Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

Trois millions de dinars pour chaque député


Invité salimdz

Messages recommandés

Trois millions de dinars pour chaque député

 

le 15.01.12 | 01h00

 

apn_822425_465x348.jpg trans.gif

 

Pour services rendus, une sorte de prime à l’obéissance, les parlementaires s’en iront chacun avec une coquette somme avoisinant les 3 millions de dinars, représentant dix mensualités payées d’avance.

 

Hémicycle Zighout Youcef, haut lieu de l’usurpation électorale. En ce mercredi 4 janvier, les 389 députés de l’Assemblée populaire nationale (APN), dont le «mandat» expire, sans gloire ni panache, en mai prochain, font leur ultime tour de piste. Le dernier acte pour un Parlement croupion, le plus «mal élu» de l’histoire de l’Algérie indépendante, que d’aucuns qualifient de «chambre d’enregistrement» et de congrès de «beni-oui-oui». Comme de coutume, la plénière sonnait creux en ce début de soirée ; la séance n’a été entamée qu’à 16h. Le président de l’APN, Abdelaziz Ziari, est absent, convoqué pour une «réunion au sommet» à Djenan El Mufti.

 

Le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, attendu jusqu’en début de soirée, fait un bref speech dans un arabe approximatif (suscitant l’hilarité générale) pour «défendre» son texte, cloue quelques becs et s’en va, serrant quelques mains quémandeuses.

 

Quelques heures auparavant, Ali Brahimi, le virevoltant député de Bouira, pestait contre le refus du gouvernement de se présenter devant la Chambre basse. «Encore un signe de mépris», constate l’ancien élu du RCD. Un parti qui, en désespoir de cause, a gelé récemment sa «participation» à l’APN.

 

Le mépris envers le Parlement, le gouvernement le tient d’abord de son «premier chef» : dès son retour aux affaires, en 1999, le président Boùteflika avait affiché sa préférence pour un régime ultraprésidentiel et son aversion pour toute forme de démocratie parlementaire. De nombreux ministres ont décliné tout bonnement les invitations à «s’expliquer» émanant de l’APN. Ce fut le cas récemment de Djamel Ould Abbès, le ministre de la Santé, fidèle parmi les fidèles du président Boùteflika. Comme nombre de députés de l’opposition parlementaire, Brahimi a vu toutes ses propositions de loi finir aux «oubliettes» de l’hémicycle.

 

Le pouvoir (Exécutif) fait cavalier seul, snobe merveilleusement les pensionnaires de la deuxième chambre du Parlement. Légiférer par ordonnance est ainsi devenu le sport favori du régime Bo^^^^^ika. Côté APN, 63 textes de loi ont été votés en 5 ans de mandat. De l’autre, une quantité industrielle d’ordonnances présidentielles produites par l’hôte du palais El Mouradia.

 

Le recours systématique à la législation par ordonnance présidentielle renseigne sur la nature profondément autoritariste du régime Boùteflika, explique Rachid Tlemçani. Mais là où même le politologue perd son latin, c’est, dit-il, «lorsque j’entends les députés eux-mêmes supplier le Président de légiférer par ordonnance».

 

L’APN, un «machin» à bannir des manuels de sciences politiques ? «Il n’y a aucun bilan à tirer de cette sixième législature», ajoute M. Tlemçani, excédé : «La preuve ? Aucune proposition de loi n’a été introduite par cette assemblée qui a servi de vitrine démocratique, de vulgaire courroie de transmission au service du pouvoir politique.»

 

Dans son intervention, Abdelkader Charar, député FLN, interpelle le ministre de l’Intérieur sur les pouvoirs exorbitants que s’arrogent certains walis et leur mépris envers les «élus du peuple» : «Le gouverneur d’Alger, dit-il, refuse même de recevoir les ministres, excepté ses amis.» La veille, mardi, devant une soixantaine de députés errant comme des âmes en peine dans les travées presque désertes de l’APN, le gouvernement a donné lecture, dans l’indifférence quasi générale, de son projet de code de wilaya. Coupé de l’Algérie profonde, le palais ronronne, somnole sur un volcan. Les dizaines de députés présents ont le regard rivé sur les prochaines législatives, l’esprit ailleurs, en proie aux questionnements en rapport à l’existence d’une «vie après le Parlement». «Deux mille douze, chkoun yefouz ?» (qui raflera la mise lors des législatives de 2012 ?), s’interroge en ricanant un député FLN, affalé, comme ses collègues, sur un des divans rouge sang du hall de l’Assemblée.

 

«Mal élus» du peuple, «méprisés» par le pouvoir

 

Pour services rendus, une sorte de prime à l’obéissance, les parlementaires s’en iront chacun avec une coquette somme avoisinant les 3 millions de dinars, représentant dix mensualités payées d’avance. «En attendant la retraite dorée», renchérit un député indépendant. Les parlementaires cumulant deux mandats et dix ans de cotisations auront droit à une retraite complète, soit l’équivalent de plus de 15 fois le SNMG. Bien qu’imminent, l’adieu à l’hémicycle Zighout Youcef ne semble pas dépiter les «élus du peuple». Certains, ceux de l’Alliance notamment, croient même en leurs chances de faire partie de la prochaine fournée du régime, réélus à la faveur du fumeux «système des quotas» ou grâce à l’insondable loi de la «chekara», expression populaire désignant «l’argent sale» recyclé en politique pour l’achat, notamment, de mandats électifs. Pas de regrets ni d’état d’âme. Beaucoup de députés partiront avec la conviction du devoir accompli.

 

Plantureuse députée, épouse d’un entrepreneur aux mille marchés dans une wilaya du Centre, N. B. dit n’avoir qu’un seul regret, celui d’avoir voté la loi criminalisant les harraga. «Autrement, je pars la conscience tranquille. Je n’ai pas changé de ville ni amassé de fortune comme nombre de mes collègues qui ont fait de leur mandat une véritable machine à cash.» La députée ne veut pas être citée de crainte que ses chances de «réélection» ne soient compromises. «Je ferai comme Zorro qui ne dit au revoir que lorsqu’il arrive au sommet de la crête», lance-t-elle en s’éloignant.

 

«Mission accomplie», s’écrie de sona côté Miloud Chorfi, président du groupe parlementaire du RND, le parti d’Ahmed Ouyahia, catapulté en 2007 deuxième force politique avec 62 sièges. «Nous attendons la prochaine mission», ajoute, provocateur, le député de Mascara, éminence grise du Premier ministre au sein de l’hémicycle. Chorfi se dit fier d’appartenir à une assemblée parlementaire ayant voté des lois «importantes», dont les textes de la «réforme».

 

La session d’automne, la plus chargée de toutes celles qu’a connues l’APN avec 7 textes expédiés en quelques semaines — dont les lois dites de la réforme — arrivera à échéance ce 2 février. Jamais les députés n’avaient autant «travaillé» de leur vie que depuis l’avènement du Printemps arabe.

 

7 décembre 2011. Aucun gouvernement de l’Algérie indépendante n’avait osé jusque-là infliger pareille humiliation aux Algériens : Mourad Medelci, auditionné à l’Assemblée nationale française, une première dans les annales du Parlement algérien. Hémicycle Zighout Youcef ou palais Bourbon, le ministre algérien des Affaires étrangères a vite fait son choix.

 

Zighout Youcef ou Palais Bourbon : le choix de Medelci

 

«A l’APN, nous étions partagés dans l’appréciation de ce geste, se rappelle le député de Tlemcen, Mohamed Benhamou. Mais nous disions que ce n’était pas dans nos mœurs politiques. Le président Boùteflika lui-même n’a jamais daigné descendre au Parlement.» La coupe de l’humiliation est bue jusqu’à la lie. Aucune protestation des députés à l’APN.

 

La sixième législature ? «C’est incontestablement la pire de toutes», réplique l’ancien n°2 du RCD et député de Béjaïa, Djamel Fardjellah. Avec ses deux mandats de député (1997-2002 et 2007-2012), Fardjallah ne compte plus le nombre de fois où l’APN a été humiliée par le pouvoir et ses députés, donnés en pâture à l’opinion. Gavé de privilèges, rabaissé par un pouvoir exécutif omnipotent, le Parlement a servi d’alibi démocratique au régime, de pouponnière à sa clientèle. Mensualités mirobolantes (de 270 000 DA pour le député de base à 600 000 DA pour le président de l’APN), indemnités diverses (restauration, hébergement, téléphone, billets d’avion, crédits bonifiés allant jusqu’à 30 millions de dinars, etc.) l’APN a englouti en cinq ans plus de 2300 milliards de centimes, à raison de 450 milliards par an. Pour maître Benhamou, «l’APN a plus réglé les problèmes de ses pensionnaires députés que ceux des Algériens».

 

«Je n’ai jamais vu de Parlement aussi soumis, avec un niveau aussi médiocre», confie un cadre haut placé à l’administration de l’APN. De cette Assemblée, il parle avec dégoût : «Je ne veux pas jeter l’anathème sur tous les députés, mais la majorité ne fait montre d’aucune forme de conscience, indifférents aux enjeux de la nation.» L’assemblée de 1997, pourtant issue de la fraude massive, a plus de mérite à ses yeux : «A l’époque, nous n’avions pas atteint un tel degré de dégénérescence, nous n’avions pas une composante aussi prédatrice, copie conforme des milieux politico-maffieux. Aujourd’hui, nous sommes bien en présence d’une faune d’affairistes, accros aux privilèges, avec des réflexes de parvenus et de prédateurs. J’ai failli, plus d’une fois, m’étouffer de honte devant la conduite et l’insuffisance intellectuelle de nos députés, alors qu’on était reçus en délégation par des Parlements étrangers.» «En cinq ans, conclut-il, l’APN n’a institué qu’une seule commission d’enquête, celle sur la flambée des prix de l’huile et du sucre. Mais de qui se moque le Parlement ?»

 

Les faits d’armes du parlement :

 

Charité bien ordonnée commence par soi-même. Un des premiers textes de loi votés par l’APN est celui relatif au statut de député, en janvier 2008, quelques mois seulement après l’installation de l’Assemblée. Le texte amendant la loi n°01-01 du 31 janvier 2001 relative aux membres du Parlement a suscité une grosse polémique et a écorné irrémédiablement l’image du député auprès de l’opinion.

 

Les députés se sont auto-augmentés dans des proportions plus qu’outrageantes. Pour enfoncer le clou, le président Boùteflika avait même saisi le Conseil constitutionnel à l’effet de statuer sur la constitutionnalité du statut de député. Trop tard !

 

L’APN au service de la «maffia» de la fripe :

 

15 juin 2011. Le Parlement lève l’interdiction de l’importation de la friperie, une menace pour la santé publique, pour toute l’industrie nationale du textile et ses 18 000 travailleurs. L’article 27 de la loi de finances complémentaire, proposé par des députés RND, FLN et indépendants, a fait scandale. En novembre 2011, l’article en question fut abrogé.

 

Viol de la constitution :

 

Mercredi 12 novembre 2008, le Parlement (APN et Conseil de la nation) est convoqué en congrès par le président Boùteflika pour entériner un certain nombre d’amendements à la Constitution de 1996, notamment l’article 74 qui limitait les mandats présidentiels à deux seulement. Résultat du vote : 500 voix pour, 21 contre et 8 abstentions. Les députés RCD quittèrent la salle en signe de protestation contre le viol de la Constitution.

 

source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Comment peuvent-ils se permettre ce genre de "prime" alors même que des milliers d'algériens crèvent de faim ???

 

C'est malheureux.. povre Algérie..

 

salam

 

tout simplement parce que chacun des milliers d'algériens qui crèvent de faim ferait probablement la même chose s'il était à cette même place

قوله تعالى وكذلك نولي بعض الظالمين بعضا بما كانوا يكسبون قوله تعالى : وكذلك نولي بعض الظالمين بعضا المعنى وكما فعلنا بهؤلاء مما وصفته لكم من استمتاع بعضهم ببعض أجعل بعض الظالمين أولياء بعض ، ثم يتبرأ بعضهم من بعض غدا . ومعنى نولي على هذا نجعل وليا . قال ابن زيد : نسلط ظلمة الجن على ظلمة الإنس . وعنه أيضا : نسلط بعض الظلمة على بعض فيهلكه ويذله . وهذا تهديد للظالم إن لم يمتنع من ظلمه سلط الله عليه ظالما آخر . ويدخل في الآية جميع من يظلم نفسه أو يظلم الرعية ، أو التاجر يظلم الناس في تجارته أو السارق وغيرهم . وقال فضيل بن عياض : إذا رأيت ظالما ينتقم من ظالم فقف وانظر فيه متعجبا . وقال ابن عباس : إذا رضي الله عن قوم ولى أمرهم خيارهم ، وإذا سخط الله على قوم ولى أمرهم شرارهم . وفي الخبر عن النبي صلى الله عليه وسلم : من أعان ظالما سلطه الله عليه . وقيل : المعنى نكل بعضهم إلى بعض فيما يختارونه من [ ص: 78 ] الكفر ، كما نكلهم غدا إلى رؤسائهم الذين لا يقدرون على تخليصهم من العذاب أي كما نفعل بهم ذلك في الآخرة كذلك نفعل بهم في الدنيا . وقد قيل في قوله تعالى : نوله ما تولى : نكله إلى ما وكل إليه نفسه . قال ابن عباس : تفسيرها هو أن الله إذا أراد بقوم شرا ولى أمرهم شرارهم . يدل عليه قوله تعالى : وما أصابكم من مصيبة فبما كسبت أيديكم .

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • un agrement et de la paperasse encore et encore....pour passer au numerique...biensur
    • Paiement en espèces : la Banque d’Algérie serre encore la vis. https://www.tsa-algerie.com/paiement-en-especes-la-banque-dalgerie-serre-encore-la-vis/ " L’Algérie accélère la mise en œuvre de sa stratégie numérique, visant notamment à réduire l’utilisation des espèces dans les transactions commerciales quotidiennes et à favoriser l’utilisation des modes de paiement électronique.   Dans le cadre de la modernisation du système bancaire et financier, les Algériens pourront bientôt recourir facilement aux paiements électroniques dans leurs usages quotidiens.     Après la promulgation du règlement fixant les conditions de création et d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP), publié au Journal officiel N° 28, la Banque d’Algérie (BA) revient avec une instruction fixant les conditions d’exercice de ces nouveaux acteurs. Les PSP, un moyen efficace pour réduire le cash et favoriser le paiement électronique L’instruction n° 03-25 du 27 mai 2025, publiée par le régulateur, comprend en effet l’ensemble des conditions requises pour exercer l’activité de prestataires de services de paiement, qui vont jouer un rôle stratégique dans l’inclusion financière et la digitalisation des services bancaires. Le document a pour objet « de déterminer les éléments d’informations ainsi que les documents constitutifs du dossier joint à l’appui de la demande d’autorisation de constitution ou d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP) », peut-on lire dans l’instruction. Pour obtenir l’agrément, le PSP doit notamment présenter « l’indication des services de paiement envisagés et leur éventuel impact sur la réduction de l’utilisation des espèces et le renforcement de l’inclusion financière ». L’objectif est donc clair. Il intervient dans le cadre de l’ambition de l’Algérie de réduire l’utilisation du cash dans les transactions financières quotidiennes des citoyens et des entreprises et de favoriser le recours aux moyens de paiement électroniques. Pour la concrétisation de cet objectif, les prestataires de services de paiement sont considérés comme un moyen efficace. L’instruction de la Banque d’Algérie est bien plus qu’un simple cadre réglementaire.   Il s’agit plutôt d’une initiative majeure visant à encadrer l’activité de ces prestataires, tout en renforçant la sécurité et la transparence des transactions financières. Le règlement encadrant les PSP devra aussi instaurer plus de confiance parmi les utilisateurs des services de paiement électronique. L’Algérie accélère les procédures pour sortir de la liste grise du GAFI À ce propos, selon le document publié par la Banque d’Algérie, les PSP doivent, par exemple, définir leurs obligations « relatives à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et le financement de la prolifération des armes de destruction massive ». L’Algérie multiplie ainsi les mesures lui permettant de quitter « la liste grise » du Gafi, dans laquelle elle a été classée en octobre dernier. La création des prestataires de services de paiement est en réalité l’une des multiples mesures annoncées ou mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et de la dualité de change dans le pays. Les deux premiers secteurs ciblés par l’ensemble de ces mesures sont ceux de l’immobilier et de l’automobile, véritables réceptacles de l’argent issu des activités illégales et informelles. La Loi de finances pour 2025 interdit l’utilisation du paiement en espèces et impose le chèque ou le virement pour quatre types de transactions, dont justement l’immobilier et l’automobile. Le transfert de fonds depuis l’étranger, pour l’acquisition d’un bien immobilier par exemple, doit obligatoirement passer par le circuit bancaire, un autre coup dur pour le marché parallèle de la devise, dont le taux de change élevé est l’une des raisons du classement de l’Algérie dans la liste grise du GAFI."    
    • salam les amis voila c'est fait !! j'ai réussi à mettre le huawei optixstar en mode répéteur wifi , en gardant le meme ssid wifi et j'ai placé ce répéteur prés de la tv relié avec elle en rj45 , du coup je reçois sur ma tv (test débit de netflix) entre 75-85 Mbs , bien meilleurs que ce que je recevais avant en wifi (18-20 Mbs) j'avais juste une appréhension concernant la licence à vie de mon lecteur iptv smart one , j'avais peur qu'en changeant l'adresse mac (wifi vs filaire) l'appli ne marcherait pas .. bah .. à part le 1er lancement qui a été long , aprés ça marche normalement, et ma licence toujours active ! ..  juste une dernière question dans mon modem ont fiberhome , j'ai coché cette option "enable" .. elle était "disable" .. je la laisse tel quel ?  
    • Mwe.... Le problème c'est que c'est payant comme app.. Même si l'abonnement n'est pas cher... il faut payer en plus pour chaque virement...Ce qui est encore une fois ridicule... Dans un pays où les gens ne savent même pas utiliser une cib... Et ne veulent pas de paiement en ligne.   Dire que dans l'UE tous les virement entre les pays sont...GRATOS et les applis aussi et ce, depuis plus de 15 ans ! Par ailleurs... A quoi bon garder un abonnement ebanking chez eux et en même temps ils vendent à un abonnement wimpay... en parallele Ridicule encore une fois . Toute façon pas intéressant.... Et ça arrive bien trop tard... L'Algérie aurait dû opter pour le NFC pas le QR code  !!!!!!! 
×
×
  • Créer...