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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. CORRUPTION, CRIME ET ÉVASION FISCALE Les pays émergents ont vu 858 milliards s'évaporer en 2010 Selon une étude de l'association américaine Global Financial Integrity (GFI), étude rendue publique le 17 décembre 2012, 858 milliards de dollars estampillés «illicites » auraient quitté les pays émergents en 2010, en augmentation de 10% par rapport à l'année précédente. Le phénomène est connu, mais les chiffres interpellent. Selon une étude de l’association américaine Global Financial Intergrity (GFI), les pays en développement auraient vu pas moins de 858 milliards de dollars de fonds de la corruption, du crime et de l’évasion fiscale passer leurs frontières pour le seul exercice 2010. Si ce type de chiffre est évidemment à manier avec des pincettes, étant donné les biais liés à l’opacité de ces flux, il n’en reste pas moins vrai que la tendance va crescendo. Selon GFI, cette fuite de capitaux est en hausse de 10% par rapport à 2009, où ces fonds ont été évalués à 776 milliards de dollars. Une fois encore, toutes les précautions dont il faut faire preuve, l’étude dégaine un «chiffre choc». Elle estime à près de 6 000 milliards ces «sorties illicites» sur la période 2001- 2010.Mais où va donc se cacher cet argent ? Pour Raymond Baker, le patron de GFI, ces fonds «nocifs» filent tout droit «dans les paradis fiscaux et les banques des pays développés». Il constate ainsi que ces flux sont de plus en plus importants alors que la sphère économique mondiale peine, de manière générale, à relancer la croissance. Avant d’y voir «un signal d’alarme » aux dirigeants mondiaux, appelés à intensifier leur lutte contre «ce fléau». Dans la même veine, l’économiste Sarah Freitas, co-auteure de l’étude, déplore les conséquences de cette fuite de capitaux qui auraient pu «être utilisés pour sortir les gens de la pauvreté ou sauver des vies». La Chine en pole position Dans son enquête, GFI élabore également un classement des pays les plus touchés par ces exodes des fonds illicites en 2010. Avec 420 milliards, la Chine arrive de très loin en pole position. Ce qui équivaut à 7,1% de son PIB du pays cette même année (5. 878 milliards de dollars). La Malaisie, le Mexique et la Russie complètent ce classement, avec des fuites de fonds respectives de 64, 51 et 43 milliards de dollars. Reste que le cas chinois n’est guère surprenant, tant le pays a récemment été miné par des scandales de corruption, impliquant les plus hautes sphères politiques du pays. Ces cinq dernières années, Pékin a affirmé avoir sanctionné quelque 660 000 cadres du Parti communiste chinois (PCC). Le nouveau «grand timonier» (au passage dans le collimateur de l’agence Bloomberg, qui a estimé sa fortune personnelle à plusieurs centaines de millions de dollars) a ainsi fait de la lutte contre la corruption une «priorité». Lors de son premier discours devant le nouveau bureau politique du parti communiste à la mi-novembre, il a reconnu que le problème se faisait «plus aigu» et menaçait «de détruire in fine le parti et le pays». Selon nombre de spécialistes de la question, la libéralisation financière et l’idéologie économique dominante ont favorisé la prolifération de paradis fiscaux et de mécanismes permettant aux grosses fortunes et aux multinationales d’échapper à leurs responsabilités envers les Etats. Pour le Sud, les effets de l’évasion et de la fraude fiscales sont désastreux. L’alternative réside dans la coopération internationale face au détricotage des systèmes de redistribution de l’impôt. Source
  2. La mendicité, signe de régression sociale ou segment caché de l’emploi informel ? La mendicité en Algérie prend des proportions phénoménales, à telle enseigne, qu’il est difficile de distinguer le mendiant «honnête» du mendiant «professionnel». Nous allons tout de même essayer, à travers cette modeste contribution, d’en démêler l’écheveau. Qu’est-ce que la mendicité ? La mendicité est le fait de mendier, c’est-à-dire de demander l’aumône qui, elle-même, constitue un don charitable fait, en règle générale, à un misérable ou à un indigent. Le terme aumône décrit ici soit l’action, soit la condition de celui qui y fait appel. La mendicité est la forme la plus sensible et la plus grossière de l’indigence solliciteuse. Elle s’adresse indifféremment à tous et à chacun, elle s’établit sur la voie publique, sur le seuil des mosquées, des marchés hebdomadaires et en tous lieux où se pratiquent des flux humains ; elle cherche les endroits les plus fréquentés, elle ne se borne pas à exprimer ses besoins, elle en étale les tristes symptômes, elle cherche à émouvoir par ses dehors autant que par son langage, elle se rend hideuse pour devenir éloquente, elle se dégrade pour arriver à ses fins. Comment est-elle perçue en Islam ? La mendicité en Islam est une pratique reprouvée, puisqu’elle est considérée comme une mauvaise conduite qui risque de mener son auteur à l’irréparable. Il y a des hadiths qui prescrivent la mendicité, mais aussi d’innombrables versets du Coran qui exhortent le croyant à être généreux avec son prochain, à ne pas être avare, à dépenser sans compter dans la voie de Dieu. Ainsi, l’Islam adopte, somme toute, une position équilibrée. Il fait l’éloge du pauvre qui s’abstient de mendier et encourage le nanti à pratiquer la charité et à dépenser dans le bien. Ceci est d’ailleurs parfaitement étayé par un hadith du Prophète (QSSSL) rapporté par Abou Hourayra : «Quand l’un de vous rapporte sur son dos un fagot de bois, cela lui est bien préférable que de tendre la main aux gens dont certains lui donnent quelque aumône et d’autres ne lui donnent rien » (Al Boukhari-Mouslim). Ou encore cet autre hadith : «Celui qui mendie pour accroître ses biens, ne mendie en réalité que des braises (d’enfer), soit qu’il demande peu, soit qu’il demande beaucoup.» En définitive, l’Islam et son Prophète (QSSSL ) privilégient la main supérieure (celle qui donne) à la main inférieure (celle qui demande). Les mendiants, qui sont-ils ? Un mendiant est une personne qui vit matériellement d’aumônes, d’argent ou de nourriture donnés par charité. Le mendiant est habituellement sans domicile fixe et se déplace dans un espace public devenu par «la force des choses» son territoire. Son activité était par le passé, paradoxalement, reconnue, honorée et respectée. Le mendiant recevait nourriture et hospitalité, selon une coutume et des principes ancrés dans la mémoire populaire. Il faut préciser à ce propos, que la charité n’était octroyée qu’aux mendiants originaires du lieu, dont le statut d’indigent et de miséreux était avéré, les autres mendiants usurpateurs n’avaient pas droit à l’aumône et ils étaient chassés hors des limites des lieux. Par le passé, on distinguait «le vrai mendiant» qui, faute de capacité d’emploi, de handicap prononcé, d’inexistence de revenus, d’absence de solidarité familiale ou autre, ne pouvait compter que sur les dons pour subsister. Sa déchéance, parfois provisoire, était souvent due à une pénurie d’emploi ou chômage, à un éclatement de la cellule familiale, à un divorce, ou à la perte du logement. Elle durait cependant dans le temps quand ce mendiant devait son état à l’alcoolisme et à la toxicomanie. Réduit ainsi en loque humaine, ce type de mendiant, véritable déchet, s’abreuve d’humiliations comme à plaisir. L’indigence alors ne reçoit plus de bienfaits, elle perçoit des tributs, elle ne doit rien à la charité, elle doit tout à la fatigue ou à la crainte émanant de ce type de personnage, qui récolte ainsi quelques pièces, qu’il doit néanmoins ramasser. Et le ressenti par rapport à ce type de mendiant, parfois agressif, n’est que honte, empathie, dégoût, tristesse, indifférence, pitié, voire désespoir quant à la race humaine. Il est évident et on ne peut l’ignorer, que la fermeture d’entreprises, conjuguée au désastre occasionné par la décennie noire avec son lot de déracinés, de handicapés, d’orphelins et de veuves, ont contribué à gonfler le rang des mendiants. L’Etat ayant bien entendu déroulé tous les dispositifs possibles pour les prendre en charge (couffin alimentaire, carte de soins gratuite, filet social, prise en charge des personnes âgées, des handicapés, etc.). Ces efforts importants certes doivent être poursuivis concernant ce segment de démunis, car c’est le rôle de l’Etat qui doit veiller à redistribuer les richesses nationales de manière la plus équilibrée possible. Mais les mendiants qui suscitent des interrogations sont, sans nul doute, ceux-là mêmes qui ont l’air d’être en bonne santé et correctement vêtus. Les «faux mendiants» Ils sont organisés en bande, transportés et ventilés par des réseaux maffieux, et agissent comme des employés modèles, structurés et soumis à des obligations «professionnelles» et même à une obligation de résultat ou de quota à atteindre. Dans ce ramassis, on ne peut ne pas remarquer la présence de jeunes femmes avec des nourrissons marmonnant quelques litanies pour faire pitié. Cet étrange attelage «mère/bébé», à croire qu’il a été cloné pour la circonstance, s’essaime sur les voies de circulation à la manière d’un jalonnement de policiers précédant la venue d’un président étranger. En fait, il n’est pas difficile d’observer que l’enfant porté n’est pas celui de la mendiante, dès lors qu’elle ne manifeste aucune affection particulière à son égard. D’ailleurs selon la Fondation de la promotion de la santé et de la recherche (Forem), il y aurait tout un réseau derrière la location et l’emploi des bébés et enfants en bas âge. Le président de la Forem, Mustapha Khiati, aurait déclaré que ces enfants mineurs constituent le segment le plus important des mendiants et subissent souvent des viols et des châtiments de la part des chefs de réseaux en cas de désobéissance (sources El Watan-Fatima Arab). D’autres techniques sont utilisées par ces faux-mendiants qui : -déploient une stratégie de marketing émotionnelle faite de supplications et de pleurs. -sont vêtus d’habits sales et déchirés, pieds nus, main tordue, mais néanmoins bien tendue. -portent des lunettes et cannes de (faux) non-voyants. -se font passer pour des estropiés, et autres culs- de-jatte. -se présentent en faux malades plaçant devant eux une ordonnance médicale, froissée, jaunie qui a subi tous les outrages, mais qui reste absolument rentable. Cette panoplie n’est pas exhaustive bien sûr, tant les faux mendiants redoublent d’ingéniosité dans «leur art». Et comment ne pas signaler cette information notée dans l’Actu-Est d’El Watan, du 15 août 2012, relative aux centaines de personnes originaires de wilayas lointaines, débarquant à Souk Ahras la veille du Ramadhan, pour repartir après l’Aïd, après avoir ratissé de fond en comble la ville, vidé les poches de ses habitants et raflé «la fitra d’El Aïd». Et ce qui est ahurissant, concernant ces personnes vivant pour la plupart dans les bidonvilles, (voir ma précédente contribution intitulée: «Faut-il raser les bidonvilles et éradiquer le secteur informel ?», c’est leur capacité à louer des maisons à la périphérie de la ville ciblée, voire même, à prendre des chambres d’hôtel in situ, pour s’adonner plus facilement et dès l’aube à leur «métier». Cette organisation de la (fausse) mendicité, outre ses moyens matériels, obéit, comme il a été affirmé supra, à une structuration rodée et hiérarchisée avec des leaders, des kapos et des besogneux avec, à la clef, des recettes à faire pâlir les capitaines d’industrie les plus entreprenants. Le phénomène de la mendicité, au-delà des chiffres de ceux qui s’y adonnent qui gagneraient à être connus, a dépassé tout entendement et ses ramifications semblent sans limites. Car c’est bien d’une profession ignoble dont il s’agit, même si bien sûr il ne faut pas oublier qu’il y a encore des nécessiteux, qui s’abstiennent souvent de tendre la main et, s’ils s’y résignent, c’est en désespoir de cause et pour le moins provisoirement pour la plupart, comme je l’ai mentionné en début de cette contribution. Maintenant, si la mendicité est révélatrice d’un malaise admis comme une forme de régression sociale, le fait d’en parler peut être considéré, bien sûr, comme de la commisération, voire même de l’électoralisme, particulièrement en période du calendrier politique de notre pays. Mais continuer cependant à donner l’aumône, au feeling, selon sa conscience, ou essayer de contribuer à faire cesser cette dérive en s’abstenant de répondre aux sollicitations, ne constitue pas, a contrario, la solution à même d’éradiquer ce fléau. En fait, chacun fait ce qu’il pense être le mieux, si l’on considère que la mendicité est un phénomène universel, qui doit tout de même être pris en charge par l’Etat, d’autant plus que toutes les sociétés ont leurs couches de pauvres et de SDF, et celles-ci trouvent, en fin de compte, des réponses à leur détresse auprès des structures étatiques et des associations caritatives œuvrant dans le domaine. Mais si l’on estime que la mendicité est non seulement un fléau social à combattre mais aussi un segment de l’emploi informel à éradiquer tout comme le commerce informel, il faut, et c’est le rôle des institutions de l’Etat, intervenir, pour y mettre un terme. Et si l’on ne met pas le curseur sur la mendicité, notamment celle prise comme métier, avec ses racketteurs et ses besogneux, pourra-t-on parler décemment de politique nouvelle de la ville, d’investissement touristique ou globalement de développement ou d’amélioration du cadre de vie en Algérie ? Voilà donc un chantier à ouvrir absolument, d’autant plus que l’ordonnance nº 69-51 du 17 juin 1969 portant l’interdiction de la mendicité et du vagabondage stipule dans son article 1er «la mendicité et le vagabondage sont interdits sous quelque forme que ce soit, sur toute l’étendue du territoire», et dans son article 2, que «toute infraction est passible d’emprisonnement de 2 mois à 2 ans, et en cas de récidive, la peine pourra être portée à 5 ans». De plus, même si la loi algérienne criminalise la mendicité, le législateur ne doit pas être en reste concernant l’ampleur du phénomène et doit, à mon sens, plancher rapidement sur «l’exploitation de la mendicité et son organisation en réseaux» et combler ainsi le vide juridique en la matière. Concernant enfin la mendicité des mineurs ou l’exploitation d’enfants et même si on est loin, très loin même du Maroc où la mendicité infantile, qui bien que coutume ancestrale, est extrêmement gênante, notamment pour le touriste qui se voit sollicité à chaque pas, il y a urgence absolue à intervenir devant ce péril auquel il faut opposer une tolérance zéro, pour sauvegarder ces enfants qui sont déjà stigmatisés par une image de déchéance, la leur et celle de leur exploiteur, avant d’avoir un peu de prise sur leur propre vie . Source
  3. Hicham

    enfin du serieux pour AT

    @yoplalache : AT ne pense pas comme sa , elle pense que déjà si elle nous donne internet c'est un Service/une faveur et quand y a pas beh normal 3adi. le jour où internet sera vu à sa juste valeur , là on pourra espérer un changement !
  4. Hicham

    enfin du serieux pour AT

    balak c'est les lignes de SFR qui sont rétablies ? même avec des milliers d'abonnés en moins , notre connexion est merdik , y a vraiment beaucoup de travail à faire , j'imagine même pas comment la 3G va être accueillie avec une bande passante pareil. la politique d'AT c'est d'acheter une Ferrari , ensuite elle va placer le Moteur
  5. Mobilis promet d’offrir la 3G à 100 000 clients dés les premiers jours du lancement La 3G que les Algériens attendent avec beaucoup d’impatience, Mobilis promet d’ores et déjà de la vulgariser auprès de ses clients. En effet, le PDG de Mobilis, Saâd Damma, s’est engagé à assurer la 3G pour 100.000 clients au lendemain du lancement de l’appel d’offres. « Au lendemain de la publication de l’appel d’offres, nous pouvons offrir les services de la 3G à plus de 100.000 clients répartis sur plusieurs wilaya du pays » a indiqué ainsi le PDG de Mobilis aux journalistes de la presse nationale lors d’une rencontre organisée jeudi dernier à l’occasion de la cérémonie de clôture du premier cycle des rencontres « Entreprises 2012 ». Une cérémonie au cours de laquelle le patron de Mobilis est revenu également sur les réalisations accomplies en 2012 et les objectifs fixés durant 2013. « Mobilis est le premier investisseur en Algérie, l’authentique opérateur GSM national, leader de l’abonnement téléphonique postpaid », a-t-il ainsi affirmé à cette occasion. D’autre part, Saâd Damma a annoncé l’affrètement d’un avion, d’une capacité de 250 sièges appartenant à une compagnie étrangère, pour transporter gratuitement, en Afrique du Sud, les meilleurs clients et distributeurs à l’occasion de la 29ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2013). Quant au bilan de l’année 2012, le PDG de Mobilis a fait savoir que l’opérateur public de téléphonie mobile termine l’année avec une croissance de 10% par rapport à l’an dernier. « Nous sommes fiers d’êtres le premier employeur de l’Algérie. Notre entreprise sert positivement l’économie nationale, aucun centime n’a été transféré à l’étranger » a-t-il expliqué. Rappelons enfin que Mobilis compte 11 millions d’abonnés, 70.000 entreprises clientes et 5.200 antennes BTS couvrant 98% du territoire national. L’opérateur compte également 4.200 employés et dispose de 131 agences à travers l’ensemble des wilayas du pays. Source
  6. BMW Car Hotspot LTE : de la 4G et du Wi-Fi en voiture BMW a annoncé cette semaine le lancement d'un accessoire permettant de partager une connexion 4G par Wi-Fi sur la route. Le « BMW Car Hotspot LTE » est en fait un modem Wi-Fi spécialement étudié pour ses voitures. On l'a vu à plusieurs reprises et particulièrement au dernier Mondial de l'Auto, le divertissement à bord est devenu un argument de vente décisif. Les interfaces sont désormais ou seront bientôt à la hauteur de celles des smartphones et tablettes, et les services connectés se multiplient. On s'attend donc à trouver Internet dans l'habitacle de la voiture. Pour ce faire, BMW lance le « Car Hotspot LTE », un accessoire qu'on peut acheter séparément de sa voiture. Il s'agit d'un modem Wi-Fi, semblable à ce qu'Orange appelle un Domino, adapté à une utilisation en voiture, de préférence une BMW, mais pas obligatoirement. Dans celles équipées de la station d'accueil optionnelle pour téléphone, l'appareil dispose d'un connecteur et d'un emplacement dédié, dans le compartiment sous l'accoudoir central, dans lequel le signal téléphonique est acheminé directement de l'antenne de toit. L'exposition des passagers aux ondes GSM est ainsi réduite. Par défaut, la puissance de l'antenne Wi-Fi est quant à elle abaissée, l'habitacle d'une voiture étant relativement confiné. L'appareil fonctionne également dans n'importe quelle voiture ou même à l'extérieur. Il dispose à cet effet d'un port mini USB permettant de l'alimenter et de recharger sa batterie lui conférant une petite heure d'autonomie. D'une manière générale, il dispose enfin du NFC et du WPS, qui permettent d'automatiser la connexion des huit appareils qui peuvent se connecter simultanément. Le prix et la date de commercialisation du « BMW Car Hotspot LTE » n'ont pas été communiqués. Ils s'ajouteront en tout cas au coût d'une offre d'accès 4G, que l'utilisateur doit fournir. À titre de comparaison, Volkswagen propose une autre approche dans la nouvelle Golf, en proposant de partager la connexion 3G utilisée pour les services connectés, en échange d'un abonnement. Source
  7. La vidéo "Gangnam Style" vue plus d'un milliard de fois sur YouTube Gangnam Style, le clip déjanté du chanteur sud-coréen Psy, déjà la vidéo la plus regardée sur YouTube depuis la création du site, a franchi vendredi 21 décembre la barre symbolique du milliard de connexions, entrant un peu plus encore dans la jeune histoire du Web. Sorti en juillet en Corée mais devenu réellement populaire à l'étranger début août, le clip du rappeur de 34 ans, dans lequel il mime une danse du cheval invisible, a fait le tour de la planète. Mis en ligne le 15 juillet dernier, Gangnam Style totalisait vendredi matin 1 000 382 639 connexions, selon le décompte de YouTube, confortant ainsi son avance sur le clip de Baby, du jeune Canadien Justin Bieber (813 378 917 connexions), qu'il avait devancé fin novembre. Le tube, au style volontairement outrancier et mettant en scène la désormais populaire danse du cheval, parodie la vie des riches oisifs d'un quartier chic de Séoul et se veut l'antithèse de la K-pop, la pop sud-coréenne connue pour ses boys bands lisses et ses ritournelles sentimentales. Il a été vu par de hauts dirigeants comme le président américain, Barack Obama, le secrétaire général des Nations unies et compatriote du rappeur, Ban Ki-moon, l'artiste dissident chinois Ai Weiwei ou encore le maire de Londres, Boris Johnson. Quant à Psy, de son vrai nom Park Jae-Sang, il a été décoré en novembre de l'une des plus prestigieuses récompenses sud-coréennes, l'ordre du mérite culturel Okgwan. Source
  8. Hicham

    Chanson dédié à Hollande :

    c'est le ministre de l'intérieur français alors .... ça rigole pas avec les fourchettes
  9. disons que si ta connexion est merdik c'est pas du tout à cause de ça
  10. je sais pas pour le nom mais j'ai la description du site : Wikileaks 100% Algérien
  11. ah beh c'est ce qu'il fallait faire au tout début
  12. crois moi vaut mieux pas goûter tu risques de tomber de haut
  13. Algérie-Télécom / Vols de câbles téléphoniques Algérie-Télécom / Vols de câbles téléphoniques 137 millions de dinars de pertes Bilan - Les opérations de sabotages et de vols de câbles téléphoniques ont coûté 137 millions de dinars de pertes au groupe «Algérie Télécom» (AT) en 2012. Et ce uniquement dans quatre wilayas de l'ouest du pays, selon l'affirmation faite hier mercredi, à Oran par le directeur de la communication de l'entreprise. Il s'agit des wilayas d'Oran, d'Aïn Témouchent, de Mostaganem et de Mascara relevant de la délégation régionale d'Oran de ce groupe, a précisé Abdelhakim Meziani lors d'une d'une rencontre entre les directeurs opérationnels de ces wilayas et les représentants de la presse locale. En 2009, les pertes étaient estimées à 140 millions de dinars pour atteindre 500 millions en 2010 puis 920 millions en 2011, a rappelé un responsable de la délégation régionale d'AT. La wilaya d'Oran détient le triste record en matière de vol de câbles téléphoniques, se classant en tête au niveau national avant Alger, a-t-on souligné. Des milliers d'abonnés oranais sont pénalisés par ces vols à répétition de câbles téléphoniques notamment à hai Nedjma (ex-Chtaïbo), la localité d'Aïn El-Beïda et dans la commune d'Es-Senia, a-t-il ajouté déplorant que les vols de câbles «sont devenus monnaie courante». Devant ce phénomène, le directeur de la Communication du Groupe, M. Meziani a plaidé pour une sensibilisation du citoyen afin de contribuer à faire face à ce fléau, car «il est le premier perdant dans cette affaire», a-t-il souligné. Sur un autre volet, il a abordé la stratégie de communication d'Algérie Télécom «dont le souci est de placer sa clientèle au centre de ses préoccupations», en soulignant le « rôle important» de la presse dans le cadre de l'émergence de la Société algérienne de l'Information, de la Communication et du Savoir. Toujours s'agissant des vols des câbles téléphoniques dans les wilayas de l'Ouest, il convient de rappeler que l'antenne d'Algérie Télécom de Aïn Témouchent a enregistré, entre le 1er et le 3 décembre, le vol de 315 mètres de câbles téléphoniques au niveau des communes de Oued Sebbah et El-Amria. Ce nouveau préjudice est estimé à 745 000 DA qui vient s'ajouter aux pertes de l'ordre de 1,047 million de DA, enregistrées à la mi-novembre. Au moins 590 mètres de câbles téléphoniques ont fait l'objet de vols les 13 et 14 novembre écoulés au niveau des communes d'El Amria et de Oued Sebbah. Depuis le début de l'année, les services d'Algérie Télécom de Aïn Témouchent ont enregistré 26 vols de câbles téléphoniques. Source
  14. Près de 1000 faux dossiers d'acquisition de lignes du système WLL Un autre scandale à Algérie Télécom à Annaba Le juge d'instruction du tribunal d'Annaba entamera, au courant de cette semaine, l'étude du litige de quelque 1000 faux dossiers d'attribution de lignes téléphoniques du système WLL (sans fil) où le préjudice financier se chiffre à plusieurs milliards. Les mis en cause qui seront auditionnés sont, entre autres, l'ancien directeur opérationnel des télécommunications (DOT) de la wilaya d'Annaba ainsi que trois chefs d'agence Actel, mais aussi une trentaine d'agents du personnel d'exécution qui ont fait preuve, selon une source proche du dossier, «d'incompétence». Selon les mêmes sources, le lancement de ce système de téléphonie sans fil en 2005, introduit par l'entreprise chinoise Huawei, était «tout simplement bradé». Le pot aux roses a été découvert en 2009 dans des conditions hasardeuses par les éléments de la brigade économique de la gendarmerie qui ont immédiatement déclenché une enquête qui a duré près d'une année. Tout a commencé fin 2004, lorsque la direction générale d'Algérie Télécom a décidé d'introduire le système chinois d'origine américaine de téléphonie sans fil WLL. Ce système était répandu dans les zones rurales de certains pays asiatiques. Certains spécialistes du secteur nous diront que le WLL est un système obsolète. Ce n'est qu'un gadget qui ne permet nullement l'accès à internet. Le prétexte avancé par la tutelle était de concurrencer Lacom de Djezzy. Durant la période de 2005 à 2007, la direction centrale commerciale d'Algérie Télécom a décidé de concéder les lignes WLL gratuitement, ce qui était considéré comme du «dumping» par l'opérateur Lacom, aujourd'hui dissous. De nombreux responsables au niveau des Actel ainsi que des agents se sont aperçus qu'ils pouvaient acquérir des lignes grâce à des faux dossiers d'abonnement, parfois sans le moindre document, et ensuite les revendre au prix fort puisqu'elles étaient déjà programmées à l'emploi. Utilisées en n'importe quel endroit, ces lignes ont été revendues en deuxième main. Ainsi, l'abonné, sans payer la communication, était dès le départ comptabilisé par l'entreprise, et les recettes n'étaient pas honorées. Les responsables des Actel Port, Bouzered Hocine et El Bouni auraient dû s'apercevoir d'une telle arnaque ou du moins essayer de récupérer les recettes ou suspendre l'abonnement dès les premières échéances non honorées. Ce qui n'a pas été fait. Ils ont alerté les services de la direction opérationnelle des télécommunications (DOT) qui, à son tour, n'a pas déposé plainte ni déclenché d’enquête pour récupérer des sommes colossales qui sont un manque à gagner énorme pour l'entreprise. Cette affaire a révélé que le WLL est une véritable arnaque dont l'actuelle équipe dirigeante d'AT a demandé en 2011 de mettre fin à l’utilisation en zone urbaine. Source
  15. Algérie Télécom fait sa com La délégation régionale d’Oran d’Algérie Télécom a organisé, mercredi dernier, une rencontre entre les directeurs opérationnels d’Oran (DOT Est et Ouest), de Mascara, de Aïn Témouchent et de Mostaganem, en présence du directeur régional d’AT, Mustapha Arbaoui et du directeur de la communication au sein de l’entreprise d’AT, Abdelhakim Meziani. Ce dernier a profité de cette rencontre pour lancer un appel visant à améliorer les relations entre la presse locale et les DOT à travers “un état des lieux des plus objectifs sur la base de la médiatisation des dernières réalisations avec l’explication des décisions prises par le P-DG en relation avec celles de A.T. de placer sa clientèle au centre de ses préoccupations”. Cette entrée en matière du directeur de la communication aura permis de lever le voile sur “des pratiques liées à des abus de certains employés d’A.T., mais aussi de certains journalistes qui s’attaquent à A.T. pour régler des différends personnels”. Le ton est franchement lancé pour un débat sur les déconvenues rencontrées par les abonnés d’A.T. et les incidences sur l’image de marque de l’opérateur téléphonique historique. Abdelhakim Méziani aura toute latitude de citer les “mauvais exemples de certains abonnés qui louvoient pour ne pas payer leur factures téléphoniques tout comme l’état d’esprit de certains journalistes qui utilisent leurs journaux pour léser A.T.” Un état d’esprit conjugué, faut-il le signaler, par la faiblesse voire l’absence de canaux viables et fiables et d’interlocuteurs valables à l’effet de véhiculer une information précise et rapide. Ceci dit, l’accent a été particulièrement mis sur la nécessité de “se débarrasser des vieux réflexes pour faire face à la concurrence”. Par ailleurs, le paiement électronique viendra s’ajouter au paiement au niveau des bureaux de poste dont certains, à titre expérimental, ont été investis de la mission d’accepter les paiements à l’effet de désengorger les agences commerciales. Notons que le service commercial d’El-Makkari sera délocalisé pour un espace d’accueil des clients d’A.T. plus spacieux. Selon le directeur régional d’A.T., les travaux seront lancés au début de l’année prochaine. Dans le même temps et pour faire face aux vols répétitifs des câbles téléphoniques de cuivre, A.T. s’ingénie à mettre en place des canalisations en fibre optique. “Les voleurs ne pourront plus rien voler du moment que la fibre optique ne contient pas de cuivre”, a affirmé M. Arbaoui. Plus de 6 000 dérangements ont été provoqués par les travaux de la Seor, du tramway mais aussi par les particuliers fraudeurs. Pour sa part, DOT Oran-Est a annoncé le rétablissement de 85% des câbles volés. Une situation décriée par les présents qui tirent la sonnette d’alarme. “Nous attendons entre un et deux ans pour obtenir l’autorisation pour enfouir les câbles téléphoniques que les voleurs déterreront quelques heures plus tard à l’aide de leur Poclain”, a estimé le directeur de la communication d’A.T. Ce qui a engendré aux quatre DOT un préjudice financier de l’ordre de 28 milliards de centimes entre 2009 et 2012. Selon les intervenants, la mise en place d’un plan de modernisation en 2013, réparti sur 20 centres, 38 sites et 55 Msan (Multi service access node) devrait permettre de réduire totalement le problème des dérangements téléphoniques et de connexion grâce au rapprochement (800 mètres) de ce système au profit de l’abonné. La nouvelle ville d’Oued Tlélat n’est pas en reste, puisqu’un programme Msan lui sera entièrement consacré à partir de 2013. Bir El-Djir et Haï Yasmine sont également concernés par un autre programme doté de 18 projets de canalisation via Msan. La mise en place du système Msan dans la wilaya d'Oran devra être accomplie au courant de l'année 2013. Le projet permettra l'amélioration de la qualité de l'Internet haut débit et la fourniture de nouveaux services. Depuis 2012, 72 équipements Msan ont été installés à Oran, dont 42 à Oran-est avec un nombre d'accès data de 42 442 et 29 autres équipements Msan d'une capacité de 33 506 accès à Oran-ouest. Au centre-ville, on a déjà procédé au basculement des lignes téléphoniques commençant par 33, 40 et 41. Enfin, il est utile de rappeler que plus de 40 000 abonnés d’A.T. ont été raccordés au système Msan dans la wilaya d’Oran. Source
  16. Wikileaks diffusera 1 million de documents en 2013 Cette année fût assez mouvementée pour Wikileaks. Julian Assange a en effet connu moult péripéties. Menacé d’extradition vers la Suède par la Grande-Bretagne, le fondateur de Wikileaks s’est réfugié il y a 6 mois dans l’ambassade d’Équateur de Londres. Depuis, l’asile politique lui a été accordé par le pays. Mais s’il sort de l’ambassade, Julian Assange risque d’être arrêté par la police anglaise. Depuis 6 mois, Assange multiplie donc les discours sur le balcon de l’ambassade, qui est désormais sa nouvelle maison. Et c’est l’heure du bilan pour Julian Assange, qui compte bien ne pas abandonner Wikileaks durant l’année 2013. Assange annonce en effet que durant l’année 2013, autant de documents que durant l’année 2012 seront dévoilés sur le site, soit un million. Assange indique aussi qu’il ne compte se focaliser seulement sur les États-Unis, sa Némésis, mais sur tous les pays du monde. Assange risque très gros s’il sort de l’ambassade pour se rendre à l’aéroport. Si la police l’arrête, il sera extradé vers la Suède, ou il est recherché dans une affaire « d’agression » sexuelle. Il craint ensuite d’être extradé vers les États-Unis, où il risque la peine de mort pour espionnage. Source
  17. Algérie- L’avant-dernière place mondiale pour la bande passante En juin dernier, l’Algérie occupait la toute dernière place dans le classement des pays du monde selon leur bande passante moyenne. 6 mois plus tard, nous remontons dans le classement. En effet, à présent nous pointons…à l’avant-dernière place. Après s’être basé sur la bande passante moyenne des pays du monde entre le 8 octobre et le 3 décembre, et après avoir fait des tests sur 294 236 adresses IP algériennes uniques, les résultats du site web Netindex sont tombés. La bande passante en Algérie occupe la 177e place sur 178 pays, coincée entre le Botswana et le Bénin. La bande passante algérienne a néanmoins miraculeusement pu dépasser le mégabit par seconde, et a réussi à atteindre la valeur honteuse de 1.21mbps. Dans le TOP 3 des villes algériennes, nous retrouvons Batna à la première place du podium avec une bande passante estimée à 4.10 mbps, puis Alger (1.54mbps) et enfin Chlef (1.38 mbps). Dans le TOP 3 mondial, Hong kong gagne 3 places par rapport au semestre passé et rafle la première place au Luxembourg et ce, grâce à sa bande passante de rêve de 41.79 mbps –un peu plus de 40 mbps de plus que nous-, viennent en suite le Japan (37.98 mbps) et Singapour (36.45 mbps) à la deuxième et troisième place. Source
  18. en effet c'est plus logique un modem qui oublie les virgules ça c'est le genre de modems que fabriquerait l'algérie si elle fabriquait des modems
  19. Hicham

    Easy à Tizi

    et t'es étonné ? celui qui ta dit de changer de mot de passe voulait en réalité te dire "Dégage" que faire ? beh tu peux rien faire , on est comme des moutons on souffre sans pouvoir rien faire, le réseau d'AT a vraiment besoin d'un coup de lifting !
  20. Une nouvelle génération de médias sociaux pourrait inquiéter Facebook Et si Facebook était partie sur un mauvais pied parce que née sur un ordinateur et pas sur un téléphone mobile ? Telle est la question qu'on peut se poser quand on voit l'impressionnante progression de trois entreprises asiatiques qui totalisent ensemble pas loin de 400 millions d'utilisateurs et grandissent à vitesse vertigineuse. A la différence du méga média social que nous connaissons tous elles sont parties des smartphones et s'appuient sur les conversations plus que sur les relations. De quoi s'agit-il ? WeChat est la première application chinoise pour Smartphone qui commence à être adoptée hors de l'empire du milieu (où son équivalent local est connu sous le nom de Weixin). Lancée en 2011 par Tencent, la plus grosse compagnie online, elle avait déjà plus de 200 millions d'utilisateurs en septembre (y compris en Asie du Sud Est, aux États-Unis et en Grande Bretagne) deux fois plus qu'au mois de mars. Comme le dit The Guardian, l'application est "semblable" à WhatsApp mais offre "beaucoup plus" de fonctionnalités. Il est vrai qu’on y trouve un peu de Twitter, un peu de Facebook, un peu d'Instagram et un peu de Skype… entre autres. Elle permet aussi d'envoyer des messages parlés comme un walkie-talkie. En Corée c'est Kakao Talk qui domine (Tencent a pris 14% du capital). Elle revendiquait 60 Millions d'utilisateurs en septembre quand j'ai interviewé Yujin Sohn, vice-présidente chargée du développement global. Les fonctionnalités se ressemblent mais "Nous avons démarré avant WeChat et pouvons faire tout ce qu'ils font" m'a-t-elle expliqué. "Mais nous avons, en plus, les appels gratuits ce qu'ils n'ont pas encore". En fait les Chinois auraient eu du mal à gagner le marché coréen et vice-versa. Les deux entreprises se sont alliées mettant dans la corbeille l'une sa technologie et l'autre ses ressources financières. Le dernier membre du trio est Line l'émanation japonaise d'une société coréenne (NHN ou Next Human Network, dont le fondateur de Kakao a été le patron en son temps… autant dire que les liens entre les trois sociétés ne manquent pas). Ils avaient 60 millions d'utilisateurs en septembre (dont un peu moins de la moitié au Japon, alors que la proportion des utilisateurs coréens de Kakao Talk semble plus près des 90% selon Jun Masuda exécutive officer de Line) et pensaient atteindre les 100 millions d'ici la fin de l'année. Selon Masuda, "l'interface graphique et la stratégie sont très semblables car nous provenons tous les deux de la même entreprise". Comme Sohn, Masuda insiste sur la communication. "Nous ne sommes pas un réseau social, nous sommes un service de messagerie," m'a-t-il expliqué. "Les messages sont plutôt courts ce qui permet des échanges rapides, plutôt comme une conversation." Pour Sohn, la grande différence avec Facebook est que "nous sommes nés sur le mobile" alors que pour Masuda "la révolution des smartphones nous offre une chance d'étendre les services de messageries et de communication. Les États-Unis ont Facebook mais n'ont pas encore de service de messagerie dominant. C'est pourquoi nous nous intéressons d'abord au marché asiatique avec l'intention ensuite de nous étendre". La différence peut sembler une question de nuance mais elle leur apparaît comme essentielle. L'explication la plus précise m'en a été donnée par Yujin Sohn (Kate pour les occidentaux) pour qui "Facebook est plus une plateforme sociale avec des fonctionnalités de communication alors que nous sommes une plateforme de communication avec des éléments sociaux. Les smartphones sont faits pour ça alors que les ordinateurs n'ont pas été conçus pour communiquer, même si tout se recoupe partiellement. Facebook a du mal sur le mobile parce qu'elle est née dans un environnement qui n'est pas centré autour de la communication. Nous sommes différents parce que nous sommes nés sur des planètes différentes." WeChat et ses sœurs y voient un avantage et se considèrent bien placées pour rivaliser, un jour, avec Facebook. Moins parce qu'elles partent des immenses marchés asiatiques que parce qu'elles sont nées avec les smartphones et qu'elles demandent à tout nouveau venu l'accès à son carnet d'adresse. Les réseaux fondés sur les relations déclarées – comme Facebook – tendent à donner un graphe social plat ou statique alors que ceux qui reposent sur la communication et donc sur les relations réelles peuvent donner un graphe dynamique correspondant mieux à la réalité des échanges. Les deux modèles se recoupent partiellement mais le point de départ et donc, potentiellement, d'arrivée sont sensiblement différents. Source
  21. Hicham

    Chanson dédié à Hollande :

    Hollande a fait un Strip-Tease et a baissé son froc et ranger sa fierté pendant une Demi-heure de discours devant des millions d'algériens et des millions de français , ..... on peut quand même lui chanter une chanson ?? et en plus grâce à Hollande notre Roi est sorti de son Royaume et a découvert un peu le soleil pendant une Demi-Journée , rien que pour ça il mérite une médaille
  22. Facebook songe à faire payer certains messages privés Les messages privés payants pourraient bientôt arriver sur Facebook. Le réseau social est en train de tester un nouveau mécanisme consistant à obliger un usager à payer une petite somme d'argent pour contacter un autre utilisateur. S'il se généralise, Facebook assure qu'il ne concernera que certains messages très spécifiques. Bâti sur un modèle économique fragile, Facebook cherche en permanence à inventer de nouvelles sources de revenus. L'une des pistes actuellement explorées par le réseau social américain est la facturation de certains messages privés que les utilisateurs peuvent s'envoyer. Le site annonce en effet qu'un test est en cours afin d'évaluer la pertinence de cette fonctionnalité. Il ne s'agit pas de rendre Facebook Messenger payant ni d'obliger chaque usager à verser systématiquement une petite somme d'argent à chaque fois que celui-ci veut envoyer un message privé à ses contacts. Le mécanisme vise, selon le site communautaire, à ajouter un nouveau critère permettant de déterminer la pertinence d'un message reçu. Car celui-ci peut arriver dans la boîte de réception ou être considéré comme du spam. Si c'est le cas, le message est listé dans la catégorie "Autre". Facebook explique que plusieurs éléments sont pris en considération pour savoir si le message est valable et s'il mérite d'être placé dans la boîte de réception, plutôt que d'être marqué comme indésirable. Le site américain indique qu'il y a par exemple des critères sociaux : l'expéditeur et le destinataire sont-ils amis sur Facebook ? Ont-ils un contact en commun ? D'autres critères sont techniques. Facebook étant une plateforme sociale, de nombreux spammeurs tentent de remplir les boîtes aux lettres des usagers de leurs annonces. Avec le temps, le site a élaboré des parades capables de bloquer la propagation de messages : ces parades portent sur l'analyse du corps du texte, sur la nature des liens, sur la formulation ou encore sur le profil de l'expéditeur. Avec ce test, Facebook veut voir s'il est envisageable de rajouter un critère économique, c'est-à-dire payer une petite somme (ici un dollar) pour prendre contact avec quelqu'un dans des situations où les critères sociaux et techniques ne permettent pas d'évaluer la pertinence d'un message. Pour démontrer l'intérêt de son test, le site donne quelques exemples de situation : "Si vous voulez envoyer un message à une personne dont vous avez suivi le discours à une conférence mais avec laquelle vous n'avez aucun contact commun, ou si vous voulez envoyer un message à quelqu'un concernant une offre d'emploi, vous pouvez utiliser cette fonctionnalité pour accéder à sa boîte de réception", explique le réseau social. "Pour le destinataire, ce test lui permet d'être en contact avec des gens qui ont un message important à délivrer", poursuit-il. Sinon, pourquoi diable aurait-il versé un dollar pour envoyer un message vide de sens ? Interrogé par CNET, un porte-parole du site indique que pour le test, la disponibilité de cet outil est limitée à un petit nombre d'usagers américains. Pour l'heure, Facebook assure que seules les personnes privées peuvent utiliser ce mécanisme. Il n'est pas prévu que les marques puissent y accéder. Du moins pour pour le moment, précise le porte-parole. Car le site pourrait bien être tenté d'ouvrir ce mécanisme d'une façon ou d'une autre aux sociétés pour qu'elles puissent délivrer leur message commercial directement auprès des usagers, en ciblant par exemple les internautes qui aiment leur page. L'idée de faire payer certains mails pour renforcer la lutte contre le spam et éviter qu'un message important ne soit marqué comme indésirable n'est pas récente. Elle a été avancée par Bill Gates en 2004 et par Yahoo cinq ans plus tard. Le portail américain avait même annoncé le lancement de l'initiative CentMail... projet qui est jusqu'à présent resté lettre morte. L'objectif alors affiché était de placer une barrière financière entre les internautes et les spammeurs. En effet, si verser une toute petite somme d'argent (1 centime par exemple) est indolore pour les internautes (bien qu'à terme, la facture peut vite s'alourdir), le tarif deviendrait insupportable pour les auteurs de pourriels, habitués à envoyer des dizaines de millions de messages publicitaires. Source
  23. Le profil Facebook ne pourra plus être masqué dans la recherche interne (MàJ) La possibilité de masquer le profil Facebook dans le moteur de recherche interne du réseau social va disparaître dans quelques semaines. Le site communautaire américain estime que ce paramètre était très peu utilisé et qu'il n'était pas efficace, dans la mesure où il est possible de retrouver un profil par d'autres moyens. Mise à jour - Les nouveaux réglages de Facebook commencent à être progressivement déployés au niveau des comptes d'utilisateurs français. Pour savoir si votre profil dispose des nouveaux paramètres de confidentialité, il suffit de voir si un petit cadenas est apparu en haut à droite du site. Source
  24. oui merci, je viens de corriger , arggg très difficile d'être une Star la moindre erreur est fatale
  25. 267 dB oula normalement elle doit varier entre 30 dB et 40 dB.
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