hoc

 

 

Sans fil - Moins favoris

 

 

Sans fil - 802.1x activé

 

 

Sans fil - Incompatibilité de configuration

 

 

Sans fil - Rapport signal-bruit faible

 

 

 

 

Diagnostic WinSock

État WinSock

 

info

Toutes les entrées de fournisseur de service de base sont présentes dans le catalogue Winsock.

info

Les chaînes du fournisseur de service Winsock sont valides.

info

L'entrée de fournisseur MSAFD Tcpip [TCP/IP] a réussi le test de communication de bouclage.

info

L'entrée de fournisseur MSAFD Tcpip [uDP/IP] a réussi le test de communication de bouclage.

info

L'entrée de fournisseur RSVP UDP Service Provider a réussi le test de communication de bouclage.

info

L'entrée de fournisseur RSVP TCP Service Provider a réussi le test de communication de bouclage.

info

L'entrée de fournisseur MSAFD Tcpip [TCP/IPv6] a réussi le test de communication de bouclage.

info

L'entrée de fournisseur MSAFD Tcpip [uDP/IPv6] a réussi le test de communication de bouclage.

info

La connectivité est valide pour tous les fournisseurs de service Winsock.

 

 

 

Diagnostic de la carte réseau

Détection de l'emplacement réseau

 

info

Utilisation d'une connexion Internet à domicile

 

Identification de la carte réseau

 

info

Connexion réseau : Nom=Connexion au réseau local, périphérique=Atheros AR8132 PCI-E Fast Ethernet Controller, type de support=Réseau local, sous-type de support=Réseau local

info

Connexion Ethernet sélectionnée

 

État de la carte réseau

 

info

État de la connexion réseau : Connecté

 

 

 

Diagnostic HTTP, HT***, FTP

Connectivité HTTP, HT***, FTP

 

warn

HTTP: Erreur 12007 lors de la connexion à www.microsoft.com : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

warn

HT***: Erreur 12007 lors de la connexion à www.microsoft.com : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

warn

FTP (passif): Erreur 12007 lors de la connexion à ftp.microsoft.com : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

warn

HTTP: Erreur 12007 lors de la connexion à www.hotmail.com : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

warn

HT***: Erreur 12007 lors de la connexion à www.passport.net : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

warn

FTP (actif): Erreur 12007 lors de la connexion à ftp.microsoft.com : L'adresse ou le nom de serveur n'a pas pu être résolu

error

Impossible d'établir une connexion HTTP.

error

Impossible d'établir une connexion HT***.

error

Impossible d'établir une connexion FTP.

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essaie d'abord de faire cela : ouvrir explorer internet ----------------- outils ------------------------option internet-------------connexion, et dans la boite de dialoguée "option de numérotation....." tu trouveras logiquement la connexion RTC , par défaut , donc sur le coté droit, tu clique sur supprimer.....normalement ça doit marcher.

 

en fait,ton reseau internet est est configuré à utiliser la connexion RTC par défaut.

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Cher democfr1

Merci pour tes conseils mais….

Quand je supprime le modem RTC dans les options du navigateur Internet, il n’y a plus rien d’autre et en grisé se trouve la mention « ne jamais établir de connexion » !

C'est comme si le navigateur Internet n’était pas au courant de l’existence de la connexion au réseau local, laquelle est bel et bien affichée sous « connexions réseau » (mais avec des nombres d’octets qui sont toujours les mêmes et semblent tout à fait arbitraires (pas d’augmentation régulière : envoyés : 640 octets puis subitement 1280 ; reçus : 5910 …)

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Re

 

Est ce que t'as lancé un diagnostique pour voir l'état de ta carte réseau, j'ai remarqué ça dans ton post "Diagnostic de la couche IP

Table de routage IP endommagée "

 

essaie quand même de faire un ping sur ton routeur avec un Tiret de 6

1273960977679.jpg

 

pour voir l'état de la connectivité de ta carte réseau, pour ensuite passer à autre chose.Au passage tu peux aussi vider la cache...................... Exécuter > ipconfig /flushdns

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le ping , il permet d'envoyer une requête ou des requêtes d'un ordinateur à un autre , et si l'ordinateur distant ne répond pas , il se peut qu'on peut pas communiquer avec elle ( envoi et réception ) d'où le problème de ta carte réseau que t'as mentionné en haut de la page ( envoyés : 640 octets puis subitement 1280 ; reçus : 5910 …).

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    • @dzgeek123 Je viens de comprendre qu'ils ont fait cela que pour monter dans le classement d'Ookla les saligauds. 
    • Je vais essayer sur mon pc et je te tiens au courant 
    • Merci @wosiris sur smartphone ça fonctionne aussi chez moi mais pas sur pc avec Firefox et Opera
    • Très mauvaise nouvelle les amis… Des chercheurs polonais viennent de péter la sécurité des eSIM et ça fait froid dans le dos puisqu’on parle de 2 milliards de puces compromises qui permettent de cloner votre carte SIM à distance. L’équipe de Security Explorations, un labo de recherche en sécurité basé en Pologne, vient en effet de publier leurs trouvailles et c’est pas joli joli puisqu’ils ont réussi à exploiter une vulnérabilité dans les puces eSIM de Kigen, un des plus gros fournisseurs du marché.   https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo1.mp4   Ce qu’ils ont réussi à faire c’est à cloner complètement un profil eSIM d’Orange Pologne. Résultat, tous les appels et les SMS arrivaient sur leur téléphone pirate au lieu du téléphone légitime. Imaginez maintenant 2 secondes si ça vous arrive avec votre code de validation bancaire ou votre double authentification… Ce serait la grosse mierda, donc pensez toujours bien à passer par une app de double authentification plutôt qu’un SMS. Mais comment ils ont fait ? Alors accrochez-vous car c’est technique mais je vais essayer de vulgariser au max. Le problème vient d’une “confusion de type” dans l’implémentation Java Card d’Oracle. En gros, la machine virtuelle Java Card ne vérifie pas correctement le bytecode et ça permet d’exécuter du code malveillant. C’est un peu comme si un policier vérifiait juste que vous avez bien le permis, sans regarder si c’est vraiment la vôtre. https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo2.mp4   D’ailleurs, c’est assez ironique parce qu’Oracle avait déjà été prévenu de ce type de vulnérabilité en 2019. À l’époque, ils avaient répondu que c’était juste des “préoccupations de sécurité” qui n’affectaient pas leur produit en production. Bah visiblement, si. Pour exploiter la faille, il faut d’abord un accès physique temporaire au téléphone cible. L’attaquant extrait alors une clé cryptographique qui lui permet ensuite d’installer une application Java Card malveillante. Et là, c’est open bar : extraction des profils eSIM, des clés d’authentification OPc, du champ AMF… Bref, tout ce qu’il faut pour cloner parfaitement la carte SIM. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’une fois cette clé en poche, l’attaquant peut théoriquement faire ses manipulations à distance via le protocole SMS-PP OTA (Over-The-Air). En clair, plus besoin d’avoir le téléphone entre les mains, un simple SMS suffit. Les chercheurs ont même poussé le vice jusqu’à installer des backdoors indétectables sur les puces eSIM. Genre vraiment indétectables, même pour les opérateurs. Et cerise sur le gâteau, ils peuvent aussi “bricker” (rendre inutilisable) l’eSIM à distance si l’envie leur prend. Alors évidemment, Kigen n’est pas resté les bras croisés. Ils ont versé une récompense de 30 000 dollars aux chercheurs (ce qui est plutôt classe) et ont distribué des patches à “des millions” d’eSIM, mais bon, vu qu’on parle de 2 milliards de puces potentiellement affectées, y’a encore du boulot. La GSMA (l’association qui regroupe les opérateurs mobiles) a aussi réagi en mettant à jour les spécifications de sécurité et en fermant tous les profils de test utilisés par les chercheurs pour leurs expériences. Ce qui est vraiment inquiétant, c’est que cette vulnérabilité affecte des puces certifiées EAL4+… Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est censé être un niveau de sécurité béton, utilisé pour des trucs critiques, c’est à dire des puces Infineon SLC37 basées sur des processeurs ARM SecurCore SC300 32 bits. Du matos sérieux quoi. Et le pire, c’est que les chercheurs pensent que d’autres fabricants d’eSIM pourraient être vulnérables aux mêmes attaques. Ils se sont concentrés sur Kigen parce qu’il fallait bien commencer quelque part, mais vu que beaucoup utilisent la technologie Java Card d’Oracle… D’ailleurs, petite anecdote marrante (enfin, si on peut dire) : Kigen a évalué la vulnérabilité avec un score CVSS de 6.7 (moyen), alors que les chercheurs estiment qu’elle mérite un 9.1 (critique). C’est un peu comme dire qu’avoir une fuite de gaz dans votre maison, c’est “moyennement dangereux”. Pour les plus techniques d’entre vous, voici ce que les attaquants peuvent récupérer une fois l’eSIM compromise : Les profils eSIM complets de n’importe quel opérateur (AT&T, Vodafone, O2, Orange, China Mobile, T-Mobile…) Les clés secrètes OPc utilisées pour l’authentification réseau Le champ AMF (Authentication Management Field) Les certificats d’identité eUICC Et bien sûr, la possibilité de rediriger tous les appels et SMS Bon, avant que vous ne paniquiez complètement, quelques nuances s’imposent tout de même. D’abord, l’attaque nécessite quand même un accès physique initial au téléphone. C’est pas comme si n’importe qui pouvait cloner votre eSIM depuis son canapé (enfin, pas encore…). Ensuite, Kigen a déjà commencé à distribuer des correctifs donc si votre téléphone fait ses mises à jour régulièrement, vous devriez être protégé (en théorie) et puis normalement,la GSMA a pris des mesures pour éviter que ça se reproduise. Mais quand même, ça fait réfléchir car on nous vend l’eSIM comme LA solution d’avenir, plus sécurisée, plus pratique… et au final, ça se casse comme une vulgaire coquille de noix. D’ailleurs, si vous voulez creuser le sujet, Security Explorations a publié tous les détails techniques sur leur site. Et en attendant, qu’est-ce qu’on peut faire pour se protéger ? Bah pas grand-chose malheureusement. Garder son téléphone à jour, éviter de le prêter à des inconnus (surtout s’ils ont l’air de s’y connaître en Java Card), et croiser les doigts pour que votre opérateur ait appliqué les patches. Ah et petit conseil : si vous utilisez la double authentification par SMS pour des trucs sensibles (banque, crypto, etc.), c’est peut-être le moment de passer à une app d’authentification ou une clé physique. Parce que bon, si quelqu’un peut cloner votre SIM et recevoir vos SMS… Je vous conseille 2FAS comme app. Cette histoire nous rappelle une fois de plus que la sécurité absolue n’existe pas et que même sur les systèmes les plus certifiés, les plus vérifiés, il peut y avoir des failles et que souvent, ces failles viennent de trucs basiques qu’on a oublié de vérifier comme ici, une simple vérification de bytecode qui aurait pu éviter tout ça. En tout cas, chapeau à Security Explorations pour leur boulot c’est impressionnant ! Et n’oubliez pas, comme dit l’adade : “y’a pas de système sécurisé, il n’y a que des systèmes pas encore hackés”.   Source
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