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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. Nedjma lance son application “Ramadanyate” Après une promotion concernant son offre internet, Nedjma continue son opération séduction en ce mois sacré de Ramadan, à travers le lancement d’une nouvelle application. Déjà sponsor exclusif de l’évènement ramadanesque GeekFtour Algérie, Nedjma a également baissé de 50% son offre Internet sur mobile pour une vingtaine de jours. Mais cela n’empêche pas l’opérateur d’en offrir plus, en lançant sa nouvelle application nommée “Ramadanyate”. Nedjma permet ainsi à ses clients d’utiliser, gratuitement, des contenus créés exclusivement pour le mois de Ramadan, à l’image de l’appel à la prière, les horaires d’El Iftar et El Imsak, ainsi que des conseils religieux. L’application “Ramadanyate” se penche aussi sur la gastronomie à travers des recettes de cuisine et des conseils diététiques, ainsi que sur les programmes TV de plusieurs chaînes algériennes et arabes. Des programmes culturels et divertissants sont aussi au menu, avec quiz, cartes de vœux et boukalates. À noter que cette application est gratuitement téléchargeable à travers les plates-formes d’Android, Play Store, et d’iOS, App Store. Source
  2. Bo^^^^^ika absent depuis près de 80 jours : l’Algérie, un pays bloqué L’Algérie est bloquée. Le faire semblant a remplacé la prise de décision réelle. Le pire est que les officiels disent à voix haute que le pays « fonctionne normalement », malgré l’absence prolongée du président de la République. Abdelaziz Bo^^^^^ika est en France depuis bientôt 80 jours pour des soins, après un AVC mineur. Il serait en convalescence dans le centre militaire des Invalides à Paris. Le Premier Ministre, Abdelmalek Sellal, a promis de faire des déclarations lors de sa prochaine « visite » dans la wilaya de Tizi Ouzou, n’a pas cessé de le répéter. Et, puis, Sellal a bien soutenu qu’il n’était pas le médecin de Bo^^^^^ika. Pourtant, le Conseil des ministres ne s’est pas réuni depuis décembre 2012. Autrement dit, depuis sept mois, aucune loi n’a été examinée, adoptée et envoyée au Parlement. Un Parlement réduit à jouer les temps morts. Deux lois à peine ont été discutées et adoptées, durant… quatre mois. L’Assemblée populaire nationale (APN) n’a pas l’habitude d’initier des lois et de contraindre le gouvernement à les accepter. Pendant plus de 120 jours, les députés étaient payés presque à ne rien faire, sauf à se battre pour des postes, comme c’est le cas actuellement des « élus » du FLN. Il en est de même pour les membres du Conseil de la Nation, très à l’aise dans leur silence. Mais qui peut donc demander des comptes à des députés et à des sénateurs ? Qui peut les obliger à travailler, à mériter les salaires et les primes qu’ils perçoivent, à faire des propositions concrètes au pays ? Visiblement, personne. L’absence de réunions du Conseil des ministres a entraîné le gel inévitable de plusieurs projets de loi. Il s’agit, entre autres, de la loi sur l’ouverture du secteur audiovisuel, du texte portant amendement du code pénal et, bien sûr, de la Loi de finance complémentaire 2013. Cette loi doit être votée avant la fin du mois juillet. Or, ce n’est plus possible. Pour être adoptée par ordonnance présidentielle, il faut que ce texte soit examiné et adopté par le Conseil des ministres, puis avalisé par le Parlement. Comment le gouvernement va-t-il agir pour couvrir les nouvelles dépenses non prévues dans la Loi de finance 2013 et les réaffectations budgétaires ? Mystère. Parmi ces dépenses, les crédits que le gouvernement a promis aux jeunes chômeurs du Sud pour créer des micro entreprises. Faut-il parler de promesse non tenue ? Les jeunes de Ouargla, Laghouat, Illizi et El Oued ont organisé plusieurs manifestations pacifiques, pour dénoncer la marginalisation et l’oubli dont ils ont été victimes en matière de recrutement par les firmes pétrolières et gazières. Le gouvernement a annoncé des mesures pour les faire calmer. La paix sociale n’a pas de prix ! La Loi de finances complémentaire 2013 devait prendre en charge ces « mesures » ? Les chômeurs doivent attendre donc d’autres promesses, d’autres lois. Les projets de la manifestation « Constantine, capitale de la culture arabe 2015 » sont également compromis, en raison justement de la non-adoption de la Loi de finance complémentaire 2013. La plupart des crédits retenus pour cette manifestation sont inscrits dans cette loi. Que fera le gouvernement pour rattraper le retard ? « Constantine, capitale de la culture arabe 2015 » est un engagement international que l’Algérie doit respecter. La bureaucratie financière algérienne est telle qu’il sera presque impossible de livrer les projets nécessaires à cet événement à temps, c'est-à-dire à la fin 2014. Le projet de révision de la Constitution connaît, lui aussi, un grand retard. Dès la rentrée sociale, les regards vont se braquer sur les préparatifs de l’élection présidentielle d’avril 2014. Il y aura peu de temps à consacrer à un éventuel référendum sur la Constitution dont la mouture a été préparée à huis clos, sans débat public ouvert. Une révision qui a perdu d’ailleurs tout son intérêt avec « l’inconnue» introduite par la maladie prolongée du chef de l’État. Dans le cas d’élection présidentielle anticipée, les choses risquent de changer de fond en comble. Le pays tourne en rond. Bo^^^^^ika, en concentrant la plupart des pouvoirs entre ses mains après la révision constitutionnelle de 2008, a, en fait, piégé l’État et ses institutions. Plus rien ne bouge sans son aval, sa signature. La nomination des nouveaux ambassadeurs et le mouvement dans le corps des magistrats sont bloqués. Des centaines de fonctionnaires de l’État et leurs familles sont dans l’expectative. Faut-il alors attendre le retour du président de la République pour reprendre ses fonctions ? Ou faut-il engager en urgence le processus prévu dans l’article 88 de la Constitution sur la vacance au pouvoir. Même dans le cas de l’engagement de cette destitution constitutionnelle pour raison de santé, la procédure durera au moins 105 jours. Le pays restera presque suspendu durant cette période. Les partis se taisent. Certains d’entre eux avaient réclamé l’application de l’article 88 de la Constitution pendant un moment, puis plus rien. Sellal a-t-il été convaincant pour que le silence se généralise ? Ahmed Gaid Salah, chef d’état-major de l’armée, solide soutien de Bo^^^^^ika, a vite tenté de fermer le débat sur la destitution constitutionnelle avec une mise garde sous forme de menace exprimée à travers un communiqué écrit au nom de l’ANP. Autrement dit, l’armée empêche clairement l’application d’une disposition constitutionnelle. Jusqu’à quand ? En tous cas, le président Bo^^^^^ika doit rentrer obligatoirement avant le 30 septembre 2013, limite légale pour l’envoi au Parlement de la Loi de finances 2014, après examen et adoption en Conseil des ministres. Dans le cas contraire, l’Algérie sera complètement plombée, à l’arrêt. A ce moment-là, la destitution de Bo^^^^^ika sera inévitable. Si l’armée persiste à refuser la mise en application de la Constitution dans pareilles situations, elle aura pris la lourde responsabilité d’avoir poussé l’Algérie vers la dérive. Source
  3. De l’Internet gratuit dans les places publiques à Bechar Après que les autorités locales de la wilaya d’Illizi aient décidé récemment d’étudier l’éventualité de la prise en charge de la facture d’électricité, durant l’été, pour les habitants de la ville, voila que le Président de l’APC de Bechar prend l’initiative d’installer des antennes d’Internet haut débit Wifi dans toutes les placettes publiques de la localité. Le service «Bechar –Wifi», sera lancé avant la fin du mois de Ramadhan a indiqué celui-ci, avant d’ajouter que «cette opération, qui sera dans une première phase dans trois grandes places de la commune avant d’être élargie à l’ensemble des lieux et espaces publics de la ville, vise essentiellement à offrir à la population un accès gratuit aux technologies de la communication et de l’information». Peut-on qualifier ces mesures de «populistes» prises par les autorités en direction des citoyens du Sud du pays ? Après l’offre de l’électricité gratuite à Illizi et la réduction de 50% des tarifs des billets d’avion allant et venant du Sud entre autre, la question se pose. Ces décisions avaient été entreprises il y a quelques mois après qu’un large mouvement de protestation ait éclaté dans le sud de l’Algérie pour réclamer du travail. Ainsi ce genre de nouveaux services fera certainement plaisir aux gens de la région, d’autant plus qu’il y a un réel problème d’accès à Internet dans la région. L’Internet haut débit gratuit dans les places publiques sera donc une première en Algérie. Et c’est la ville de Bechar qui est pionnière en la matière. Espérons qu’une telle initiative, soit généralisée à toutes les autres régions du pays. A noter, en dernier lieu, que les autorités refusent toujours de lancer la 3 G même si les opérateurs de la téléphonie mobile se disent tous fins prêts pour ça. En attendant, la généralisation du Wifi est une solution. Source
  4. c'est sûr que c'est pas les gars de ton genre qui amélioreront les TIC en Algérie , si on t'écoutait , on prendrait une corde et on va se pendre ou bien aller directement à l'ambassade et exiger un VISA , machi de séjour ni de tourisme ni d'étude , un VISA Connect , pour se connecter ouiii aller à l'étranger pour se connecter et le jour où l'algérie aura du haut débit , ton visa arrivera à expiration là tu va retourner en Algérie. la bonne nouvelle c'est que je suis sûr que le Soudan , la somalie , le mozambique nous accueilleront avec grand joie ! c'est pas parce qu'on est en retard qu'on doit oublié les TIC , au contraire il faut en parler si la presse nous oublie qui va nous rappeler alors qu'on est en retard ?? heureusement kayen internet pour savoir ce qui se passe dans le monde et ça réchauffe un peu le coeur de voir ce que les humains sont capables de faire.
  5. pour l'informatique , là où tu iras il y aura du boulot , l'informatique c'est le futur , enfin ..... si on arrive à se débarrasser de ses dinosaures qui nous gouvernent ! certes pour l'instant , les informaticiens en Algérie sont soient chômeurs soient sous-exploité parce que l'informatique est à la traîne en algérie , le jour où tout sera informatisé , ils auront besoins de techniciens de réparateurs .... etc. déjà Algérie Télécom 2.0 (compétente et sans corruption) aura besoin d'ingénieurs et d'informaticiens qualifiés ..... etc il y a une chose, un diplôme en informatique ne veut rien dire , tu peux être diplômé en informatique en Algérie sans même savoir allumer un pc , alors c'est à toi de voir si tu veux être diplômé compétent ou diplômé incompétent. Le système LMD est un bon Système pour les fainéants , tu peux avoir ton Année facilement en trichant et avec les systèmes de compensations (contrairement à l'ancien système où t'es recalé si ta une note éliminatoire) , maintenant tu peux avoir 0 dans un module et tu auras ton année. Je suis contre ce système moi car on t'apprends rien d'utile où ce dont tu auras besoin dans la vie professionnelle , un programmeur qui ne maîtrise aucun langage de programmation c'est grave quand même , en même temps étudier le C++ en 2 mois c'est trop MDR vive l'algérie 30 modules dans l'année euhhh c'est anti pédagogique ça mais c'est sa le LMD faire tout en un temps record. ce que j'adore à l'Université c'est les professeurs , ils entrent le 1er jour ils se présentent et ils te donnent le programme du Semestre ahhh toi tu vois défiler les chapitres , .... et à la fin ils vont vous dire : mais .... on va juste se limiter aux 2 premiers chapitres les 10 restants on aura pas le temps de les faire le problème l'année prochaine , les modules seront basés sur les 10 chapitres que ta pas fait et les profs diront mais .... vous avez fait quoi alors l'année passé (Za3ma ils le savent pas surtout si c'est le même prof que l'année passée ) , vous direz beh rien et ainsi de suite. Bref à l'université surtout en Algérie , il est impossible d'acquérir un savoir , faut étudier sois même et surtout se documenter sur le net , l'informatique c'est international , la programmation est disponible sur le net , à vous de voir , pour les notes pas besoin de savoir , il suffit juste d'être con et discipliné et apprendre les exos de TD comme un idiot et vous aurez une bonne note. voilà quelques petits conseils qui peuvent servir à tout le monde, bonne chance !
  6. le choix se fera au passage en 2 ème année donc c'est un peu précipité , quand t'aura ton année là tu réfléchiras , ça dépendra aussi de la wilaya , apparemment déjà dans les même modules ils étudient pas la même chose , j'ai entendu dire qu'en première année MI on étudiait le langage C directement dans certaines wilayas alors qu'à Tizi-Ouzou ils étudient le langage Pascal (1970) , donc tu vois ça diffère.
  7. t'aime pas l'informatique ? MI est la seule filière qui débouche vers un diplôme d'ingénieur en informatique , je parle pas des écoles spécialisés certes la première année tu va galérer un peu avec les maths mais c'est le tronc commun après la 2 ème année tu va en informatique et c'est bon tu va faire tout le reste de tes études en informatique après la 2 ème année y aura plus de maths , que de l'informatique et de la programmation pour médecine , ne sois pas trop déçu car même avec 15 tu n'est pas sûr d'y aller , la moyenne que tu décris c'est juste la moyenne pour entrer dans le classement mais la réalité est tout autre , elle augmente selon la demande et les places pédagogiques donc ......
  8. Coût exorbitant, faible taux de connexion des foyers, visibilité limitée sur facebook Internet : pourquoi l’Algérie est à la traîne Moins de 30% de la population nationale ont accès à Internet. On parle d’environ 11 millions d’internautes. À peine 3,4 millions d’entre eux possèdent un compte sur les réseaux sociaux. Sur les 4 000 sites hébergés dans le pays, uniquement 900 sont actifs. Avec un débit de connexion plus faible, Internet, en Algérie, est 2 fois plus cher qu’en Tunisie, 4 fois qu’au Maroc et 20 fois qu’au Canada. Nul besoin d’être expert en la matière pour savoir que l’Algérie accuse un retard considérable dans le domaine des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Un indicateur simple  : elle peine à mettre en pratique la téléphonie mobile de troisième génération au moment où de très nombreux pays ont déjà lancé la 4G. Au regard des spécialistes, ce n’est pas là l’exemple le plus édifiant de la faiblesse des performances du pays. Le président de l’Association algérienne des fournisseurs de service Internet (Aafsi), Ali Kahlane, a révélé, dernièrement, que moins de 20% des Algériens ont accès à Internet. Ce chiffre a été corroboré par une étude de l’Observatoire européen de l’audiovisuel, dont quelques résultats ont été fournis par André Lange, chef de la division information sur les marchés et le financement de l’organisme lors d’un séminaire organisé par le Parlement européen au début du mois de juin dernier. Ils disent que l’Algérie et la Libye se classent aux dernières places en matière de pénétration d’Internet. Entre 10 et 20% de leurs populations possèdent un compte sur les réseaux sociaux, essentiellement facebook. Plus précisément, 3,4 millions d’Algériens ont une visibilité sur facebook. Les statistiques de l’Union internationale des télécommunications (UIT), institution des Nations unies pour les technologies de l'information et de la communication (TIC), vont aussi dans le même sens. Entre 2002 et 2011, la population nationale utilisant Internet est passée de 1,59% à 14%, enregistrant une performance de 7,80 fois. “Durant la même période et de dimension, le Soudan est passé de 0,44% à 19%, réalisant ainsi une performance de 42,18 fois. Le Maroc est passé de 2,37% à 51%, réalisant ainsi une performance de 20,51 fois. Donc, pour cette dimension, cela indique en termes de capacité que le Soudan dépasse l’Algérie de 4,40 fois et que le Maroc la dépasse aussi de 1,62 fois”, interprète Réda Alioua, expert international de systèmes. La même source révèle que le pays a réalisé, pendant ces dix ans, une avancée de 0,47 fois dans la téléphonie fixe tandis que le Maroc a multiplié ses capacités par 1,88 fois. La Toile n’est pas uniquement sous-exploitée dans la sphère privée. Elle l’est davantage dans les domaines professionnels. M. Kahlane a souligné que sur les 4 000 sites hébergés en Algérie (ce qui est déjà peu), seulement 900 sont actifs. Ce qui sous-entend, par ricochet, que les entreprises n’utilisent pas assez, voire du tout, la technologie numéraire. Ces indicateurs montrent un échec patent dans la mise en œuvre de la stratégie du ministère de la Poste, des Télécommunications et des NTic à travers le programme e-Algérie. Ce dernier, finalisé en 2008, devait généraliser l’usage des TIC au gouvernement et au niveau de l’administration publique ; la mise à niveau de l’infrastructure nationale des télécommunications dans ses compartiments commutation, transmission et réseau d’accès ainsi que l’introduction, en Algérie, de services en ligne, comme le e-commerce, le e-banking… Force est de constater que rien n’est encore fait. “Le projet e-Algérie a été lancé en 2008 et a changé de nom à plusieurs reprises tout en gardant le mot (e-Algérie). On a seulement changé les années au fur et à mesure, car on a découvert à plusieurs reprises que les ambitions étaient plus importantes que la capacité réelle et disponible à les réaliser”, analyse Réda Alioua. L’expert international relève aussi le déficit en spécialistes qualifiés. Dans le domaine de la recherche scientifique et universitaire, le retard se fait aussi ressentir de manière significative. La situation apparaît dans toute son absurdité dans le listing mondial des dépôts de brevet, établi annuellement par la World Intellectual Property Organization. En 2010, les États-Unis ont déposé 45 008 demandes de brevet, le Japon, 38 888, la France 7 664, le Canada 2 923, le Maroc 20 et… l’Algérie uniquement 2. “Alors, en faisant un calcul de ratios, on peut dire que pour la dimension des demandes de brevet, le Maroc dépasse l’Algérie de 9 fois, la Tunisie la dépasse de 3,5 fois et le Maroc dépasse aussi la Tunisie de 1,22 fois. Cela veut aussi dire que si l’Algérie veut rejoindre le Maroc par exemple, voire le dépasser, elle doit concevoir un moteur de développement pour cette dimension lui permettant d’avoir une vitesse supérieure à celle du Maroc, sinon simple règle de physique et de cinématique, ça lui sera impossible de le faire. Surtout que le Maroc, tout en avançant, est en train d’améliorer sa propre vitesse de performance pour rattraper ceux qui le dépassent et sont avant lui”, conclut notre interlocuteur. Source
  9. Réda Alioua, expert international en systèmes, à “Liberté” “Internet est plus cher en Algérie à cause de la rareté de la bande passante internationale” Réda Alioua est architecte de systèmes, consultant technique international, spécialiste en systémique et expert en sécurité des systèmes d’information distribués. Il se spécialise dans les projets ayant un haut niveau de complexité dans le domaine des TIC, pour le secteur privé et gouvernemental, au Canada et aux USA majoritairement. Dans cet entretien, il évalue l'ampleur du déficit de l’Algérie en matière de TIC. Liberté : Brièvement, pouvez-vous expliquer pourquoi le projet e-Algérie n’a pas fonctionné ? Réda Alioua : À la base, e-Algérie est une excellente initiative, mais elle manque de vision et de leadership tout en étant basée sur une stratégie naïve. Cette dernière a pu ainsi engendrer une mauvaise conception du projet, menant à une mise en œuvre pauvre, produisant ainsi des résultats insuffisants. Parmi ceux-ci, j’ai pu observer par exemple, que le Mbps (mégabit par seconde) en Algérie coûte 2 fois plus cher qu’en Tunisie, 4 fois plus cher qu’au Maroc et 20 fois plus cher qu’au Canada. Il suffit de comparer les prix en ligne pour le constater. Quelle est la principale cause, selon vous, de cette grande différence au niveau des prix d’Internet ? La rareté de la bande passante internationale est la principale cause des coûts élevés, car dans le cas de l’Algérie, elle est à seulement 46 Gbps (gigabit par seconde), la Tunisie à 82 Gbps et le Maroc à 300 Gbps. Cette carence induit aussi un déficit dans la stabilité du débit minimal des connexions afin de desservir les internautes. Cela pousse donc Algérie Télécom à vouloir compenser cette insuffisance en augmentant son taux de partage (contention ratio) que je pense être supérieur à 50:1. Cela veut dire que chaque 1 Mbps est vendu à au moins 50 clients en même temps et donc le débit réel dépendra si 50, 25 ou seulement 10 clients sont connectés simultanément. Cela donc reviendrait dans ce dernier cas à 102,5 Kbps de débit réel par connexion. Pour vous donner une petite idée de comparaison, Internet par satellite, étant le plus cher au monde, il a en général un ratio de partage maximum de 10:1 seulement. Selon les statistiques de base de l'UIT (Union internationale des télécommunications), l'institution spécialisée des Nations unies pour les technologies de l'information et de la communication (TIC), nous pouvons calculer la moyenne de distribution de la bande passante internationale réelle (comparée à celle publicisée) en termes de Kbps (Kilo bit par seconde) par Internaute. Alors, pour le Maroc, nous avons environ 17, 770, 081 internautes, avec une bande passante internationale de 300 Gbps (314, 572,800 Kbps), cela nous donne une moyenne de 17,70 Kbps/internaute (300 Gbps/17M). La Tunisie, environ 4, 447, 885 internautes pour 82 Gbps (85, 983, 232 Kbps), nous donnons ainsi une moyenne de 19,33 Kbps/internaute. L’Algérie, environ 11 millions d’internautes selon la dernière déclaration ministérielle, pour 46 Gbps (48, 234,496 Kbps) et cela nous donne donc une moyenne de 4,38 Kbps/internaute. La meilleure façon de connaître le vrai débit est de vous poser la question suivante : avez-vous déjà eu une connexion Internet en Algérie ayant un débit stable minimal de 1 Mbps durant une période continuelle d’un mois. La bande passante internationale, c’est comme l’eau et l’électricité. Pour être en mesure de la distribuer en quantités suffisantes pour satisfaire à la demande, il faut d’abord en avoir assez au niveau de son approvisionnement (système de câblage sous-marin). Quels sont, selon vous, les plus importants défis au niveau des TIC auxquels fait face actuellement l’Algérie ? Le premier plus important défi actuel, c’est le problème de la bande passante internationale dont je viens de parler et donc l’approvisionnement ; ensuite c’est celui des lignes téléphoniques fixes représentant le réseau d’accès qui est complémentaire au réseau de distribution du backbone national. Car, ce qui existe en Algérie, c’est principalement un réseau d’accès à base de fil de cuivre, qu’il faudra convertir en fibre optique, et c’est ce qu’Algérie Télécom a déjà commencé à faire depuis quelques années déjà. Le problème, c’est au niveau de la capacité de conversion de ces lignes, car même un des leaders mondiaux des télécommunications, Verizon, qui est aussi un des principaux propriétaires du backbone Internet, ayant réalisé un chiffre d’affaires de 110 milliards de dollars en 2011, n’a pu atteindre qu’une capacité de conversion de 200 000 lignes de cuivre existantes de son réseau en lignes à base de fibre optique en 2012 et il prévoit en convertir plus de 300 000 en 2013. Algérie Télécom a environ 3 millions de lignes à base de fil de cuivre, supposons qu’ils en ont déjà converti 500 000, il en reste donc encore 2,5 millions à transformer. Pour être réaliste, donnons à Algérie Télécom une performance de conversion de 100 000 lignes par année, qui est une très bonne moyenne de performance. Cela voudrait dire que la finalisation de ce projet de conversion du réseau d’accès actuel se compléterait d’ici 25 ans (2,5 millions/100 000) et donc en 2038. En plus, il faudra environ 5 millions de lignes supplémentaires au minimum pour atteindre les 8 millions de lignes et ainsi réaliser un ratio de 20 lignes par 100 habitants, sans compter la croissance démographique. Tout cela, en sachant qu’entre 2001 (6,05 lignes/100 habitants) et 2011 (8,5 lignes/100 habitants), Algérie Télécom a réalisé une performance moyenne de 40% ((8,5/6,05)-1)*100) sur une période de dix ans. Pour quelles raisons l’Algérie serait, dans ce domaine, plus en retard que des pays qui se situent au même niveau de développement ou même inférieur ? La raison principale se situe au niveau du modèle d’affaires mis en place et son incompatibilité avec la capacité du leader à répondre à la demande du changement. Dans n’importe quel pays au monde qui est avancé technologiquement on a, soit un modèle d’affaires qui est ouvert, donc le marché libre basé sur la compétition, ou bien un modèle d’affaires fermé de monopole, sauf dans ce cas-ci, le leader a une grande capacité pour desservir son marché et donc répondre à la demande. En Algérie, Algérie Télécom a un quasi-monopole, pour le réseau d’approvisionnement en bande passante internationale via son système de câblage sous-marin, le réseau de distribution qui est le backbone national en fibre optique et, enfin, le réseau d’accès qui est le système des lignes téléphoniques fixes à base de fil de cuivre principalement. Cela en fait beaucoup pour une seule entreprise, et donc celle-ci devient dépassée par la charge qu’on lui a confiée, et comme conséquence elle devient sans le vouloir un obstacle pour le développement et la croissance des TIC en Algérie. Car, elle ne réussit pas à répondre seule à cette forte demande avec une vitesse assez rapide et en même temps à cause de ce quasi-monopole, aucune autre entité ne peut l’aider ou faire une partie à sa place. Même les pays développés souffrent de ce même manque de capacité qui les pousse à payer une facture annuelle de plus de 3 trillions de dollars dans les projets échoués dans le domaine des TIC. L’Occident est donc loin d’être aussi parfait qu’on puisse le croire, justement à cause de cette capacité générale et de sa sœur jumelle, la fiabilité. Car dans le monde occidental de la haute technologie, de l’expertise de haut niveau et du savoir, les projets ayant un budget de plus de 15 millions de dollars ont un taux d’échec de 75% et plus. En Algérie, les problèmes et causes du déficit au niveau projet sont plus centrés autour du modèle de mise en œuvre basé principalement sur la méthode essai-erreur, celle du bricolage et de l’à-peu-près si vous voulez. Rajouter à cela le manque de vision, pour voir plus loin dans le futur tout en évaluant les besoins du présent, résultant ainsi avec une architecture statique et limitée en termes de portée et de flexibilité des systèmes ; des choix et options technologiques inadéquats pour la partie implémentation et un manque de savoir-faire dans l’exécution et la mise en œuvre des projets.  J’aimerais rajouter un point important, si un nouveau joueur arrive sur le marché pour partager la tâche avec Algérie Télécom, il faut qu’il puisse utiliser de nouvelles méthodes et structures que celles qui sont existantes, sinon, la performance ne va pas s’améliorer, elle sera seulement partagée en restant insuffisante. Quels seraient, selon vous, les aspects stratégiques à ne pas oublier concernant le développement des TIC en Algérie ? L’Algérie, avec tous ses efforts déployés jusqu’à présent, n’est présente en réalité que dans une seule dimension, celle des technologies de la communication (TC). La deuxième dimension (technologies de l’information) ou TI, elle en est très loin encore. Dans cette dimension, nous parlons de ERP (Enterprise Ressources Planning) ou systèmes de gestion intégrés d’envergure, de e-Banking (banque électronique), de e-commerce, de e-Government, de PKI (Public Key Infrastructures), SSO (Single sign-on) et de IAM (Identity and Access Management), de Data Mining, Business Intelligence pour les applications de reporting et autres éléments. Toute cette technologie est la base de l’initiative e-Algérie pour la dimension TI, pour le développement des différents systèmes comme l’e-Commune, e-Daïra et e-Wilaya. Cette dimension a besoin d’un réseau national câblé car ce sont les serveurs qui sont la source du contenu, et ces derniers ne peuvent pas livrer leur contenu par le mobile. C’est pour cette raison que le système d’évaluation international du Unpan (United Nations Public Administration Network) n’est pas intéressé de savoir si l’adoption du 4G fait un malheur dans un pays en étant très populaire, car dans le domaine du mobile, même la Mauritanie n’est dépassée par l’Algérie que par un très faible pourcentage. Le Unpan analyse le niveau ou le taux de satisfaction du citoyen, en évaluant à quel point et à quel pourcentage son gouvernement déploie la technologie en termes d’infrastructures pour faciliter la vie de ce dernier en lui donnant l’accès à de multiples services jumelant qualité, prix, fiabilité et accessibilité. C’est pour cette raison que le rapport de l’Unpan sur le (e-Government) mondial classe, chaque année l’Algérie parmi les derniers, car sur la dimension TC, elle est très en retard et sur la dimension TI, elle est presque inexistante. Vous avez en chantier l’écriture d’un livre sur le monde des TIC à travers le monde. Quel est exactement l’objet de vos travaux ? Durant cette dernière décennie, j’ai centré mon travail et mes recherches sur la résolution de problèmes complexes par l’architecture et la conception de systèmes. J’ai pu donc participer à une multitude de projets variés dans les TIC et travaillé avec une variété de professionnels et d’experts dans différents domaines. Ceci m’a donc permis d’identifier et de comprendre plusieurs patterns stratégiques générés par une structure principale régissant le domaine des TIC, faisant en sorte que l’échec soit programmé, car il a été conçu (failure by design) pour donner cet output. Ainsi, j’ai pu développer une théorie de l’échec que je tente de prouver dans ce livre en étudiant le domaine des TIC comme un système, et il sera publié aux États-Unis et prévu pour l’année 2013. Enfin, pour mon mot de la fin, j’aimerais préciser qu’e-Algérie est encore possible, sauf qu’il faut d’abord avoir la capacité de la comprendre pour être en mesure de la voir, avant de pouvoir réellement l’avoir. Source
  10. 38,7 millions d’habitants à la fin 2013 Tirée vers le haut par la hausse inédite du nombre de naissances, la croissance démographique spectaculaire que connaît l’Algérie depuis le début des années 2000 continue de s’accentuer. Au rythme d’accroissement actuel de la population, l’Algérie atteindra 38,7 millions d’habitants à la fin de l’année en cours. En janvier dernier, la population totale a été estimée à 37,9 millions d’habitants. C’est ce que vient de révéler l’ONS (office national des statistiques) dont le dernier bilan sur l’évolution démographique fait ressortir des indicateurs-clé qui attestent un véritable boom démographique en Algérie. Selon le document en question, l’Algérie a enregistré 978 000 naissances vivantes et 170 000 décès durant l’année 2012. Durant cette même période, le nombre de mariages concrétisés a atteint les 371 000. Laquelle tendance se poursuit durant l’année en cours. En conséquence, la population algérienne atteindra les « 38,7 millions d’habitants au 1er janvier 2014 », et ce, tenant compte du fait que « le rythme d’augmentation des naissances ces dernières années nous permet d’avancer que le volume des naissances vivantes atteindra probablement le seuil d’un million en 2013-2014 », est-il souligné aussi dans le document de l’ONS. Sur la base de ces données, il en ressort que le taux d’accroissement naturel de la population est passé de 1,48% en 2000 à 2,16% en 2012. En l’espace de 12 ans, la population totale s’est accrue de 17 millions d’habitants, passant de 30,4 millions d’habitants en 2000 à 37,4 millions en 2012. Lequel rythme est considéré comme particulièrement accéléré comparativement à la décennie d’avant où l’accroissement de la population totale a été de 5,4 millions d’habitants seulement, passant de 25 millions d’habitants en 1990 à 30,4 millions d’habitants en 2000. Source
  11. Le Mont Fuji en 4G Le mont Everest s’est doté de la 4G cette semaine et aujourd’hui, c’est une autre montagne mythique qui accueille le réseau 4G/LTE : Le mont Fuji. Les amateurs de hauteurs se rendant au Japon pourront dorénavant utiliser le réseau en très haut débit au sommet de la montagne sacrée. La 4G a été installée par l’opérateur NTT DoCoMo et permettra aux alpinistes et autres touristes de profiter d’un débit de 75Mb/s sur les sentiers et sur le sommet même de la montagne. Tout cela a été possible grâce à l’installation de 6 antennes relais un peu partout sur le volcan. Le mont Fuji disposait déjà d’un réseau télécom depuis 1999 et de la 3G depuis 2005. Une nouvelle étape pour cette montagne ultra connectée. Source
  12. 41 Mpx dans un smartphone Nokia, pourquoi faire ? Nokia présente un smartphone 4G doté d'un capteur photo record de 41 Mpx. Son PDG Stephen Elop l'avait promis, Nokia l'a fait : le Lumia 1020 est doté d'un capteur photo de 41 mégapixels lui permettant de prendre des photos d'une définition pouvant atteindre 7712 x 5360 pixels. Il sera disponible en Europe dès cet été. Une application dédiée et préinstallée permet de gérer la prise de photo et l'enregistrement de vidéos (Full HD 1080p). Il s'agit du deuxième modèle Nokia à proposer un tel capteur après le 808 PureView qui avait créé la sensation au Mobile World Congress de Barcelone en 2012. Pour l'instant, aucun concurrent n'a pris le pari de s'aligner sur un tel capteur photo. On comprend bien pourquoi, quel est l'interêt d'un tel capteur sur un smartphone... à part faire du buzz. Le Nokia Lumia 1020 dispose d'un écran Amoled de 4,5 pouces (1 280 768 pixels). Compatible 4G, il est équipé d'un processeur Snapdragon double coeur cadencé à 1,5GHz, accompagné de 2 Go de RAM de 32 Go de mémoire interne (en plus des 7 Go offerts sur SkyDrive), d'une caméra frontale de 1,2 Mpx et fonctionne sous Windows Phone 8. Ce smartphone sera disponible dès le 26 juillet aux États-Unis avant d'être commercialisé en Chine et dans certains pays européens avant la fin du troisième trimestre 2013. Il sera proposé en trois coloris : jaune, blanc et noir. Source
  13. GTA V : Un système de tir complètement remanié Si tous les GTA ont connu le succès, même les plus grands fans émettaient des réserves sur le système de gunfight. Trop simples, pas assez réalistes ou manquant de fun, les échanges de coups de feu ont cette fois-ci fait l’objet d’un long travail et devraient convaincre les amateurs d’action. Interviewé par le site GameInformer, Phil Hooker, directeur technique associé a expliqué comment les développeurs de GTA V avaient « synthétisé » les leçons apprises grâce à leurs précédents titres. Il sera désormais possible de tirer en restant constamment en mouvement : L’équipe de GTA V semble avoir compris ce qui avait plu aux joueurs dans les combats de Red Dead Redemption , ou plus récemment de Max Payne 3. Hooker explique d’ailleurs l’importance qu’on eu ces deux jeux bien qu’il assure que Grand Theft Auto sera encore plus travaillé : Il en profite pour donner des précisions sur les nouveaux systèmes de visée : Le système de couverture a également subi de nombreuses transformations, et permettra de s’adapter à ce nouvel environnement urbain : Autant dire que les fans de John McClane vont être aux anges ! Source
  14. L’Algérie parmi les pays les plus corrompus au monde Transparency International (TI) a rendu public, ce mardi 9 juillet, son baromètre mondial de la corruption 2013 Il en ressort que l’Algérie occupe le 105e rang sur les 107 pays concernés par le sondage. Selon les résultats de ce sondage, aucun secteur d’activité, aucune corporation ou institution n’est épargné par le fléau. Le rapport indique que 74% des Algériens pensent que le milieu des affaires est gangréné par la corruption. Mais le plus grave est de constater à quel point la justice algérienne est discréditée aux yeux des citoyens. D’après TI, 72% des Algériens considèrent que les instances judiciaires sont affectées par la corruption, contre 67% et 62% concernant les partis politiques et le Parlement. Le rapport ajoute que 62% des citoyens algériens pensent que les services de police sont corrompus contre 52% pour les corps de l’armée. Le secteur de l’éducation est considéré comme corrompu par 62% des Algériens, contre 58% pour les services de santé. 45% des Algériens sondés par cette ONG pensent aussi que les médias sont corrompus. Le seul secteur qui jouit encore d’un semblant de crédibilité est celui des institutions religieuses. Ces dernières ne sont perçues comme corrompues que par une minorité de 15% de la population, indique le baromètre mondial de la corruption de TI, fondé sur les résultats d'un vaste sondage portant sur 114.000 personnes à travers le monde. Environ 27% des sondés ont avoué avoir distribué des pots-de-vin lors des 12 derniers mois, mais 9 personnes interrogées sur 10 se sont déclarées prêtes à lutter contre la corruption, indique Tranparency. La Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) a indiqué dans un rapport, rendu public il y a deux jours, que la corruption en Algérie touche « l’ensemble des secteurs, notamment ceux créateurs de richesses et les plus hautes sphères de la hiérarchie de l’État ». Cette organisation gouvernementale, dirigée par Farouk Ksentini, a estimé que « la corruption se banalise et, l’impunité aidant, risque d’entraver toute démarche destinée à atteindre les objectifs socioéconomiques ». Source
  15. Des kilomètres de câbles volés à travers le territoire national : la mafia du cuivre frappe Algérie Télécom Algérie Télécom continue de subir la saignée à blanc par les multiples vols de ses câbles souterrains en cuivre. Les interruptions de téléphone et de connexion Internet sont devenues monnaie courante à Annaba et à travers les wilayas limitrophes. Mais la responsabilité n’incombe pas uniquement à Algérie Télécom. Outre les trois kilomètres de câbles en cuivre volés en 2012 au niveau de la cité populaire de Boukhadra, commune d’El-Bouni, 1 500 mètres de câbles de cette même matière ont été subtilisés, avant-hier, par des mains inconnues à travers les communes de Aïn Berda, Tréat et Chorfa. Des sources sûres signalent que « c’est un réseau téléphonique qui a été démantelé totalement ». En avril dernier, 750 mètres de câbles en cuivre se sont volatilisés à travers les cités de Sidi Amar et Safsaf. Un préjudice énorme pour Algérie Télécom. Aussi en août 2011, au niveau de la zone industrielle dite « Pont Bouchet », 25O mètres de cuivre servant principalement aux télécommunications ont été volés, vraisemblablement par plusieurs individus. Durant cette même journée, à hauteur de la ZAC (Zone d’activité commerciale) de Sidi Salem, dans la daïra d’El-Bouni de la wilaya d’Annaba, 300 mètres de câbles de cuivre ont disparu brusquement et aucune trace des voleurs n’a été laissée. Ainsi également, le MIN (marché d’intérêt national), le marché de gros des fruits et légumes de la wilaya d’Annaba n’a pas été épargné et a aussi fait l’objet d’un important vol de fils en cuivre pour une mesure de 200 mètres. Le plus édifiant de ces vols avait concerné le complexe sidérurgique d’El-Hadjar, où 450 mètres de fil téléphonique en cuivre totalisant une tonne ont été subtilisés. L’invraisemblable dans ce vol a été la manière dont les cambrioleurs avaient utilisée pour opérer en toute tranquillité en pleine nuit, alors que le site sidérurgique était, comme de coutume, protégé en ultra surveillance. Y a-t-il eu des complicités à l’intérieur du complexe sidérurgique ? Comment le gang, apparemment constitué de plusieurs personnes a-t-il pu retirer les fils de cuivre à travers leurs différents passages souterrains pour les embarquer à bord de plusieurs camions et quitter le complexe sidérurgique en toute quiétude. Selon des sources sûres provenant de la Direction régionale d’Algérie Télécom, 78 vols de câbles ont été enregistrés à travers les wilayas d’Annaba, Souk-Ahras, Guelma et El-Tarf totalisant une valeur dépassant les quatre milliards de centimes. Du cuivre destiné à des clients tunisiens Pour l’année 2013, même si dans les autres wilayas le nombre de vols est à la baisse, à Annaba c’est le contraire qui se produit : rien qu’en six mois, 43 vols importants de fils en cuivre avec saccage des installations téléphoniques sont enregistrés. Un préjudice qui se chiffre, selon nos sources, à 6 milliards de centimes et pour réparer les dégâts, il faudrait que les pouvoirs publics dégagent au moins le double du montant des vols. Il faut signaler que selon des sources sécuritaires, « le cuivre algérien volé est destiné au marché de la contrebande à des clients tunisiens installés aux abords de la frontière algero-tunisienne avant d’être expédié en Italie pour sa transformation ». Outre la Tunisie, longtemps signalée par les forces de sécurité comme une destination privilégiée de la contrebande criminelle du cuivre algérien, le Maroc, pays frontalier, devient à son tour la seconde destination de la mafia du cuivre algérien volé. En juillet 2012, 900 kilogrammes de cuivre destinés à être introduits frauduleusement au Maroc ont été saisis dans la commune de Maghnia (Tlemcen) par des agents de la Douane. Cette saisie de cette quantité de cuivre a été effectuée à bord d’un véhicule avec des documents falsifiés à la sortie de l’autoroute Est-Ouest prés du village d’El-Bettim, dans la commune de Maghnia. Il est à signaler que le vol de câbles de cuivre dure depuis prés de huit ans. Le plus dramatique dans ces vols qui n’ont cessé de pénaliser lourdement le Trésor algérien, sont les fluctuations des prix du cuivre à l’étranger. Les vols fluctuent enfonction du marché international Plus le prix du kilogramme du cuivre augmente à l’étranger, plus les vols de ce produit se multiplient en Algérie. Comment opèrent les voleurs de cuivre ? C’est surtout dans les cités ou les quartiers populeux qu’ils opèrent tranquillement souvent au vu et au su du voisinage, lequel voisinage ne dénonce jamais par peur de représailles. Une source sécuritaire témoigne : « Si les riverains alertaient la police ou la Gendarmerie nationale lors de ces vols, ces dernières pourraient agir immédiatement et empêcher ces délits (…) le bruit de leurs interventions ne peut pas passer inaperçu quand on sait que, pour casser des plaques de béton et tirer des câbles au moyen de véhicules lourds, il faut du temps, des moyens, et être sûr de ne pas être surpris ». Et d’ajouter : « C’est le silence qui permet aux malfrats d’agir, alors qu’un simple coup de fil, même anonyme, peut faire changer les choses, d’autant plus que les premiers touchés par ce phénomène du vol de câbles téléphoniques, ce sont les riverains ». Une véritable loi de l’Omerta ? Apparemment. Triste réalité. oui ! Source
  16. Tres faible debit de connexion internet a Oran : La situation dure depuis plus de 10 jours à travers la wilaya La patience des internautes de la wilaya d’Oran est mise à rude épreuve, depuis plus de dix jours, à cause d’un débit de connexion Internet très faible, qui touche la totalité du territoire de la wilaya. Les plaintes des usagers fusent de toutes les communes de la wilaya. Interruptions intermittentes, absence totale de débit, lourdeur d’exécution. En somme, un véritable « cauchemar » pour les internautes. Cela fait plus de dix jours, qu’en effet, le débit Internet de la wilaya est frappé par la lenteur provoquant ainsi, d’énormes désagréments aussi bien pour les internautes que pour les propriétaires des cybercafés. Rien que pour ouvrir sa boite e-mail, il faut s’armer de beaucoup de patience. Du côté des internautes, c’est la grande déception. Chez les plus fidèles au Net, c’est carrément la déprime, car le débit ne permet même pas, parfois, d’accéder aux sites qui sont réputés pour leur vitesse d’exécution. Un état de fait qui outrage Nassim, un internaute de 23 ans, habitant le chef-lieu de la wilaya. « La lourdeur et la lenteur de la connexion, depuis plus de dix jours, quand elle est indisponible est vraiment décourageante. Parfois, je passe des heures au cyber que je paye en intégralité, alors que le temps de connexion réel ne dépasse pas les 20 ou 30 minutes. C’est vraiment désagréable », se désole le jeune internaute. Les propriétaires des cybercafés, quant à eux, ne savent plus quoi faire devant les plaintes de leurs clients, ni quoi leur répondre. C’est le cas du propriétaire de cybercafé basé au niveau de la place Hoche. « Mes clients déversent directement leur colère sur moi, alors que je n’y suis pour rien. Cela fait des jours que ce calvaire dure. L’interruption de la connexion est légion ces jours-ci, et même si elle revient, ce n’est qu’à faible débit, ne permettant même pas au client l’accès à sa boite de messagerie », se plaint ce commerçant, qui s’étonne en outre de l’absence de toute explication des responsables du secteur concernant la situation. En effet, pour l’heure, on n’a pas entendu à Oran, et à travers les ondes de la radio locale, les explications des responsables sur cette mauvaise connexion, du moins pas ces deux derniers jours, où la qualité du débit est déclarée s’être « empirée », par les internautes et les propriétaires des cybercafés. Force est de constater, à travers ces défaillances de connexion au réseau Internet, à quel point cette technologie est ancrée dans les pratiques quotidiennes des citoyens, qui perdent les repères à chaque fois que la connexion fait des siennes. Cela est d’autant plus palpable dans les régions les plus reculées, où la vie est monotone, surtout en cette période d’oisiveté. Il faut dire, enfin, que c’est un véritable paradoxe, du fait qu’en temps normal, le débit devrait s’être amélioré, avec l’apport, notamment de la fibre optique, alors qu’on assiste au contraire à une véritable « dégringolade », laissant encore les usagers dans l’expectative. Source
  17. yaw Rahoum idjibou lwaqt et puis voilà , yak je vous ai dit , en Algérie il se passe jamais rien faut bien créer des pseudo-événements pour se sentir existé
  18. pourquoi kachma darou pour qu'un Geek s'épanouisse en Algérie ?? baisser les taxes d'importations sur le matériel informatique et tout ce qui touche à la technologie (pourquoi payer plus cher que nos amis européens pour avoir la même chose ?) et offrir une connexion internet digne de ce nom , un geek sans internet est un Geek Habess détaché du monde donc pas un Geek. et désolé un facebook addict n'est pas un Geek et je parie qu'ils vont ramener des gens qui commentent beaucoup sur facebook. Aya après tout Algérie Télécom wama Adraka a bien invité les membres participants de leur page facebook à déjeuner autour d'une table à la direction d'algérie télécom , moi même j'ai reçu l'invitation , évidemment vous vous en doutez je leur ai dit d'aller se faire fou*** et que si je vois le P-DG je l'étrangle (après ils ont bloqué mon compte ). Sebhan lah avec toutes les Bites qui travaillent chez Algérie Télécom ils peuvent pas fournir quelques Bits en plus (suffit juste d'enlever un "e")
  19. 50 Go , en 1h 9m c'est bouclé y a sahbi avec 100 Mbps (avec l'offre SFR 300 Mbps , en 30 minutes Fraaat) et y a même ceux qui termine le jeu et toi tu viens tout juste de dépasser la barre des 1% de téléchargement avec ta connexion merdik (si y a pas de déconnexions bien sur), quel frustration !! on a pas notre place sur internet on est des visiteurs hada makan. en Algérie pour télécharger 50 Go , il faut Théoriquement 109 heures de téléchargement à 1 Mbps stable (128 ko/s) donc 5 jours de téléchargement sans interruptions sans éteindre le pc sans chute de débit , bref 5 jours à 128 ko/s sans que ça baisse ne serait-ce qu'une seconde. donc faut compter 1 semaine et demi facile avec Algérie Télétoon
  20. un Compte à rebours pour le Adhan serait plus utile à mon avis
  21. 300 milliards «dorment» dans les caisses des APC Au niveau de la wilaya de Bouira, certaines APC accusent un retard criant, pénalisant, par conséquent, toute la wilaya dans sa suite. Le wali de Bouira, M. Nacer Maaskri a réuni, lundi dernier, les maires des 45 communes de la wilaya, afin de faire le point sur la gestion des municipalités. Et le moins que l’on puisse dire, est que cette réunion a démontré, une fois de plus, que nos municipalités souffrent d’une gestion approximative. Ainsi, le Premier magistrat de la wilaya, a entamé son constat avec un chiffre qui donne le tournis. 300 milliards de centimes « dorment » dans les caisses des 45 communes que compte la wilaya, ou sont « bloqués » avec un terme plus administratif. Ce montant faramineux, a carrément scandalisé le wali. « Lors de mes déplacements, certains d’entre vous (P/APC, ndlr), me disent que les caisses sont vides. Alors que, j’ai des chiffres qui disent le contraire ! Je voudrais qu’on m’explique cette situation », a-t-il lancé aux élus présents. M. Maaskri citera quelques communes « riches » clamant, haut et fort, que leurs caisses sont à sec. Ainsi, on apprendra que la commune de Bouira a plus de 36 milliards de centimes de budget non consommé, Ain Türk 24 milliards, celle de Ain Bessam emmagasine 20 milliards, Aomar 16 milliards de centimes, etc. « Nous avons des sommes assez importantes. Qu’est-ce qui nous empêches de les utiliser ? », s’est interrogé le wali tout en décochant assez subtilement une flèche à l’égard des P/APC. « Si vous ne savez pas comment utiliser cette manne, n’hésitez pas à demander. On est là pour vous orienter (…) Mais s’il vous plait, arrêtez de vous plaindre en prétextant que vous n’avez pas d’argent. Avec 3 milliards de dinars, on peut faire des prodiges. Mais à condition d’avoir une gestion saine au niveau des communes», a-t-il indiqué. Il est vrai que bon nombre d’élus imputent les retards dans leurs communes au « manque de moyens » et n’hésitent pas à quémander l’aide de l’État. Cependant, ces chiffres illustrent une toute autre situation, qui est l’incapacité des élus, passés ou actuels, à faire bon usage des différents budgets octroyés. Ceci a poussé certains membres de l’exécutif à faire un parallèle quelque peu osé, mais assez juste de la situation. « Certains maires, sont comme les faux mendiants qu’on croise sur nos trottoirs ». Le directeur de la DRAG enfonce le clou ! Par la suite, le directeur de la réglementation et l’administration générale (DRAG), fera un exposer assez détaillé sur la gestion des diverses municipalités de la wilaya. Lors de son intervention, il a mis en surbrillance bon nombre de carences relevées au niveau des assemblées communales. Parmi elles, l’orateur citera « l’incapacité des 42 communes sur 45 à voter leur régiment intérieur (un document type, ndlr), des négligences au service des contentieux au niveau de l’ensemble des APC, les méconnaissances ou le manque de maîtrise des textes de lois et autres aspects législatifs, certains proposés à la légalisation des documents ont une connaissance très limitée de leurs fonctions et procèdent à une légalisation anarchique des documents au mépris de la réglementation en vigueur, d’énormes difficultés du retrait du l’extrait de naissance 12S pour les citoyens expatriés … ». Par ailleurs, ce responsable portera à la connaissance de l’assistance, qu’en matière de règlement du problème des parkings illicites, la wilaya de Bouira a enregistré un taux de 90% de parkings légalisés. Cependant, au niveau du chef-lieu de la wilaya, ce taux connaît une nette baisse, avec seulement 17 places de parkings règlementés sur les 34 recensés soit 50%, ce qui reste est « faible » selon l’intervenant. Autre grief retenu contre certaines APC, celui de permettre l’implantation sauvage des fabriques de parpaings sur les bords de routes, notamment dans la région Est de la wilaya. Il est vrai que le tronçon de la RN5, entre Bechloul et Ahnif, connaît une nette prolifération de fabriques de parpaings et d’agglomérés. Selon le directeur de la DRAG de Bouira, ces fabriques ont reçu « la bénédiction » des élus, malgré le fait qu’elles fuguent dans les canevas des activités classées, à cause des nuisances qu’ils causent aux riverains. Enfin, le volet de l’agrément accordé aux associations religieuses et autres, au niveau de la wilaya, a été abordé et le moins que l’on puisse dire, est que d’après ce directeur, les APC ont une méconnaissance totale de leurs prérogatives en matière d’agrément. En effet, la loi n°12-06 du 18 Safar 1433 correspondant au 12 janvier 2012 relative aux associations, l’article 09 stipule que le récépissé d’enregistrement est délivré par le wali, en ce qui concerne les associations de wilaya. D’après le rapport de ce directeur, certains élus outrepassent leurs prorogatives en accordant l’agrément à ces association, ce qui constitue « une faute grave », selon l’intervenant. To^^^^ois, le wali a préféré ne pas stigmatiser les élus en déclarant que « Tout ce qui vient d’être relaté par le directeur de la DRAG, n’est pas un blâme, c’est juste un constat. Ce dernier, doit être pris d’une manière positive, afin de corriger le tir et atténuer les carences précitées », a-t-il assuré. «Transcendez vos problèmes dans l’intérêt de tous !» Commentant quelques points cités dans le rapport de la DRAG, le chef de l’exécutif de Bouira dira que « la réglementation est clair et limpide. Il faut juste l’appliquer. On ne vous demande pas de faire des miracles ». À propos de l’adoption du régime intérieur, le wali lancera : « Qu’est-ce que vous attendez ? Ce n’est qu’une pure formalité ». Concernant les « défaillances » enregistrées au niveau des commissions des litiges, le wali tonnera : « Certains litiges nous font perdre des milliards. Si vous n’êtes pas capables de vous défendre, avisez-nous, on le fera à votre place », s’exclamera-t-il, avant d’ajouter : « Expliquez-moi comment, à chaque fois, la wilaya perd des affaires et se retrouve à verser des millions de dinars pour rien. C’est devenu systémique. Vous commettez des erreurs et vous n’êtes pas capables d’assurer votre défense. C’est inacceptable ! ». S’agissant de certaines communes « otages » de règlements de comptes entre les anciens et les nouveaux élus, le wali exhortera l’assistance à « transcender ces futilités et travailler pour l’intérêt général (…) chacun de vous, doit assumer l’actif et le passif de son prédécesseur ». Évoquant le phénomène le plus préoccupant qui est les fabriques sauvages de parpaings, M. Maaskri a été très clair en s’adressant aux P /APC : « Si vous avez l’intention de créer des zones de services, c’est une excellente choses et je vous encourage à le faire, sous réserve du respect de la réglementation. Mais en revanche, pour que vous permettiez de pareilles dégradations de l’environnement et une gêne pour les riverains, ceci est inacceptable », s’est-il emporté. Avant de citer l’exemple d’un propriétaire d’une fabrique de parpaings au niveau de la commune de Chorfa, qui squatte une terre agricole qui n’est pas la sienne et refuse de quitter les lieux. « L’illégale devient légal et on se retrouve à supplier un squatteur, c’est une aberration ! », ajoute-t-il. Enfin, le wali conclura son intervention en lançant un appel aux élus présent : « Vous avez été élus par les citoyens, alors mettez vos divergences de côté et travaillez pour eux et pour l’intérêt général et de son côté l’Etat est prête à vous aider dans toutes vos démarches» Source
  22. elles sont surtout la cause des hélicoptères militaires qui balancent des roquettes dans les forêts dans l'espoir d'attraper une mouche !
  23. voilà une chanson que je kif trop et qui devrait répondre à ta question :
  24. non cette année c'est exceptionnel même si l'ONM ne peut pas prévoir , on a bien vu en france qu'en juin il a neigé et qu'au moins de juillet il fait très frais le soir , à Tizi-Ouzou l'année passé au mois de juillet les températures tournait entre 40 et 45 degré avec un taux d'humidité de plus de 70% , cette année rahmat rebbi. On a pas de satellites mais on a un Cerveau et on a bien vu que cette année n'est pas comme les années précédentes. une autre remarque aussi , cette année il n'y a pas beaucoup d'incendies ce qui aide beaucoup. en Amérique , la Californie va vivre son pire été , la température risque de battre le record d'il y a une centaine d'années donc 56°C.
  25. ils devrait dire Forfait facebook au lieu d'utiliser le nom "internet" c'est dévalorisant je trouve car pour parler d'internet il faut un certain seuil de débit , en 2013 internet signifie un accès instantané à la base de donnée mondiale, et avec notre débit on a pas ça donc faut trouver un autre nom pour internet , il est impossible d'utiliser la même nomination qu'un mec qui surf à 100 Mbps et l'autre à 128 kbps. @Yoplalache : Fait gaffe Algérie télécom va t'attaquer pour Concurrence déloyale
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