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baisse de prix de l'ADSL


shincus

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Perso , je voudrai les 2 en meme temps : Tarif + Débit ==> c ce qu'on appelle "la qualité au meilleur prix"

 

Ce n'est pas avec un marché aussi petit et peu concurrentiel que celui de l'ADSL en algérie qu'on aura des baisse de prix et des augmentations de débits pour nos beaux yeux.

Tant qu'il n'y aura pas une vrai ouverture du marché de la téléphonie fixe, on tourne en rond...

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Oui Slash de ce pint de vue t'as bien raison , c les structures de bases sont monopolisées par une seule structure (AT) ; c trés douteux que ça va aller en avant..

 

Reste beaucoup à espérer

 

Non seulement y a monopole, mais le marché est bien trop petit et ne croit pas assez pour justifier des investissement dans le domaine (augmentation de la bande passante, VOD), surtout avec l'opération Ousratic qui a été tuer dans l'œuf si on peut dire ça comme ça.

Sans oublier que le consommateur algérien est loin d'être éduquer aux nouvelles technologies...

A mon avis, sans une réelle volonté politique et une stratégie bien coordonnée entre les différents intervenants, on risque de ne pas trop avancer.

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Internet en Algérie : révolution au pays du bidon d’huile à 1.000 dinars

Le secteur est en plein boum

Le marché de l’Internet et celui des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) est en plein essor en Algérie. Jamais auparavant « la toile » n’a suscité autant d’intérêt des pouvoirs publics, alors que le pays était leader dans les années 70-80 dans les nouvelles technologies.

 

Comparativement au Maroc et à la Tunisie, les universités algériennes étaient déjà, dans les années 80, raccordées aux réseaux américains et européens. Le secteur connaîtra un brusque déclin à la fin des années 80 et jusque vers la fin des années 90. C’était la politique de l’époque. L’Internet reprendra ses droits vers la fin du siècle dernier, mais avec un fossé énorme face à nos voisins, mais surtout aux Européens et Américains.

 

A titre d’illustration, l’Internet Haut débit, ou l’ADSL n’a fait son entrée en Algérie qu’au cours de ces trois dernières années, alors qu’au Maroc, la TV par ADSL a été introduite en 2006 avec la coupe du Monde au profit des internautes marocains. En Algérie, le réseau « Anis » devrait être prolongé par la TV par ADSL mais, le retard dans ce projet ne peut être que constaté, une fois de plus. L’introduction de l’ADSL en Algérie a, cependant, eu des effets positifs sur la demande et la configuration d’un nouveau marché des TIC. Le terme ADSL signifie Asymmetric Digital Subscriber Line, alors que dans les pays francophones ce terme est parfois remplacé par LNPA qui signifie Ligne Numérique à Paire Asymétrique. Ce système permet de faire coexister sur une même ligne un canal descendant (downstream) de haut débit, un canal montant (upstream) moyen débit ainsi qu’un canal de téléphonie (appelé POTS en télécommunication qui signifie : Plain Old Telephone Service).

 

La généralisation de l’ADSL2 en Algérie à partir de l’été 2007 - en fait le service « Anis » de Djaweb - va redonner plus de tonus à l’Internet qui va encore renforcer sa présence dans les foyers algériens. Bien sûr, l’ADSL va introduire de nouvelles fonctionnalités et surtout, de nouveaux produits qui vont changer la configuration des télécommunications domestiques. Outre l’aspect didactique, scientifique ou tout simplement culturel de l’Internet, il y a également, et cela a pesé sur le choix des ménages, la voix sur IP (VOIP), qui permet aux Algériens de se parler d’un bout à l’autre de leur ville ou de la planète, sans débourser un « rond », tout en ayant le confort de se regarder via une Webcam.

Le prix d’un abonnement à l’Internet égal à celui d’un bidon de 5 litres d’huile végétale

A n’en pas douter, les efforts techniques et les énormes investissements mis en oeuvre par Algérie Télécom ont indéniablement apporté un plus à la généralisation des TIC et plus particulièrement l’adoption de l’Internet par les ménages algériens. C’est, en soi, une petite révolution dans un pays où le bidon de 5 litres d’huile végétale coûte dorénavant le prix d’un abonnement à l’Internet avec un débit de 128 MégaBytes. Selon M. Boudjemaa Haïchour, ministre de la Poste et des TIC, l’Algérie a consacré plus de 24 milliards de DA, dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique, au développement du secteur des télécommunications. Plus de 16 milliards de DA ont été dégagés pour le développement des infrastructures et 50 milliards de DA pour couvrir l’ensemble des activités du secteur », a précisé dans une de ses sorties sur le terrain le ministre.

En Algérie, le nombre d’abonnés au réseau téléphonique mobile dépasse les 7 millions et celui des internautes est estimé à 1,5 million. Selon le Dr Haïchour, il y a 11.148 établissements scolaires connectés à Internet. En outre, près de 4.045 cybercafés, sur l’ensemble du territoire national, dont 1 700 sont connectés, selon M. Nouar Harzallah P-DG de l’Eepad, à l’Adsl ou l’Internet à haut débit. Selon l’Union internationale des Télécommunications (UIT), il y a près de 11,2 millions d’utilisateurs de l’Internet dans les pays arabes, soit un taux de pénétration de 3,7 %. Cette communauté d’internautes est desservie, selon les spécialistes de l’UIT, par plus de 36 opérateurs de réseaux de communication de données et près de 300 fournisseurs de services internet.

Comparativement aux pays européens, l’Internet dans les pays arabes en général, et en Algérie en particulier, reste encore « balbutiant » dans la mesure où il se limite actuellement à la consultation et, sporadiquement, à des téléconférences scientifiques. Les nouveaux produits de l’Internet, comme le commerce électronique, l’assistance et le téléenseignement, par exemple, restent encore inexplorés, alors que la TV par ADSL reste, comme c’est le cas en Algérie, encore inconnue.

Un fait doit être reconnu : même si le Web a fait sa révolution en Algérie, il lui reste encore à remporter des batailles décisives, comme sa généralisation à travers des prix d’abonnement plus attractifs et à la portée de toutes les bourses, et non un produit plus ou moins élitiste comme c’est le cas actuellement. Car le Très haut débit, qui permet des téléchargements importants, particulièrement les ouvrages ou les gros fichiers, reste encore inaccessible pour les familles modestes qui ont fait le choix d’introduire la Toile dans leurs foyers. Un sacrifice financier important par ces temps de hausses vertigineuses, car sur les 6 millions d’ordinateurs promis dans le cadre de l’opération Ousratic, seulement 200.000 ont été financés par les banques. L’opération marque le pas, au moment où les NTIC « cassent » pratiquement tous les tabous en Algérie. Le nouveau groupement de Providers (fournisseurs d’accès Internet, FAI) est-il en mesure de faire avancer encore plus la révolution du Worldwideweb ?

Par Ali Babès, pour Le Quotidien d’oran

 

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Bah Slash, Vu 1.5 Millions d'abonnés internet en algérie qui dépasse peu etre l'ensemble de la population kuweitienne; c pas vraiment un argument pour la médiocrité de ce service en algérie !!!

 

De plus , Si on comparait avec la téléphonie mobile, on trouve que ce dernier a fait son boom sans se soucier de cet élément de nombre d'abonnés..

 

Et puis je pense qu'améliorer la qualité du service tout en la rendant abordable au petit budget ; laisse désirer une croissance assurée du marché ADSL..

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Tout a fait d'accord avec Shincus, a lire tout ça, ben on se dis, que on a pour une autre décennie avant qu'on vois une connexion 1 MB chez sois , vraiment très fâcheux toute cette médiocrité, pour moi tout sa , s'appel la loi du profit,franchement ils font pas bcp d’effort pour amélioré les choses,le seul profit qui font c uniquement quand il s'agis de leur profit,pas au profit du consommateur

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Bah Slash, Vu 1.5 Millions d'abonnés internet en algérie qui dépasse peu etre l'ensemble de la population kuweitienne; c pas vraiment un argument pour la médiocrité de ce service en algérie !!!

 

De plus , Si on comparait avec la téléphonie mobile, on trouve que ce dernier a fait son boom sans se soucier de cet élément de nombre d'abonnés..

 

Et puis je pense qu'améliorer la qualité du service tout en la rendant abordable au petit budget ; laisse désirer une croissance assurée du marché ADSL..

Fais gaffe, tu lis de travers!

L'article parle de 1.5 millions d'internautes, pas d'abonnés ADSL!

Pour avoir le nombre d'abonnés à l'ADSL, il faut soustraire tout ceux qui vont au cyber du coin pour se connecter, ceux qui ont accès au net depuis leurs lieu de travail, de l'université, qui surfent encore avec du 56k (tu peux même soustraire ceux qui sont au WLL, vu que ça n'a rien a voir avec le haut débit) et là tu obtiendras le chiffre réel. Tiens, j'ai pour toi des chiffres plus récent, du site du ministère des PTIC:

Concernant la connexion à l'Internet, près de 120.000 accès ADSL ont été réalisés à fin septembre 2007, alors que le nombre d'internautes est passé de 10.000 en l'an 2000 à 4 millions à fin septembre 2007, soit près de 12% de la population.

J'aimerais bien croire qu'ils ont réaliser 2 fois plus l'année d'avant, et de même en 2005 mais il ne faut pas trop se leurrer: le nombre d'abonnées ADSL en Algérie ne peut dépasser a mon avis les 300000.

On a besoin d'une croissance similaire a celle de téléphone mobile durant 3/4 ans pour parler d'un véritable marché en Algérie.

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les 1.5 Millions d'internautes sont des utilisateurs du net donc , des clients potentiels , ou abonnées indirects.. il se trouve que si on leur donne un service plus abordable , ils pigeraient surement vers un abonnement direct à l'adsl..

 

1-Pour des raisons économiques

2-Pour une question de confort et de pratique

2-Pour se satisfaire et pouvoir profiter au max de la toile.

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    • Il faut savoir qu'entre l'ADSL2/ADSL2+/VDSL2 les donnés changent puisque les fréquences des porteuses augmentent et seront plus sujettes à la dégradation du signale donc l'atténuation s'élève. https://www.speedguide.net/dsl_speed_calc.php
    • Choisir ses composants informatiques et autres périphériques n'est pas toujours simple, tant les normes sont nombreuses, changeantes. Les constructeurs n'arrangent rien en jouant parfois du flou sur les caractéristiques de leurs produits. Notamment dans le domaine du stockage... et des clés USB. Nous critiquons régulièrement les fabricants de SSD pour le manque de transparence dont ils font preuve sur les caractéristiques de leurs produits. Ils se contentent en effet le plus souvent de donner les débits séquentiels que l'on peut atteindre au maximum, loin des performances réelles du SSD sur de petits fichiers ou de gros transferts. Caractéristiques et stockage : il est temps que ça cesse Car ces résultats idéaux sont le fruit d'un cache que les constructeurs « oublient » le plus souvent de mentionner, ne détaillant donc pas son fonctionnement ou les débits lorsqu'il n'est plus actif. Parfois, ils ne mentionnent même pas le type de puces de flash NAND utilisées (MLC, TLC, QLC) ou l'endurance pourtant liée à la garantie. Pire, ces composants essentiels changent parfois, comme nous l'avions relevé chez PNY. Ces dernières semaines, Samsung et Western Digital ont été pris la main dans le pot de confiture, le second promettant qu'il changerait désormais la référence de ses produits lorsque les composants sont modifiés. Comment a-t-il pu en être autrement ? Les disques durs ne sont pas épargnés, avec plusieurs scandales ces dernières années. Il y a une autre catégorie de produit où les pratiques sont peu reluisantes : les clés USB. Sur ce marché, les constructeurs ne prennent parfois même pas la peine de mentionner les débits séquentiels en lecture ET en écriture, tant ils sont mauvais. Ils préfèrent donc miser sur le flou et des promesses plus ou moins réalistes.  C'est pour cela que nous conseillons le plus souvent d'opter pour un petit boîtier USB dans lequel on place un SSD lorsque l'on a besoin de capacité et de performances à un prix raisonnable. Mais parfois, on veut simplement une clé USB compacte pour y placer une ou plusieurs images de systèmes à installer (via Ventoy par exemple).  On fait alors face au manque de transparence des constructeurs. Mais en réalité, quelles sont les performances de clés USB 3.x que l'on peut trouver dans le commerce pour 10 à 30 euros ? Nous avons commandé plusieurs modèles de 32 Go afin de voir comment elles étaient présentées par leur constructeur et les tester. SanDisk Ultra « jusqu'à 130 Mo/s** »... et en vrai ? Commençons par le classique du genre, sans doute l'un des modèles les plus vendus sur le marché : la SanDisk Ultra. On la trouve un peu partout pour un peu moins de 10 euros dans sa version 32 Go. Le modèle actuel est proposé sous la référence SDCZ48-032G-U46, assez longue mais avec un connecteur USB Type-A rétractable. Elle est annoncée avec un débit en lecture de 130 Mo/s au maximum. On nous promet également des débits jusqu'à 10x supérieurs à ceux d'une clé USB 2.0. Mais cette fois, pas de gros chiffres sur l'emballage. Et pour cause : deux petites étoiles viennent préciser à l'arrière en petite police que cela revient à 10x 4 Mo/s soit... 40 Mo/s. Il aurait pourtant été facile de le mentionner tout aussi clairement que les débits en lecture. Une autre information est donnée : on peut y « transférer un film complet en moins de 40 secondes ». Là aussi il faut se référer à une note pour avoir le détail. Il s'agit d'un fichier MPEG-4 de 1,2 Go, soit un débit moyen de... 30 Mo/s. Sur son site, SanDisk ne dit rien de plus. Même chose du côté de la fiche technique. Comme tous les modèles que nous avons testés, cette clé est garantie 5 ans. Elle est livrée avec le logiciel de chiffrement SecureAccess. Elle donne également accès à un abonnement d'un an au logiciel de récupération RescuePro. Nous l'avons testée avec CrystalDiskMark 8 (profil SSD NVMe) :                           Des résultats qui tuent (la clé USB)   SanDisk Ultra Flair : cette fois « jusqu'à 150 Mo/s** »   Lorsque l'on monte en gamme, ce problème n'arrive plus. Nous l'avons vérifié avec une clé de la gamme Ultra Flair de 32 Go (‎SDCZ73-032G-G46) qui est bien plus compacte, sans connecteur rétractable cette fois. Son corps est principalement en métal avec un système d'attache en plastique. Les débits annoncés sont aussi légèrement supérieurs : jusqu'à 150 Mo/s en lecture en gros sur l'emballage, 15x l'USB 2.0 en écriture à l'arrière (60 Mo/s). On nous promet cette fois le transfert d'un film en 30 secondes, soit un gain de 25 % par rapport au modèle précédent. Cela fait toujours référence à un fichier MPEG-4 de 1,2 Go, soit un débit moyen de 41 Mo/s. Détail amusant, nous l'avons payé moins cher que le modèle précédent : 7,83 euros contre 8,36 euros. Depuis, la tendance s'est inversée, mais de peu puisqu'elle est affichée à 8,99 euros. Le niveau de transparence est donc inchangé entre les deux modèles, tout comme sur le site de SanDisk qui évoque les mêmes chiffres, outils intégrés et la garantie 5 ans. Tout comme la fiche technique. Des résultats corrects pour un modèle à petit prix Outre le fait que cette clé ne soit pas morte pendant nos tests, elle affiche de bons résultats. Ils sont certes inférieurs en lecture séquentielle (140/150 Mo/s environ), mais meilleurs partout ailleurs. La preuve que ce seul critère ne suffit pas. Les pleins débits sont atteints à partir de blocs de 512 ko. Transférer l'ISO de Windows 11 Beta sur la clé avec Rufus nous a demandé 4 minutes et 19 secondes.  Kingston DataTraveler 100 G3 : débrouillez-vous On passe à Kingston en commençant là aussi par son modèle de base (DataTraveler 100 G3), qui ne contient cette fois pas la moindre promesse de débit sur l'emballage. C'est un problème puisque les indications des revendeurs sont aléatoires. Il faut donc se référer au site du constructeur... qui ne communique que les débits en lecture : Modèles de 32 et 64 Go : 100 Mo/s Modèles de 128 et 256 Go : 130 Mo/s Ce modèle compact (60 x 21,2 x 10mm) à connecteur Type-A rétractable devrait donc être moins performant que les deux précédents. Il est aussi moins cher : 6,09 euros, mais par pack de 2 au minimum sur Amazon. Chez d'autres comme Top Achat il faut compter près de 12 euros l'unité. La garantie annoncée par Kingston est de 5 ans. Ici, on note une régression par rapport aux modèles de SanDisk : rien n'est précisé concernant les performances en écriture. Même dans la fiche technique. Est-ce 4 Mo/s, 40 Mo/s, 80 Mos ? Impossible à dire. Le client ne sait donc pas ce qu'il achète, une attitude qui n'est pas digne d'un constructeur tel que Kingston. Papa, c'est quoi une clé à éviter ? C'est ça Comme on pouvait s'y attendre, ce flou était le signe de performances médiocres. Si l'on monte à plus de 110 Mo/s en lecture séquentielle, en écriture on peine à atteindre 13 Mo/s. Ajoutez à cela une clé assez large (mais un capuchon plutôt simple à utiliser), vous avez un modèle moins bien que le précédent, pas forcément moins cher. Transférer l'ISO de Windows 11 Beta sur la clé avec Rufus nous a demandé 7 minutes et 30 secondes.  DataTraveler Kyson : Kingston plus prolixe (ou presque) Il faut en réalité monter en gamme chez Kingston pour commencer à avoir des informations plus précises. Nous avons ici opté pour la DataTraveler Kyson de 32 Go, présentée comme un modèle USB 3.2. Comme la Ultra Flair de SanDisk elle est plus compacte (39 x 12,6 x 4,9 mm) avec un corps principalement en métal.  Elle est aussi plus chère, nous l'avions commandé à 9 euros (11 euros désormais). Elle promet des débits allant jusqu'à 200 Mo/s. Le constructeur semble payer son packaging au nombre de mots inscrits, puisqu'il ne prend même pas la peine de préciser que ce sont des débits en lecture. Un simple « R » (Read) le laisse deviner. On en a la confirmation sur le site officiel qui évoque aussi un débit en écriture de 60 Mo/s... pour les modèles de 128 et 256 Go. Et ceux de 32/64 Go ? Rien n'est précisé. On retombe dans la frustration précédente. Là aussi, la fiche technique n'est pas d'une grande aide. Comme toutes les précédentes clés, celle-ci est garantie 5 ans. Un modèle plus performant... en théorie. En pratique, évitez-le aussi Comme annoncé, les débits en lecture séquentielle explosent, à plus de 210 Mo/s, sur des accès aléatoires on se trouve au-dessus du modèle Flair Ultra de SanDisk. Malheureusement, en écriture c'est moins bon, avec un maximum aux alentours de 13 à 28 Mo/s et une tendance au « moins bien » qui se retrouve dans tous les autres scores. La clé est d'ailleurs presque incapable de finir les tests en écritures 4K aléatoires (aux alentours de quelques IOPS) tant les résultats sont faibles (en centièmes de Mo/s). Nous les avons confirmés sur plusieurs modèles. Transférer l'ISO de Windows 11 Beta sur la clé avec Rufus nous a demandé 5 minutes et 41 secondes.  Voyager Slider X1 : Même Corsair fait dans le mystère Corsair est un constructeur principalement connu pour sa mémoire initialement, mais qui s'est depuis largement diversifié dans les boîtiers, alimentations, accessoires pour joueurs et... clés USB. Notamment des modèles vantés pour leur résistance comme nous en avions fait l'expérience il y a quelques années.  On pourrait s'attendre d'une telle société un peu plus de transparence que ses concurrents... mais le manque d'informations données au client est en réalité moindre sur la Voyager Slider X1 que nous avons testée. Sur le site de la marque on ne trouve ainsi... aucun chiffre sur les débits à attendre. On ne sait pas ce que l'on achète. La seule donnée chiffrée indiquée (sous la forme d'un graphique) est le nombre de photos JPG ou d'heures de films que l'on peut stocker (selon la capacité). C'est d'autant moins compréhensible que pour la voyager, à peine plus chère, les débits en lecture/écriture sont détaillés. Il s'agit pourtant d'un modèle plus cher : 15 euros. Il est compact mais assez large, à connecteur Type-A rétractable (ergonomique), son corps est en plastique. Comme précédemment, cette clé dispose d'une garantie de 5 ans. Notez que certains revendeurs évoquent un débit en lecture de 130 Mo/s. Est-ce réaliste ? Voici ce que donnent nos tests : Ici aussi, les tests 4K peinent à se terminer En lecture, les performances sont plutôt bonnes : près de 170 Mo/s pour un transfert séquentiel, dans les 11 Mo/s pour les accès aléatoires 4K. Mais là encore, le flou sur les performances en écriture cachait des scores assez faibles. Transférer l'ISO de Windows 11 Beta sur la clé avec Rufus nous a demandé 9 minutes et 39 secondes.  JetFlash 780 de Transcend : la MLC change tout ? Finissons ce tour de piste par le modèle le plus cher : la JetFlash 780 de Transcend. Il s'agit toujours d'un modèle de 32 Go, mais vendu 28 euros cette fois. Le constructeur la présente comme basée sur des puces de Flash NAND MLC, à la manière d'un SSD. Cela ne rend pas le constructeur plus transparent sur les débits. En effet, ceux annoncés sur son site ou dans la fiche technique sont uniquement ceux pouvant être atteints par le modèle le plus performant de la gamme : 400 Mo/s en lecture et 150 Mo/s en écriture. Ce n'est bien entendu pas le cas du modèle de 32 Go, pour lesquels certains revendeurs évoquent plutôt 210 Mo/s et 75 Mo/s. La conception de la clé a par contre un effet direct sur ses dimensions, elle est plutôt longue (70 x 21 x 8,1 mm) et plus lourde que les autres modèles testés, 12 grammes contre 4 à 8 grammes. Sa garantie est de 5 ans. Petite spécificité : une fois formatée, elle propose 28,4 Go de stockage contre 28,6/28,8 Go pour les autres clés. Ce n'est pas les performances d'un SSD, mais ce sont les meilleures du lot Mais les résultats sont là, supérieurs à nos attentes : on grimpe à plus de 350 Mo/s en lecture séquentielle, dans les 15/16 Mo/s pour les accès aléatoires 4K. Les chiffres en écriture sont bien plus faibles mais tout de même assez bien positionnés par rapport aux modèles précédents : jusqu'à 51 Mo/s et 8 Mo/s. Transférer l'ISO de Windows 11 Beta sur la clé avec Rufus nous a demandé 2 minutes et 03 secondes. Grimper à 64 Go, la solution pour un bon résultat ? On l'a vu, la plupart des modèles tests sont assez décevants. Finalement, seule la Sandisk Ultra Flair tire son épingle du jeu par sa compacité et ses bonnes performances, la JetFlash 780 étant meilleure mais bien plus imposante. La transparence n'est de mise dans à peu près aucun des cas. SanDisk est celui qui donne le plus d'informations, assez réalistes mais encore bien trop incomplètes. Il faudrait que les débits séquentiels soient énoncés clairement, ceux en accès 4K aussi, comme c'est le cas pour les SSD (quitte à parler en IOPS).  Nous avons également remarqué un point qui méritera votre attention si vous cherchez un modèle performant mais pas premier prix : une clé SanDisk Extreme Go de 64 Go (‎SDCZ810-064G-G46) est vendue... 28 euros, comme la JetFlash 780. Ses débits sont évoqués clairement cette fois, tant sur le site que le packaging : 395/100 Mo/s. Comme quoi, c'est possible ! En pratique, nous avons relevé les résultats suivants : Pourtant, on y avait cru... On se retrouve ici avec des débits élevés en lecture/écriture séquentielle, mais plus fiables pour les petits fichiers, avec la même situation de modèles précédents où le test de CrystalDiskMark peine à finir. Avec sa capacité doublée, ce modèle aurait pu avoir notre préférence, représentant un bon compromis. Mais au vu de ces résultats et du temps de transfert de l'ISO de la Beta de Windows 11 (7 min46s), ce n'est pas le cas. Ceux en recherche de compacité et de petit prix auront tout intérêt à se tourner vers le modèle Flair Ultra, la JetFlash 780 étant le modèle le plus cher et le plus imposant, mais aussi le plus performant de ces tests. Lors de votre choix, prenez donc garde à ne pas vous laisser embobiner par les promesses. Méfiez-vous aussi des tests réalisés il y a longtemps, puisque parfois les performances évoluent alors que les références restent, surtout chez SanDisk. N'hésitez ainsi pas à tester vous-même et à renvoyer le produit si jamais il ne convient pas à vos attentes... d'ici à ce que constructeur et revendeurs se décident enfin à informer correctement leurs clients.   Source.
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    • Je voulais juste poster quelque chose que pratiquement personne en algerie ne connaît. Une des rare plate-forme au monde...qui accepte l'algerie pour créer une carte !!!!!   je trouve lamentable qu'en 2024 tous les pays du monde propose une appli bancaire avancee et GRATUITE....alors quen algerie on paye ce type d'application ? baridimob est payante, c'est ridicule et les autres banques aussi vous facturent jusqu'a 250/mois pour avoir un truc qui est propose ailleurs gratuitement depuis pres de 15 ans !
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