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  2. Le code 6746858 est bien actif ,tu dois avoir un problème de DNS qui filtre la source de téléchargement
  3. Merci, et comment tu fais ensuite pour installer OTT ? Le code 6746858 ne fonctionne pas dans la partie downloader.
  4. Aujourd’hui
  5. Le réseau domestique est le pilier de notre vie numérique moderne. Longtemps dominé par le Gigabit Ethernet (1 Gb/s), un nouveau standard s'impose peu à peu : le 10 Gigabit Ethernet (10 Gb/s). Si l'internet à très haut débit est désormais accessible dans de nombreux foyers, un goulot d'étranglement peut persister au sein de la maison. Opter pour du 10 Gb/s permet d'éliminer ce problème pour les usages les plus gourmands en bande passante. Pourquoi passer au 10 Gb/s ? Le Gigabit Ethernet reste suffisant pour la plupart des usages quotidiens comme le streaming 4K ou la navigation web. Cependant, le 10 Gb/s devient indispensable pour ceux qui traitent des volumes massifs de données. Transferts de fichiers massifs : Pour les créateurs de contenu, les vidéastes ou les passionnés de photographie, le transfert de fichiers volumineux vers un serveur de stockage en réseau (NAS) est considérablement accéléré. Un fichier de 100 Go se copie en moins de 2 minutes en 10 Gb/s, contre plus de 13 minutes en 1 Gb/s. Production multimédia collaborative : Dans un foyer où plusieurs utilisateurs travaillent avec des fichiers vidéo 4K ou 8K sur un NAS, le 10 Gb/s garantit un accès fluide et sans latence pour tous. Réseaux domestiques complexes : Pour les foyers équipés de nombreux appareils connectés (consoles de jeu, TV 8K, multiples ordinateurs), un réseau 10 Gb/s permet d'éviter la congestion et de garantir des performances optimales pour tous les utilisateurs simultanément. Sauvegardes rapides : La sauvegarde de données sur un NAS est un processus souvent long. Le 10 Gb/s permet d'effectuer des sauvegardes complètes en une fraction du temps habituel. Virtualisation et calcul intensif : Les utilisateurs qui exécutent des machines virtuelles ou effectuent des tâches de calcul gourmandes en bande passante bénéficieront d'une communication ultra-rapide entre leurs serveurs et stations de travail. Les composants essentiels pour un réseau 10 Gb/s : Passer au 10 Gb/s ne se résume pas à l'achat d'un nouveau routeur. Il s'agit de mettre à niveau l'ensemble de l'infrastructure du réseau. Matériel informatique : Les cartes mères récentes et haut de gamme sont souvent équipées d'un port 10 Gb/s. Pour les anciens PC, il faudra installer une carte d'interface réseau (NIC) 10 Gb/s dans un slot PCIe libre. Pour les ordinateurs portables, des adaptateurs Thunderbolt vers 10 GbE sont disponibles, bien que coûteux. Commutateur réseau (switch) : Un switch 10 Gb/s est indispensable pour connecter plusieurs appareils à cette vitesse. Il existe des modèles avec des ports 10 Gb/s (souvent en SFP+) et des ports 2.5 Gb/s ou 1 Gb/s pour les autres appareils. Le coût des switches 10 Gb/s a diminué, mais il faut prévoir un budget plus important que pour un switch Gigabit classique. Câblage : Pour atteindre les 10 Gb/s sur une distance de 100 mètres, le câble Cat6a est le minimum requis. Les câbles Cat7 offrent des performances encore meilleures. Pour des connexions très courtes (moins de 7 mètres) vers la box ou entre des commutateurs, les câbles DAC (Direct Attach Copper) en SFP+ peuvent être une option économique. Transceivers SFP+ : Si vous utilisez un switch ou une box avec des ports SFP+, il vous faudra des transceivers pour connecter des câbles Ethernet ou en fibre optique. Box internet compatible : Certaines box internet récentes, comme la Freebox Ultra, intègrent un port 10 Gb/s SFP+ pour votre réseau local. Planifier son installation : Une planification minutieuse est cruciale pour une installation réussie. Évaluer les besoins : Déterminez quels appareils ont réellement besoin de la vitesse 10 Gb/s. L'ordinateur de montage vidéo et le NAS sont de bons candidats, tandis que les consoles de jeu peuvent se contenter d'une connexion multi-gig (2.5 Gb/s). Sélectionner l'emplacement du switch : Choisissez un endroit central et bien ventilé pour votre switch, car les équipements 10 Gb/s peuvent chauffer. Installer les cartes réseau : Équipez les ordinateurs cibles avec des cartes réseau 10 Gb/s. Acheter le câblage : Optez pour du Cat6a au minimum, et veillez à bien respecter les normes de câblage pour des performances optimales. Connecter et configurer : Branchez le tout et configurez votre réseau pour optimiser les performances. Coût et bénéfices : Bien que les équipements 10 Gb/s aient vu leur prix baisser, le coût d'une mise à niveau complète reste conséquent. Cependant, pour les professionnels et les utilisateurs exigeants, l'investissement se justifie par des gains de temps considérables et une expérience utilisateur sans faille. Le déploiement d'un réseau 10 Gb/s permet également de préparer son domicile aux futures technologies qui consommeront toujours plus de bande passante. En résumé, si le Gigabit est toujours la norme pour la majorité des foyers, le 10 Gb/s est la solution pour ceux qui veulent une performance sans compromis sur leur réseau local.
  6. Dans une ère dominée par les géants du numérique, l'autohébergement, ou self-hosting, émerge comme une alternative puissante pour ceux qui souhaitent reprendre le contrôle de leurs données. Cette pratique consiste à gérer ses propres services informatiques sur sa propre infrastructure, plutôt que de s'appuyer sur des fournisseurs externes comme les services de cloud public. L'autohébergement n'est pas seulement un choix technique, c'est aussi un acte politique et éthique qui favorise la décentralisation d'Internet. Qu'est-ce que l'autohébergement ? Concrètement, il s'agit d'installer des services sur une machine qui vous appartient et que vous configurez vous-même, chez vous ou au bureau. Ces services peuvent être divers, allant d'un serveur de fichiers personnel à un serveur de messagerie, en passant par un site web ou un gestionnaire de mots de passe. En vous lançant, vous devenez à la fois l'hébergeur et l'administrateur de vos propres applications. Les bénéfices de l'autohébergement : Souveraineté des données : L'avantage principal est la maîtrise totale de vos données. Vous savez où elles sont stockées et qui peut y accéder, ce qui est crucial pour la confidentialité et la sécurité. Contrôle et liberté : Contrairement aux services cloud, vous n'êtes pas soumis aux restrictions ou aux conditions d'utilisation d'un tiers. Vous avez la liberté d'installer et de configurer n'importe quel service selon vos besoins. Économies à long terme : Bien qu'un investissement initial soit nécessaire pour le matériel, l'autohébergement peut se révéler plus économique sur le long terme en évitant les abonnements récurrents. Apprentissage technique : C'est une excellente occasion d'approfondir ses compétences en administration système, en sécurité et en réseautage. Décentralisation du web : En hébergeant vous-même vos services, vous contribuez à un internet plus distribué et résilient. Les défis et responsabilités : Sécurité : Vous êtes entièrement responsable de la sécurisation de votre serveur contre les cyberattaques. Cela demande une expertise pour gérer les mises à jour et les configurations. Maintenance et disponibilité : L'autohébergement exige une maintenance régulière pour garantir le bon fonctionnement de vos services. En cas de panne, c'est à vous de la résoudre. Investissement en temps : Pour les débutants, la configuration, la maintenance et le dépannage peuvent être très chronophages. Ressources et bande passante : Pour un accès performant depuis l'extérieur, une connexion Internet avec un bon débit montant est nécessaire. Quel équipement choisir ? Le choix du matériel dépendra de vos besoins et de votre budget. Pour les petits projets : Un mini-ordinateur comme un Raspberry Pi est un excellent point de départ pour les débutants, grâce à son faible coût et sa faible consommation énergétique. Pour le stockage : Un NAS (Network Attached Storage) est une solution populaire et relativement simple à utiliser pour le stockage de fichiers en réseau. Pour les projets complexes : Un ancien PC reconditionné ou un serveur dédié offrira plus de puissance et de flexibilité pour des besoins plus importants. Des logiciels pour simplifier l'autohébergement Pour rendre cette pratique plus accessible, des systèmes d'exploitation et des plateformes ont été développés. YunoHost : Basé sur Debian, il simplifie l'installation et la gestion de nombreux services via une interface web conviviale. Nextcloud : Il permet de créer son propre cloud personnel pour le stockage et la synchronisation de fichiers, ainsi que la gestion de contacts et d'agendas. Docker : Cet outil de conteneurisation facilite le déploiement d'applications en regroupant leurs dépendances. Conclusion : L'autohébergement est une quête de souveraineté et de personnalisation dans un monde numérique centralisé. C'est un chemin qui requiert un certain engagement en termes de temps et d'efforts, mais qui offre en retour une liberté et une satisfaction inégalées. Pour ceux qui n'ont pas les compétences techniques ou le temps nécessaire, les services d'hébergement traditionnels restent une alternative plus simple. Mais pour les passionnés et les soucieux de leur vie privée, l'autohébergement est une expérience enrichissante, qui leur permet de reprendre pleinement le contrôle de leur vie numérique.
  7. L'intrication quantique est l'une des propriétés les plus étranges et les plus fascinantes de la physique quantique. Elle décrit le phénomène par lequel deux particules ou plus, même séparées par une grande distance, sont si fortement corrélées que l'état de l'une est lié à celui de l'autre. Ce lien mystérieux a ouvert la voie à des recherches sur un "Internet quantique" qui pourrait révolutionner les communications et la sécurité des données. L'intrication quantique : au-delà de la logique classique Découverte il y a près d'un siècle, l'intrication quantique a d'abord dérouté les physiciens, y compris Albert Einstein qui l'a qualifiée d'« action fantôme à distance ». Ce n'est pas une connexion physique instantanée qui permettrait de communiquer plus vite que la lumière, comme une idée fausse courante le suggère. Au lieu de cela, il s'agit d'une corrélation intrinsèque entre les états des particules. Si vous mesurez une propriété d'une particule (par exemple, son "spin"), vous connaissez instantanément la propriété correspondante de sa partenaire intriquée, quelle que soit la distance qui les sépare. Les défis et le potentiel de l'Internet quantique Le concept d'un Internet quantique vise à exploiter cette propriété pour créer un réseau reliant des appareils quantiques, tels que des capteurs et des ordinateurs. Au lieu de transférer des informations classiques (bits), il transmettrait des "qubits", des unités d'information quantique capables d'exister dans des états de superposition. Cependant, il existe des obstacles majeurs : Fragilité des qubits : Les qubits sont extrêmement sensibles à leur environnement. Le moindre bruit ou interférence peut provoquer leur décohérence, faisant perdre leur état quantique. Répéteurs quantiques : Pour transmettre des informations sur de longues distances, des répéteurs quantiques sont nécessaires pour échanger l'intrication entre des qubits intermédiaires. La recherche dans ce domaine est en cours. Bande passante limitée : La délicatesse des messages quantiques nécessite des protocoles de préparation et de transmission complexes, ce qui pourrait limiter la bande passante par rapport à l'Internet classique. Applications et avantages potentiels Malgré ces défis, les investissements et les recherches se multiplient pour faire de l'Internet quantique une réalité. Ses applications potentielles sont révolutionnaires : Communications ultra-sécurisées : La sécurité est l'un des principaux moteurs de la recherche. Toute tentative d'interception d'un message quantique altérerait son état, alertant immédiatement les utilisateurs. Cela rendrait l'espionnage pratiquement impossible. Informatique quantique distribuée : Un réseau quantique permettrait de connecter des ordinateurs quantiques, résolvant des problèmes complexes que même un superordinateur quantique ne pourrait pas traiter seul. Avancées scientifiques : L'Internet quantique pourrait synchroniser des horloges de précision à travers le monde, permettant des avancées dans la recherche fondamentale. Téléportation quantique : L'intrication rendrait possible la téléportation quantique, non pas d'objets, mais de l'état quantique d'une particule à une autre. Vers un futur hybride : Contrairement à l'idée qu'il remplacerait l'Internet classique, l'Internet quantique est davantage perçu comme une technologie complémentaire. Il ne serait pas utilisé pour des transferts de données massifs comme le streaming vidéo, mais pour des applications spécifiques nécessitant une sécurité maximale ou une puissance de calcul distribuée. Les deux réseaux, classique et quantique, coexisteraient et interagiraient. En conclusion, l'intrication quantique est la pierre angulaire d'une révolution des communications. Bien que la mise en œuvre d'un Internet quantique à grande échelle soit encore confrontée à des défis techniques, les progrès constants dans la recherche et le développement nous rapprochent d'un avenir où les informations pourront être transmises de manière fondamentalement plus sûre et plus efficace. Source : Google IA
  8. Imaginez un ordinateur capable de résoudre des problèmes complexes en quelques secondes, là où les ordinateurs classiques prendraient des années, voire des siècles. Bienvenue dans le monde des ordinateurs quantiques, où la physique quantique rencontre l'informatique. Comment ça marche ? Les ordinateurs quantiques utilisent des qubits, les équivalents quantiques des bits classiques. Contrairement aux bits qui ne peuvent être que 0 ou 1, les qubits peuvent exister dans plusieurs états simultanément, grâce à la superposition et à l'intrication quantique. Cela permet aux ordinateurs quantiques de traiter une quantité massive d'informations en parallèle. Les Applications Potentielles Cryptographie : Les ordinateurs quantiques pourraient casser les codes de cryptage actuels, mais ils pourraient également permettre de créer des codes de cryptage inviolables. Optimisation : Les ordinateurs quantiques pourraient résoudre des problèmes d'optimisation complexes, comme la planification de routes ou la gestion de chaînes de production. Simulation : Les ordinateurs quantiques pourraient simuler des systèmes complexes, comme des molécules ou des matériaux, ce qui pourrait révolutionner la recherche scientifique. Les Défis à Venir Stabilité des qubits : Les qubits sont extrêmement sensibles aux perturbations environnementales, ce qui rend difficile leur maintien dans un état stable. Erreur de calcul : Les ordinateurs quantiques sont sujets à des erreurs de calcul, ce qui nécessite des méthodes de correction d'erreurs avancées. L'Avenir des Ordinateurs Quantiques Les ordinateurs quantiques sont encore dans leur enfance, mais les progrès réalisés jusqu'à présent sont prometteurs. Les entreprises et les chercheurs travaillent dur pour surmonter les défis techniques et développer des applications pratiques. Si les ordinateurs quantiques deviennent une réalité, ils pourraient révolutionner de nombreux domaines et ouvrir de nouvelles perspectives pour l'humanité. Conclusion Les ordinateurs quantiques sont une technologie fascinante qui pourrait changer le monde. Bien que les défis soient nombreux, les avantages potentiels sont trop importants pour être ignorés. Alors, êtes-vous prêts à découvrir ce que l'avenir des ordinateurs quantiques réserve ? Source: Meta IA
  9. Intel a récemment dévoilé sa dernière innovation en matière de technologie de processus : Intel 18A. Cette nouvelle génération de processeurs promet de révolutionner le monde de l'informatique avec ses performances améliorées et sa consommation énergétique réduite. Caractéristiques Clés d'Intel 18A Technologie RibbonFET : Intel 18A utilise la technologie RibbonFET (Gate-All-Around), qui permet un contrôle précis du courant électrique dans le canal du transistor. Cela se traduit par une miniaturisation supplémentaire des composants de la puce tout en réduisant la consommation énergétique. Alimentation Électrique par l'Arrière (PowerVia) : PowerVia est une technologie d'alimentation électrique par l'arrière qui améliore la densité et l'utilisation des cellules de 5 à 10 % et réduit la perte de résistance inhérente (IR) par rapport aux modèles d'alimentation à l'avant. Densité de Puces Améliorée : Intel 18A offre une densité de puces 30 % plus élevée par rapport au nœud de processus Intel 3. Performances Améliorées : Les processeurs Intel 18A peuvent atteindre des performances jusqu'à 15 % meilleures par watt et une fréquence jusqu'à 25 % plus élevée que celles des processeurs Intel 3. Applications et Cas d'Utilisation Calcul Haute Performance (HPC) : Les processeurs Intel 18A sont conçus pour les applications qui nécessitent des niveaux de performances élevés avec une grande efficacité énergétique, comme les simulations de dynamique des fluides, la modélisation du climat et l'apprentissage automatique. Intelligence Artificielle (IA) : Les capacités de calcul améliorées des processeurs Intel 18A les rendent idéaux pour les applications d'IA, comme la reconnaissance d'images et la modélisation prédictive. Traitement du Signal d'Image et de Vidéo : Les processeurs Intel 18A peuvent être utilisés pour le traitement du signal d'image et de vidéo, comme la reconnaissance faciale et la compression vidéo. Avantages et Innovations Meilleure Efficacité Énergétique : Les processeurs Intel 18A offrent une meilleure efficacité énergétique que les générations précédentes, ce qui signifie qu'ils consomment moins d'énergie tout en offrant des performances similaires ou supérieures. Intégration de la Technologie de Packaging Avancée : Les processeurs Intel 18A intègrent des technologies de packaging avancées, comme Foveros et EMIB, qui permettent une meilleure intégration des composants et une réduction de la latence. Fiabilité et Robustesse : Les processeurs Intel 18A ont été conçus pour être fiables et robustes, avec des fonctionnalités telles que la détection et la correction d'erreurs pour garantir une exécution fiable des applications. Conclusion En résumé, Intel 18A est une technologie de processus révolutionnaire qui offre des performances améliorées, une consommation énergétique réduite et une meilleure intégration des composants. Avec ses capacités avancées et sa fiabilité, Intel 18A est prêt à jouer un rôle clé dans l'avenir de l'informatique Source : Meta IA
  10. C'est un comble, une farce logicielle dont seul Microsoft a parfois le secret. La dernière mise à jour de sécurité pour Windows 11 rend totalement inutilisable l'outil censé vous sauver… des mises à jour ratées. Une histoire d'arroseur arrosé qui ferait sourire si elle ne laissait pas des milliers d'utilisateurs démunis face à un écran bleu. La mise à jour d’octobre 2025 désactive les périphériques USB dans l’environnement de récupération Windows. © Shutterstock Votre PC refuse de démarrer, mais par chance, vous connaissez la procédure : direction l'environnement de récupération Windows, ce fameux menu salvateur. Sauf que cette fois, un piège vous attend. La mise à jour KB5066835, fraîchement installée, a décidé de faire la grève des périphériques. Votre clavier et votre souris, pourtant fidèles au poste, restent de marbre. Vous voilà face aux options de réparation, incapable de cliquer sur quoi que ce soit. Un scénario kafkaïen offert par le géant de Redmond. Le pompier pyromane Le problème est aussi simple que déconcertant : la mise à jour optionnelle d'octobre 2025 pour Windows 11 (versions 24H2 et 25H2) empêche les pilotes de vos périphériques USB de se charger correctement dans l'environnement de récupération, ou WinRE pour les intimes. Cet espace, normalement votre meilleur allié en cas de plantage, devient une coquille vide. Impossible de restaurer un point de sauvegarde, de lancer une réparation automatique ou même de réinitialiser votre machine. Microsoft, dans un communiqué qui ne manque pas de sel, a reconnu le problème. Sa recommandation ? Éviter, si possible, d'entrer dans cet environnement de récupération. Un conseil précieux, mais légèrement inutile pour ceux qui y sont déjà coincés. La firme promet un correctif d'urgence, mais en attendant, c'est le règne du système D. Cet incident n'est pas sans rappeler d'autres bourdes passées, ravivant le débat éternel sur la fiabilité des mises à jour Windows, parfois distribuées avec un optimisme déconcertant. Le système D et la promesse d'un avenir meilleur Alors, que faire quand on est pris au piège ? Les plus débrouillards ont déjà trouvé des parades. La solution la plus courante consiste à créer une clé USB de récupération sur un autre ordinateur, afin de démarrer dessus et de contourner le WinRE défaillant. C'est un peu comme devoir utiliser la voiture du voisin pour aller chercher les clés de la sienne, oubliées à l'intérieur. Ironiquement, Microsoft travaille depuis des mois sur le remède à ce genre de maux. Baptisé Quick Machine Recovery, cet outil nouvelle génération, encore en test, est conçu pour réparer un PC qui ne démarre plus de manière quasi autonome, en allant chercher les correctifs nécessaires directement sur le web. Il pourrait, à l'avenir, rendre obsolètes ces pannes frustrantes. En attendant que la cavalerie arrive, cet épisode nous rappelle une règle d'or : la prudence est mère de sûreté, surtout quand on s'apprête à cliquer sur « Installer la mise à jour ». Une bonne sauvegarde reste votre plus fidèle amie. Source
  11. Hier
  12. Mise à jour : Ajout de 6 nouveaux codes de Downloader
  13. Ils ne précisent pas combien de raccordements ftth sont dotés de modems et sont activés
  14. Modernisation du réseau et généralisation de la fibre optique [Contenu masqué]
  15. Après avoir corrompu les décideurs ,les rouspéteurs la hiéŕarchie ,ses employés c'est le tour des dénonciateurs de troquer leurs plumes contre les largesses d'AT qui ne se gêne pas de pénaliser méme les abonnés adsl qui basculent vers l'offre de 15Mbps en leur exigeant l'achat du modem fibre et de payer les frais , soit 10500 Da
  16. La dernière semaine
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