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Nmap & Tor


unkn0wn

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on vas parler de l'utilisation de Nmap et de Tor et sur comment combiner les performances du premier a l'anonymat du deuxième sur Linux..

Bon, une petit présentation pour les néophyte ;)

Tor (littéralement : le routage en oignon) est un réseau mondial décentralisé de routeurs, organisés en couches,(nœuds ) dont la tâche est de transmettre de manière anonyme des paquets TCP. C’est ainsi que tout échange Internet basé sur TCP peut être rendu anonyme en utilisant Tor.

il est disponible pour Windows, Linux et Mac

+ site officiel: http://www.torproject.org

 

Tor2.JPG

 

Nmap est un scanner de ports open source créé par Fyodor et distribué par Insecure.org ,Il est conçu pour détecter les ports ouverts, identifier les services hébergés et obtenir des informations sur le système d'exploitation d'un ordinateur distant. Il est disponible sous Windows, Mac OS X, Linux, BSD et Solaris..

+site officiel http://www.Insecure.org

Notre objectif est de scanner notre serveur avec Nmap sans laisser de traces (adresse ip) sur les fichiers logs de la machine distante (serveur) pour cela on vas faire passer les connections effectuer par Nmap par le réseau Tor,en utilisant l’outil Proxychains.

 

il faut noter que Tor ne fait passer que les connections TCP autrement dit on ne peut rendre anonyme que ce protocole ce qui limite notre champs d'action avec Nmap (on ne peut pas effectuer une reconnaissance UDP ou ICMP par exemple).

+Il faut commencer par

1- installer TOR : http://www.torproject.org/documentation.html.fr

2- installer Nmap : http://nmap.org/download.html

3- installer Proxychains: http://proxychains.sourceforge.net/

[ Proxychains est configuré par défaut pour faire passer les connections a travers le réseau TOR ]

et pour pour effectuer le scan :

proxychains nmap -PN -sT -sV -n -p 80,21,146,111  64.233.181.191

quelques explications s'impose :p

 

avec Nmap on a utiliser -PN pour ne pas envoyer de pings au serveur (Non prise en charge du protocole ICMP par Tor)

-sT : pour un scan en mode TCP connect()

-sV :Détection de version

-n : ne pas effectuer de résolution DNS

-p : les ports distant a scanner

 

et pour finir l'adresse ip du serveur a scanner

 

au final on obtiens ce résultat

ProxyChains-3.1 (http://proxychains.sf.net)

Starting Nmap 5.21 ( http://nmap.org ) at 2010-06-26 21:33 CET

|S-chain|--127.0.0.1:9050--64.233.181.191:21-

|S-chain|--127.0.0.1:9050--64.233.181.191:80--OK

|S-chain|--127.0.0.1:9050--64.233.181.191:111-

|S-chain|--127.0.0.1:9050--64.233.181.191:146-

Nmap scan report for 64.233.181.191

Host is up (14s latency).

PORT STATE SERVICE VERSION

21/tcp closed ftp

80/tcp open http Google httpd 2.0 (GFE)

111/tcp closed rpcbind

146/tcp closed iso-tp0

Service Info: OS: Linux

____

 

NB: il faut avoir une bonne connexion (car les timeout peuvent causé un résultat faux négatif)

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Y'a pas mal de solution concernant le contournement de Nmap.

 

Commencons d'abord par cet excellent article intitulé : " Defeating TCP/IP Stack Fingerprinting " : http://www.usenix.org/publications/library/proceedings/sec2000/smart.html

 

 

Solution Linux :

 

- IPpersonality http://ippersonality.sourceforge.net/

 

- IpMorph http://blog.hynesim.org/en/ipmorph/

 

- iplog http://ojnk.sourceforge.net/

 

- honeyd http://www.honeyd.org/

 

- Stealth LKM http://www.innu.org/~sean/

 

- http://www.s0ftpj.org/en/tools.html

 

 

 

 

Solution BSD :

 

- Blackhole http://www.unix.com/man-page/FreeBSD/4/BLACKHOLE/

 

- Fingerprint Fuc.ker ( pour FreeBSD ) http://packetstormsecurity.org/UNIX/misc/bsdfpf.tar.gz

 

- OpenBSD packet filter http://www.openbsd.org/cgi-bin/man.cgi?query=pf.conf&sektion=5&arch=i386&apr

 

- FreeBSD TCP_DROP_SYNFIN (Eh oui, le noyau de FreeBSD a une option spéciale) N'est pas recommandée si la machine héberge un serveur web. http://www.freebsd.org/doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/dialup-firewall/kernel.html

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    • Le wifi 7, de son petit nom 802.11be, a été présenté en 2018 et sa standardisation est lancée en  mai 2024. Toutefois, les contours de cette norme et les technologies associées sont tous connus depuis le premier brouillon. La principale évolution avec le Wifi 7 concerne le débit maximal théorique que la norme peut désormais gérer : 46 Gb/s, une valeur importante qui est multipliée par 4,8 par rapport au wifi 6 et 6E . Pour atteindre un tel débit, le wifi 7 joue sur la largeur des bandes de fréquences, la modulation du signal et le nombre de flux gérés. Actuellement, le wifi 6 peut gérer huit flux de données, ce qui correspond au nombre d’antennes dont sont dotés les routeurs les plus performants. Le wifi 7 voit le nombre de flux doubler pour atteindre 16 flux. Si nous devions faire une analogie, cette quantité de flux s’apparente à celle d’autoroutes disponibles pour les camions de déménagement. Ils peuvent donc déménager plus de domiciles vers plus de destinations. À l’augmentation du nombre de flux gérés s’ajoute le passage d’une modulation de fréquence en quadrature (QAM) de 1024 (10 bits de données possibles) à une modulation de 4096 (12 bits). En découle une performance de débit brute de 20 %. Reprenons notre déménagement et imaginez que l’intérieur de vos cartons est mieux rangé et peut donc contenir plus d'objets. C’est ainsi que le débit brut du wifi est multiplié par 2 x 1,2 x 2, soit x4,8. Le wifi 6 ayant un débit maximal théorique de 9,6 Gb/s, les évolutions de la norme permettent à la version 7 de passer à 46 Gb/s. Pour nos PC portables et smartphones, le débit maximal actuel en wifi 6 est de 2,4 Gb/s. La transition au wifi 7 ne portera celui-ci qu’à 5,8 Gb/s puisque les terminaux ne sont équipés “que” de deux flux. Il ne profite donc que du passage à 320 MHz (x2) et de la modulation de fréquence de 4096-QAM (x1,2), le nombre de flux étant inchangé. D'après des tests en réalité les débits maximaux atteints sont de l’ordre de 1,7 Gb/s réel en wifi 6 avec un PC portable, soit des transferts tournant autour de 210 Mo/s. On peut donc supposer que le wifi 7 sur PC portable permettra d’atteindre 4 Gb/s réels, soit un débit de 500 Mo/s. Autre grosse nouveauté du wifi 7 : le MLO (Multi-Link Operations). Il s’agit de l’agrégation de bandes de fréquences. Actuellement, quand un smartphone est connecté sur une bande de fréquences, il peut éventuellement changer de bande si la connexion (débit, latence, etc.) est mauvaise. Avec le MLO introduit par le wifi 7, au lieu de changer de bande, l’appareil pourra se connecter à plusieurs bandes simultanément (agrégation) pour contourner une éventuelle saturation. L'ensemble des nouveautés du wifi 7 est applicable aux bandes de fréquences de 2,4 GHz, 5 GHz et la toute récente bande de 6 GHz introduite par le wifi 6E. Évidemment, comme toutes les normes wifi précédentes, le wifi 7 est rétrocompatible. Un smartphone doté du wifi 7 pourra se connecter à une borne wifi équipée d'une norme inférieure et inversement, sans toutefois profiter des avancées du wifi 7. Source: lesnumeriques.com
    • Ils utilisent des répéteurs Wifi comme ça ce fait déjà  dans les cités universitaires . La différence par rapport au Wifi 6,5 et 4 réside dans le débit maximal atteignable. Sur  un canal Wifi 7 (46 Gbit/s) la latence est nulle ou presque et le débit qui peut atteindre de 5 fois plus .Le Wifi  6 et 6E permet 9,6Gbit/s en théorie. En Algérie le débit max est 3,8 fois moins que ce qu' offre le Wifi 7  d'où l'inutilité de ce dernier pour le moment .
    • Ils ne sont même pas fichus d'ajouter un bouton pour l'inscription.
    • la CNR ameliore ses services numeriques...meme si malheureusement ca arrive deja TROP tard https://www.algerie360.com/retraite-simplifiee-la-cnr-lance-un-nouveau-service-pour-tous-les-assures/
    • Pendant ce temps AT installe des réseaux locaux avec des répartiteurs Wifi 7 dont la portée n'excède pas quelques dizaines de mètres  et se vante d'avoir introduit cette technologie en Afrique . Vidéo sur l'installation de ce réseau à l'hotel aurassi 
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