sparrow210 Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 [h=2]Une information donnée hier par le site de l’hebdomadaire français Le Point laisserait apparaître que l’état de santé de Bo^^^^^ika, 76 ans, se dégrade. Sans les citer, le point.fr soutient, de sources médicales, que certaines fonctions vitales du Président seraient altérées et qu’il n’aurait pas été admis à l’hôpital parisien pour un «AVC mineur». [/h]Les nouvelles en provenance du Val-de-Grâce à propos de la santé de Abdelaziz Bo^^^^^ika semblent peu rassurantes. Elles sont plutôt alarmantes. Son état de santé se serait dégradé. Des sources médicales ont affirmé au site du magazine français LePoint.fr que «certaines de ses fonctions vitales sont très atteintes». En citant un haut fonctionnaire, le site internet du magazine français ajoute que le chef de l’Etat était «arrivé à Paris très mal en point». Et de conclure sa dépêche par une interrogation : «Abdelaziz Bo^^^^^ika doit quitter Paris ces prochains jours. Dans quel état ?» Ces informations contredisent la version officielle selon laquelle Bo^^^^^ika aurait été admis à l’hôpital militaire parisien pour un «accident ischémique transitoire (AIT) sans gravité et sans séquelles irréversibles». Transféré en urgence à Paris, Abdelaziz Bo^^^^^ika boucle aujourd’hui sa troisième semaine d’hospitalisation, alors que son médecin personnel, le professeur Rachid Bougherbal, avait assuré que son «patient» allait rentrer «dans quelques jours... au plus tard dans sept jours». La maladie de Bo^^^^^ika serait-elle donc beaucoup plus grave que ce que l’on veut bien nous faire croire officiellement ? Impénétrable mystère. Le black-out total est de rigueur. Le secret sur la maladie du chef de l’Etat, qui n’est surtout pas une affaire privée, mais concerne foncièrement les citoyens, est jalousement gardé. Tout comme les affaires de la République gérées selon la loi de l’omerta, la vérité sur maladie du Président est gérée dans une opacité qui suscite des inquiétudes plus qu’elle ne rassure. Un verrouillage qui n’est pas sans altérer le fonctionnement de l’Etat. Depuis son hospitalisation le 27 avril dernier, des acteurs de la scène politique nationale, des médias et des citoyens, via les réseaux sociaux, ne cessent de réclamer la transparence dans la gestion de la maladie du Président. D’autres observateurs s’interrogent carrément sur la véracité du diagnostic donné et les complications qui auraient pu survenir après son transfert au Val-de-Grâce. Et si les informations données, hier, par le site Le Point.fr s’avèrent exactes, elles remettent donc en cause le «bilan» de santé de Bo^^^^^ika communiqué par la présidence de la République, le 7 mai dernier, selon lequel la santé du chef de l’Etat «s’est nettement améliorée». Il faut dire que la communication officielle distillée à dose homéopathique sur la vraie maladie du Président et l’évolution de son état de santé a été calamiteuse. Une gestion qui a donné lieu à des spéculations contradictoires et surtout aux rumeurs les plus folles. Est-il toujours au Val-de-Grâce ? Peut-il encore gouverner ? Ira-t-il au bout de son mandat présidentiel ? Qui gère les affaires courantes à la présidence de la République ? A toutes ces questions somme toute légitimes, aucune autorité politique ne daigne apporter de clarifications. A défaut d’un bulletin de santé quotidien pourtant expressément exigé par de nombreux Algériens, la communication sur l’état de santé du Président est approximativement «assurée» par des responsables peu habilités à le faire. Le dernier en date est Kamel Rezzag-Bara, qui a déclaré : «A ma connaissance, il va bien, il reviendra très bientôt parmi nous en bonne forme…» Avant lui, c’était le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en déplacement dans la wilaya de Laghouat au début de la semaine dernière, qui avait affirmé que «le Président suivait quotidiennement tous les dossiers». S’il était réellement en mesure de suivre les dossiers, pourquoi aucune image du Président n’est-elle montrée aux Algériens comme preuve tangible de «la nette amélioration» de sa santé ? En somme, la «stratégie» des autorités politiques dans la gestion du cas Bo^^^^^ika n’obéit à aucune logique, si ce n’est celle de gagner du temps. Mais à quel dessein ? Le malaise dont a été victime le locataire d’El Mouradia est intervenu dans un contexte politique particulier : la préparation de la révision de la Constitution, prélude à l’élection présidentielle d’avril 2014. Elle aurait pris de court les décideurs. Son hospitalisation, suivie d’une période de convalescence, modifie complètement le calendrier politique et elle a surtout chamboulé les cartes. D’où l’attitude prudente que l’on peut observer chez de nombreux acteurs politiques. Le chef de l’Etat, âgé de 76 ans, qui est revenu au pouvoir en 1999, a connu de graves ennuis de santé depuis 2005. Reconduit à la tête de l’Exécutif, Bo^^^^^ika, en raison d’une santé «défaillante», s’est imposé un rythme de travail visiblement tempéré. Ses apparitions publiques se faisaient de plus en plus rares depuis plusieurs mois. Sa dernière sortie politique remonte à plus d’une année, à Sétif, où il avait avoué que sa génération était «finissante»… [h=5]Hacen Ouali[/h] Source Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prince2510 Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 rien de nouveau un " Ouali " Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jazz3210 Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 L'état nous raconte des mensonge depuis le début, déjà médicalement dire un mini AVC ne veut rien dire et il est sans doute dans un coma végétatif depuis son hospitalisation jusqu'à maintenant ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
midnights Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 ça se passe comme ça chez mc donalds Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gofast Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 si il pouvait ne pas claquer jusqu’à 2014 ca serait l’idéal Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hichemus Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 si il pouvait ne pas claquer jusqu’à 2014 ca serait l’idéal Maintenant ou plus tard c'est quoi la différence ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emires Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 Maintenant ou plus tard c'est quoi la différence ? On passe les qualif du mondial et un ramadhan tranquille:untroubled: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hichemus Posté(e) le 18 mai 2013 Share Posté(e) le 18 mai 2013 On passe les qualif du mondial et un ramadhan tranquille:untroubled: OK +1 alors !! ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
anubis_1001 Posté(e) le 19 mai 2013 Share Posté(e) le 19 mai 2013 (modifié) Bonjour, oui vous avez raison: c'est grave. En l'état actuel des choses, il me parait évident que notre président n'est pas dans l'état qu'on nous dit. J’espère me tromper, car sinon je vois mal comment tout ceux qui ont rassuré les algériens vont devoir ravaler leurs paroles. Peut être espèrent-t-ils une remise en état du président, ou alors cherchent-t-ils à gagner du temps. Une chose est sûre, nous algériens, nous nous sommes faits passer pour la risée du monde à propos de cette affaire, quel que soit le dénouement. Modifié le 19 mai 2013 par anubis_1001 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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