Aller au contenu
Règlement du forum ×

Hicham

Membres
  • Compteur de contenus

    9 254
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    104

Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. y a peut être une raison à ça ?? tizi-ouzou (grande kabylie) est la wilaya qui compte le plus de communes et daïras et dont la plupart sont situés à des hauteurs de plus de 500 mètres voire le double et triple ....... en plus de ça question Budget c'est la wilaya la plus pauvre de l'algérie. une simple comparaison , le budget de la wilaya de tizi ouzou s'élève à plus de 500 millions de dinars , celui de la wilaya d'alger s'élève à plus de 25 milliards de dinars soit 50 fois plus que Tizi - Ouzou (qui compte plus de communes et daïras que Alger) celui de Oran un peu plus de 2 milliards ....... etc et y a pas que les kabyles qui se plaignent , tous les algériens se plaignent et c'est normal , notre gouvernement dépense des milliards par les fenêtres alors qu'à coté , le peuple sombre dans la misère , même les poubelles ils peuvent pas les ramasser bon son , à quoi ça sert d'avoir tous ces milliards ???
  2. c'est pas la taille du jeu qui m'inquiète c'est plutôt la Config qui le fera fonctionner surtout si le jeu est mal optimisé comme GTA IV à son lancement qui a mis à terre même les CG haut de gamme !
  3. ce genre de personnes ça existe mais jamais ils tiendront un poste au sein du gouvernement, tout se fait par la triche , on est loin de la bataille entre Obama & Romney , en algérie le gagnant est connu bien avant la campagne présidentielle et les votes sont truqués à chaque fois !
  4. on a bien vu pendant les législatives qu'ils ont pas besoin de nos votes pour faire gagner les partis qu'ils veulent !
  5. GTA 5 : Trois héros et une aire de jeu gigantesque Comme prévu, le magazine américain Game Informer se paye l'exclusivité sur les premières révélations de Grand Theft Auto 5. La couverture de son édition de décembre dévoile même Trevor, Franklin et Michael, les trois protagonistes principaux que le joueur incarnera au fil de la progression. Il sera d'ailleurs possible de switcher à peu près n'importe quand entre les trois. Durant certaines missions, le trio sera réuni pour travailler ensemble. Le joueur pourra alors choisir lequel diriger selon ce qu'il veut accomplir durant la mission, avec possibilité de changer en cours de mission lors de moments clés. On imagine qu'un exemple tout bête sera d'être le chauffeur ou le tireur dans une voiture. Trevor, Franklin et Michael (de gauche à droite sur la couverture) auront chacun des compétences personnelles, de même que des cercles d'amis distincts avec qui traîner et socialiser. Rockstar précise qu'il n'y aura pas d'histoire de coeur dans ce volet, uniquement des relations amicales, ce qui peut être interprêté de mille façons venant de ce studio. Enfin, puisque GTA 5 se déroule dans le même univers que GTA 4, on pourra croiser quelques têtes connues. Concernant l'aire de jeu, les développeurs ont la folie des grandeurs et l'estiment plus grande que celle de GTA : San Andreas, GTA 4 et Red Dead Redemption réunies ! L'immense ville de Los Santos (inspirée de Los Angeles) ne sera pas le seul terrain de jeu puisqu'il y aura aussi la campagne alentour, et même un fond marin à découvrir. Le système de missions aléatoires vu dans Red Dead Redemption sera aussi de retour pour égayer les longues heures de trajet d'un point à l'autre de la carte. - Michael est un ancien braqueur qui vit désormais sous la protection de la police dans les quartiers huppés de la ville. Il déteste sa femme qui passe sa journée à faire les boutiques, et n'arrive pas à communiquer avec ses deux adolescents. - Trevor est le taré de la bande. Parano, cet ancien pilote de l'armée vit dans le désert. Il aura accès à des avions assez tôt dans le jeu. - Franklin a la vingtaine. Il bosse pour un garage et se retrouve souvent chargé de récupérer des voitures. Source : JV.com | Le 08/11/2012.
  6. Une première semaine de campagne s’achève dans la région Les citoyens indifférents aux discours des partis à Tizi Ouzou S’adresser au citoyen avec comme intention de le transformer en un électeur potentiel, le 29 novembre prochain, relève d’une véritable gymnastique pour les candidats aux élections locales qui, au rythme où va la campagne électorale, depuis son début, il y a maintenant une semaine, ne semblent plus susciter l’engouement des mandats précédents. Officiellement 6 769 candidats, représentant 18 partis politiques et 34 indépendants sont censés aller à la conquête de voix pour se faire élire aux 67 APC de la wilaya. 549 autres candidats, représentant 9 partis, sont censés également participer à la chasse aux voix pour obtenir un quitus pour l’APW. Mais en dépit de ce fort contingent de candidats, la scène politique locale demeure sans grands mouvements et la campagne électorale ne bat toujours pas de l’aile. Elle est plutôt toujours morose, s’accorde-t-on à constater à travers toute la wilaya de Tizi Ouzou. Il aura fallu près d’une semaine pour voir les premières affiches faire leur apparition sur les murs des villages et même des grands centres urbains à l’image du chef-lieu de wilaya. Même dans les permanences électorales des partis en lice, l’ambiance demeure encore timide. Les partis n’ont pas le vent en poupe. La population à laquelle le dernier mot reviendra le 29 novembre est, elle aussi, silencieuse. Démobilisée. Elle assiste sans broncher. Les candidats l’ont compris. Les responsables des partis aussi. Point de meetings, sinon très peu. À croire que le mot est donné entre les partis en lice : “Notre stratégie est axée sur une campagne de proximité”, répètent-ils sans cesse. Ils demeurent, to^^^^ois, sereins tant, estiment-ils, que : “Ce n’est qu’à partir de la deuxième semaine que la campagne atteint son rythme de croisière et que la population se mettra de la partie.” En attendant, les candidats font presque du porte-à-porte. La population les écoute-t-elle pour autant ? Il est vrai que la loi électorale est conçue de manière à ce qu’au lendemain d’une élection des élus sortent tout de même des urnes, quel que soit le nombre de votants, mais, à travers sa démobilisation, la population, qui garde de mauvais souvenirs de ce qu’a été la gestion passée de sa cité, semble délivrer des messages forts. En général déjà, et c’est une réalité partagée à travers tout le territoire national, les plus optimistes, ceux qui s’opposent à la politique de la chaise vide, n’hésitent pas à reconnaître que les élus locaux, notamment ceux aux APC ne peuvent pas grand-chose pour eux. À Tizi Ouzou, ils ont eu à le vérifier, à leurs dépens, lors des intempéries de février dernier puis, plus récemment, lors des incendies durant l’été passé et puis à chaque fois qu’ils revendiquent leur part de développement et qu’on leur signifie que c’est du ressort de l’administration de wilaya. Les plus désabusés, quant à eux, ne considèrent pas l’acte de vote plus qu’une caution de la course aux lots de terrain, au trucage de marchés publics, aux malversations en tout genre. Pour cette catégorie, l’amélioration du cadre de vie dans la cité n’est qu’une promesse sans lendemain. “L’intérêt de la population est le dernier souci des élus”, entend-on à chaque coin de rue. Il est vrai pourtant qu’à Tizi Ouzou, ils étaient nombreux les élus qui affichaient leurs volonté et disponibilité à accompagner le développement, ce développement que l’administration prodiguait à la région à petites doses, qui se battaient sans cesse pour lever des oppositions entravant le passage du gaz naturel, l’eau potable et l’électricité vers les villages, et aussi à se battre jusqu’à arracher des projets dans plusieurs secteurs, mais la population se souvient, entre autres, amèrement, que le nouveau plan de transport qui a transformé en cauchemar quotidien la vie de plus de trois quarts de la population a été initié, étudié et mis à exécution par l’administration avec la caution de l’APW de Tizi Ouzou. Elle se souvient aussi qu’au sein de cette même assemblée, le FLN, le FFS et le RND se sont opposés à la tenue d’une session spéciale pour revendiquer le statut de wilaya sinistrée afin de permettre l’indemnisation des énormes dégâts des intempéries de l’hiver dernier. C’étaient ces mêmes trois partis qui ont exprimé un niet catégorique à la tenue d’une session sur l’insécurité dans la wilaya alors livrée au terrorisme et au banditisme. C’est aussi, et le problème est d’actualité, sous le règne du FLN à l’APC de Tizi Ouzou que les prénoms berbères sont interdits d’inscription et que la délivrance d’un extrait d’acte de naissance n°12 relève tellement du parcours du combattant qu’il est devenu, une fois obtenu, un événement qui se fête. Les exemples sont aussi nombreux que poignants et les conséquences produites par ces choix souvent plus hasardeux que cornéliens sont toujours perceptibles auprès des citoyens aux yeux desquels les slogans creux sans cesse répétés, les aspirations souvent trompées et les engagements rarement honorés par le passé ne sont pas de nature à encourager à se rendre aux urnes. Ajouté à cela la qualité des candidats choisis. Lorsque sur de nombreuses listes, des affairistes de tout bord, des maçons, cuisiniers et autres petits métiers sont mieux positionnés que des ingénieurs, techniciens et enseignants, et lorsque des partis vont jusqu’à miser sur “des chevaux boiteux”, le citoyen lambda ne peut que comprendre toutes les guéguerres à couteaux tirés, les petits coups, les favoritismes et les ambitions personnelles parfois démesurées devenus monnaie courante au sein des partis. Ce qui n’est, à vrai dire, pas nouveau mais qui a pris de l’ampleur sous le regard de l’électeur potentiel qui en a vu tellement des vertes et des pas mûres qu’il est devenu exigeant et donc réfléchit plus d’une fois avant de se décider à glisser son bulletin dans l’urne. Source : Liberté | Edition du 12/11/2012.
  7. «L’Etat algérien est parmi les plus grands gaspilleurs de la planète» Les dépenses de fonctionnement, dans le projet de loi de finances (LF-2013), sont de l’ordre de 589,5 milliards de dinars. Par ailleurs, la LFC réserve une dotation au titre de «matériel, fonctionnement des services et entretien», sorte de chapitre fourre-tout, un montant de 173,1 milliards de dinars, soit près de 2 milliards de dollars qui sont exclusivement destinés à couvrir les dépenses des services de l’Etat, à maintenir par conséquent un haut niveau de standing (résidences d’Etat, grosses berlines, salaires faramineux, etc) . En tant qu’économiste que vous inspirent de tels niveaux de dépenses ? A moyen et long termes, quelles en seraient les répercussions ? Comparés au PIB et au niveau de vie moyen de l’Algérien, les dépenses dites de «fonctionnement» de l’Etat sont plus qu’excessives. L’Etat algérien est incontestablement parmi les plus grands gaspilleurs de la planète. Ceci révèle la mentalité tiers-mondiste des dirigeants algériens et leur conception archaïque du pouvoir. Ce dernier n’est pas vu comme une simple délégation de la collectivité au service de la nation. Il est assimilé à la domination, à l’enrichissement, sinon carrément à la prédation. Les répercussions à moyen et long termes de toutes ces dépenses faramineuses sur la collectivité sont déjà perceptibles ; le pays s’enfonce chaque jour davantage dans l’abîme pendant que la caste dirigeante s’enrichit. Le retour de M. Bo^^^^^ika au pouvoir, en 1999, a vu la généralisation de l’ouverture et la constitution de comptes et fonds spéciaux. Ces derniers se sont multipliés à grande échelle. Comment selon vous sont gérés ces fonds ? Et quid de la fonction de contrôle ? La question des fonds spéciaux est l’une des plus grandes taches noires du bilan de l’actuel Président. L’existence et la multiplication de ses comptes et fonds spéciaux est un antécédent grave dans le sens où ils consacrent l’opacité totale dans la gestion de l’argent public. Rappelons à ce propos que l’une des premières actions initiées par M. Bo^^^^^ika, une fois au pouvoir, est l’assujettissement du pouvoir monétaire au pouvoir politique à travers les ordonnances de 2001 et 2003 remettant en cause l’indépendance de la Banque centrale consacrée par la loi sur la monnaie et le crédit (LMC) d’avril 1990. Depuis, c’est le retour à l’ère de la gestion présidentielle directe des questions monétaires comme c’était le cas d’avant le gouvernement réformateur de Mouloud Hamrouche. Ainsi, c’est toute la logique des réformes économiques qui est remise en cause. La rente pétrolière aidant, le pouvoir revient à la gestion du développement par les plans de relance à coups de milliards de dollars dont le bilan est largement au-dessous des objectifs proclamés. Aujourd’hui, un demi-siècle après l’indépendance, l’Algérie demeure tragiquement dépendante des hydrocarbures en ce qui concerne ses exportations et du marché international pour ses importations. Si demain, les prix du gaz et du pétrole venaient à chuter durablement, l’Algérie s’enfoncerait dans une crise économique pire que celle qu’on avait connue dans les années 1980/1990. Le plus dangereux est que rien n’indique que les décideurs algériens aient conscience de la gravité de la situation. Ils confondent la richesse monétaire et le développement. Source : El Watan | Edition du 12/11/2012.
  8. «Quand de hauts responsables vont en France, ils ne voyagent pas mais rentrent chez eux» Quel rapport entretient, selon vous, le ministre, en particulier, et le commis de l’Etat, en général, avec l’argent, le confort et les privilèges. Dans votre ouvrage Al Wazir Al Jazaïri, Oussoul Oua Massarat (le ministre algérien, origine et trajectoire)n vous insistiez sur les origines «paysannes» de l’élite ministérielle.Comment interfèrent-elles sur ce rapport ? Dans cet ouvrage, je n’ai pas traité la relation du ministre avec l’argent sachant que la question est sensible au sein de la société algérienne, surtout quand cet argent rime avec politique. La société algérienne n’a pas encore résolu ses conflits historiques avec l’argent, considéré avec beaucoup d’hypocrisie, aimé et adulé, convoité légalement et illégalement mais appelé par ailleurs «wassekh edounia», «souillure de ce bas monde». Le modèle économique (rentier) et politique (Etat centralisateur) explique beaucoup des comportements et relations de l’élite, dans sa configuration large, vis-à-vis de l’argent. Des paramètres liés notamment à la situation familiale entrent en jeu. L’étude a démontré l’absence d’homogénéité et les dissymétries sociales traversant l’élite. Au sein de celle-ci, on y trouve aussi bien les enfants issus des grandes familles de possédants, ceux de la classe moyenne et/ou issus de la petite paysannerie, des familles d’artisans, ouvriers agricoles, etc. Ceux ayant rejoint en tous les cas la ville à une période particulière de leur vie et ont bénéficié notamment de l’enseignement, ce qui leur a ouvert la voie de l’accession à l’élite et à rejoindre le gouvernement. Leur rapport à l’Etat a en quelque sorte «standardisé» leur comportement et relation avec l’argent. Une relation «cachée», empreinte d’hypocrisie au sens social, surtout que l’Algérie traverse une phase de transition économique, avec passage d’une économie publique à une économie basée sur le privé et d’un modèle de propriété publique à privée. Cette transition profite à certains, d’autres en tirent moins profit. Parmi les ministres par exemple, on en trouve ceux ayant acheté au dinar symbolique leur villa cossue, d’autres l’ont obtenue par l’intermédiaire d’une coopérative immobilière ou par le système de l’auto-construction. Disons aussi que parmi les ministres, certains habitent encore leurs appartements situés dans des immeubles et d’autres sont morts SDF. En conclusion, l’élite, qu’elle soit d’origine modeste ou aisée, considère l’Etat comme un générateur de rente dont il faut se rapprocher pour tirer bénéficie. D’après les conclusions d’un rapport «officiel» dont le journal TSA a fait état : sur les 700 anciens ministres qui ont occupé des fonctions importantes au sommet de l’Etat, 500 d’entre eux se sont installés définitivement à l’étranger, alors que 90% de leur progéniture ont fait des études dans les universités étrangères ! Qu’est-ce que ces chiffres disent exactement au sociologue que vous êtes ? J’ignore l’origine exacte de ces informations. To^^^^ois, le rapport qu’entretiennent les élites algériennes avec la France est empreint d’une somme d’étrangéité. Souvent le rêve d’un cadre algérien, qu’il soit ministre, PDG ou haut responsable, est de posséder un pied-à-terre en France. Peut-être même avoir sa résidence principale à Paris plutôt qu’à Alger. Son fantasme, c’est aussi de faire un crochet par la capitale française à chaque fois qu’il fait un long voyage, son tour du monde, rêve d’y posséder plus d’un compte bancaire, de placer ses enfants dans les meilleures écoles et parfois même pense pouvoir y trouver remède à ses ennuis sexuels, etc. Bien sûr qu’il y a plusieurs facteurs historiques pouvant expliquer pareille situation : le facteur explique pourquoi cette élite choisit de vivre en France après y avoir effectué des études universitaires. Il y en a même parmi les responsables algériens, parmi ceux issus des villes de l’intérieur, à avoir connu Paris avant même de connaître Alger. Certains cadres ont dû aussi s’y établir pour des raisons politiques et sécuritaires. La période instable de la décennie 90 a contraint nombre de ces élites politique et scientifique à fuir les assassinats, parmi elles des ministres dont les plus qualifiés ont rejoint les universités et centres de recherche. La langue comme facteur culturel explique aussi la profusion de liens, dont les liens de famille, qu’a cette élite avec la France. Par ailleurs, il suffit d’observer à l’aéroport d’Alger que dans les vols à destination de la France, les cadres et responsables algériens voyagent souvent avec un simple bagage à main : c’est la preuve qu’ils possèdent des maisons là-bas, qu’ils ne voyagent pas en fait. Pour ce qui est de la progéniture, elle renvoie au cœur des procédés de reproduction en cours dans la société algérienne. En dispensant un enseignement de qualité à ses enfants, en France et ailleurs en Occident, en épousant la nationalité française et en occupant des postes importants dans des sociétés internationales, cela signifie clairement qu’on est au centre d’une stratégie de reproduction des élites. Ces enfants gouverneront demain, comme le font déjà leurs pères, aux destinées de l’Algérie. Source : El Watan | Edition du 12/11/2012.
  9. Résidences, indemnités, berlines, lignes de crédit ..., Quand l’Etat s’offre un «train de vie» impérial Train de vie impérial, dépenses somptuaires, faste et bling-bling, l’Etat s’asphyxie dans ses comptes spéciaux, se noie dans ses puits tarissables de pétrole. Des salaires mirobolants, des privilèges innombrables et démesurés, des résidences somptueuses, l’Etat et ses agents baignent dans le luxe indécent, dépensent sans compter, sans rendre véritablement compte de l’utilisation de l’argent public. Un «Etat de la gabegie» dont les dirigeants confondent souvent «bien public» et «bien privé», richesse monétaire et développement. «L’Algérie n’est pas la Suède», dixit Daho Ould Kablia, le ministre de l’Intérieur (entretien au Soir d’Algérie, édition 8 novembre 2012). Hémicycle Zighout Youcef, mardi 25 septembre. Une heure avant le «grand oral» du frais Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Aux abords du siège de l’APN, c’est le défilé incessant de rutilantes berlines, dont les prix de certaines dépassent les 15 millions de dinars (1,5 milliard de centimes). Les nombreux parkings de l’APN affichent le trop-plein. Toutes les grandes marques de l’UE s’y retrouvent dans la promiscuité charnelle du pouvoir et de l’argent. Une préférence particulière pour les Allemandes et les marques françaises, fournisseurs «historiques» du gouvernement et de la haute administration. Des Audi A4, des BMW, des Mercedes, des Peugeot 608, des Mégane, ne manquent à l’écurie officielle que les Lamborghini et autres Porsche. Fébrile, visiblement ému, le Premier ministre, nouvelle égérie de la presse, s’essaie laborieusement au sérieux de la fonction. L’humour populaire reprend vite le dessus, transformant certaines phases de son discours de présentation du «plan d’action» du gouvernement en spectacle one-man-show. «Li yehab yerbah, yerbah (les voies de l’enrichissement sont ouvertes !)», lâche Sellal dans un parler populaire. «Draham kayen, El Hamdou Lilah (l’argent est à profusion, Dieu merci).» Quelques phrases plus loin, le Premier ministre commet un lapsus (révélateur ?) : «Investissement public», en arabe, est prononcé «Istiaâmar el âm» (colonisation publique). Eclats de rires dans les travées de l’Assemblée, des ping-pongs de regards et chuchotements complices parmi l’équipe fournie du gouvernement : 35 ministres et secrétaires d’Etat de la République, parmi les plus «chers» au monde. Payé (en moyenne) 350 000 DA (35 millions de centimes), le ministre est entouré d’une foultitude de privilèges et avantages. C’est d’autant plus «justifié» que le temps des «vaches grasses» s’y prête largement : les réserves de change ne cessent de grimper, dépassant les 193 milliards de dollars à fin septembre 2012, comme le rappelle M. Sellal «himself» aux députés. Une assemblée législative (462 députés, 27 de plus que la Chambre des représentants US) dont le budget est revu aussi à la hausse, passant à 6,5 milliards de dinars, soit 85 millions de dollars. Le budget de fonctionnement de l’APN se situe, certes, en dessous de celui de la présidence de la République (9,3 milliards de dinars,) mais il est trois fois plus important que celui du département ministériel du Tourisme et de l’Artisanat, du ministère de l’Aménagement du territoire/Environnement (2,7 milliards de dinars) ou de la Pêche et des Ressources halieutiques (2,2 milliards). Pour l’ex-député de l’opposition parlementaire Ali Brahimi, le scandale autour des indemnités mensuelles du député (300 000 DA) ne visent rien d’autre qu’à «détourner» l’attention des Algériens des «vrais privilégiés du système». Les privilégiés du système Les hauts cadres et fonctionnaires de l’Etat, les officiers supérieurs des services de sécurité et de l’armée qui baignent dans le luxe et un océan de prébendes et avantages divers, allant des lignes de crédit illimité, concessions foncières, jusqu’aux petites prises en charge médicales à l’étranger et parfois pour des «petits bobos». L’objectif étant, d’après Brahimi, de «dévaloriser complètement la fonction élective». Atteints du «syndrome hollandais» — dépendance totale aux revenus des hydrocarbures —, l’Etat et ses hauts représentants, addicts qu’ils sont aux avantages divers, rattachés (ou non) à la fonction, aux salaires mirobolants, à commencer par celui du chef de l’Etat et des membres du gouvernement (d’après Wakt El Djazaïr, édition du 4 octobre 2011, le Président toucherait un salaire de 930 000 DA, soit 9 300 euros et le Premier ministre 610 000 DA), sombrent dans le luxe que confèrent la «belle» conjoncture, ignorant royalement The day after, l’après-pétrole. Décrets non publiables, société secrète Pour l’heure, seule semble compter la ruée vers l’or, la chasse à l’oseille, au pognon et privilèges. Secrets d’Etat par excellence, les salaires et avantages octroyés aux hauts dirigeants font tous l’objet de décrets «non publiables». Une «bizarrerie» dont l’introduction dans la littérature juridique et dans le jargon officiel, est intervenue, d’après Nasreddine Lezzar, avocat d’affaires et praticien en arbitrage international, au début des années 1990, lorsque le pouvoir a commencé à céder au dinar symbolique des villas à la résidence d’Etat de Club des Pins. L’avocat, au barreau de Annaba, affirme ne pas connaître un seul texte qui définit le décret non publiable (DNP), ni qui prévoit la dispense de publicité ou qui détermine les matières ou le champ d’application des DNP. Pour l’homme de loi, les textes non publiables sont une amorce à la privatisation des affaires de l’Etat, en ce sens qu’ils (DNP) «transforment les finances publiques en une sorte de caisse noire dont le peuple ne connaît ni le contenu ni la façon dont il est géré». La généralisation de cette pratique est le signe, d’après Me Lezzar, que «l’Etat a entamé sa transformation progressive, lente et sûre, en une sorte de caste privée et une société secrète». Ministre suédois vs ministre algérien Des décrets non publiables, des caisses noires (lire encadré en page 5), des fonds spéciaux incontrôlés et incontrôlables, l’Etat s’est donné tous les moyens d’une gestion opaque, mafieuse de l’argent public. Pour Ouchichi Mourad, docteur en sciences politiques, «l’Etat algérien est incontestablement parmi les plus grands gaspilleurs de la planète». Les dépenses dites de «fonctionnement» sont «excessives», comparées au PIB et au niveau de vie moyen de l’Algérien, observe l’enseignant d’économie à l’université de Béjaïa. «On est loin, dit-il, de ces ministres suédois ou norvégiens qui n’ont comme lieu de travail qu’un simple bureau et qui se déplacent en vélo en ville, et leurs enfants fréquentent la même école que le reste des citoyens, et qui utilisent les voitures de service strictement dans les déplacements professionnels. Les dirigeants chez nous se considèrent au-dessus de tout le monde, des êtres supérieurs qui doivent forcément baigner dans le luxe avec l’argent de la collectivité.» Abdelaziz Rahabi, diplomate, ancien ministre (limogé de son poste de ministre de l’Information, porte-parole du gouvernement, puis démissionnaire du gouvernement en 1999) ne fait pas de quartier quand il évoque la facture salée de la gouvernance Bo^^^^^ika. «Un jour on devrait sérieusement se poser la question : combien Bo^^^^^ika a coûté à l’Algérie et aux Algériens ?» Pour l’heure, une telle perspective paraît d’emblée surréaliste, tant les instruments de contrôle des dépenses publiques sont paralysés ou complètement inféodés au pouvoir politique et à ses différents cercles de l’impunité, dont celui érigé par Bo^^^^^ika. «Qui contrôle qui ? La Cour des comptes ?, s’interroge Rahabi. Elle est gelée par Bo^^^^^ika depuis1999 pour «successibilités personnelles»! L’APN ? L’IGF ? L’Office de la lutte contre la corruption ? Qui a contrôlé Tayeb Belaïz (président du Conseil constitutionnel mis en cause dans le scandale Khalifa,ndla) ? Qui a contrôlé Chakib Khelil, quand il faisait construire par Sonatrach des complexes hôteliers à 800 millions de dollars (le Méridien d’Oran), des centrales de dessalement d’eau de mer, ou signer un contrat de 12 ans de fourniture de gaz à la France sans jamais le déposer à la Banque centrale ? Qui a contrôlé le chef de l’Etat lui-même lorsqu’il s’est acheté un quadriréacteur de la dernière génération à 300 millions de dollars. Angela Merkel, «bouche bée» devant l’Airbus 340 présidentiel Quand Angela Merkel a vu l’Airbus A 340 présidentiel (visite d’Etat, 18 juillet 2008), elle est restée bouche bée tant le luxe et le confort sautaient aux yeux (de la chancelière allemande)". Pour cet ancien diplomate, les messages faits d’impunité, de gaspillage grandeur nature, de confusion entre bien public et bien privé, véhiculés par les gros scandales politico-financiers de l’ère Bo^^^^^ika font ravages dans la société, entament lourdement la crédibilité de l’Etat. «C’est que les Algériens ont le sentiment de n’exercer en définitive aucun contrôle sur le gouvernement et les finances publiques. C’est ce sentiment diffus au sein de la société qui fait que l’Etat n’a plus d’autorité, qu’il est constamment défié. L’Etat doit rendre compte en permanence de son action s’il veut rétablir la confiance.» Donner l’exemple de la rigueur et de l’austérité, c’est, selon lui, le meilleur message qu’on puisse envoyer au peuple. Source : El Watan | Edition du 12/11/2012.
  10. oué le matin 2 Mbps , le soir 2 kbps looool , moi ça fait longtemps que j'ai pas surfer le soir , 10 ko/s maximum avec des mini coupures toutes les minutes !
  11. je sens un peu d’ironie dans ta phrase si tu as 8 Go ou 16 Go de Ram t'es obligé de passer au 64 bits mais si tu es sur laptop ou pc à 4 Go pourquoi s'encombrer avec des applications qui consomment plus ??
  12. la version 64 bits consomme beaucoup en ressources surtout en mémoire et pour les jeux souvent ça crain faut des patchs en plus blablabla surtout quand le jeu est piraté olalala bref je dis pas que le 64 bits n'est pas bien mais si on a 4 Go de ram ou moins vaut mieux le 32 bits car le 64 bits tu perds 1 Go dans par rapport à la version 32 bits dans les jeux (drivers , ..... Etc). dans le cas de notre papy , je sais les jeux c'est pas son domaine mais bon à titre informatif.
  13. Mega : et si Kim Dotcom se moquait du monde ? Roi du marketing, Kim Dotcom a-t-il tendu aux pièges aux Etats-Unis en annonçant la création d'un nouveau MegaUpload utilisant le nom de domaine gabonnais Me.Ga, aussitôt saisi par le gouvernement d'Ali Bongo ? N'aurait-il finalement aucune intention de lancer un nouveau service de stockage de fichiers ? Certains éléments le laissent penser. Ca y est, c'est fait. Comme l'a annoncé dans une déclaration solennelle le ministre gabonnais de l'Economie Numérique, le nom de domaine me.ga a été supprimé des serveurs du TLD .ga, sur ordre du gouvernement. Ce n'est désormais qu'une question d'heures avant que les internautes qui tentent d'accéder au site n'aient plus aucune réponse. Ce faisant, le Gabon réalise une première mondiale peu glorieuse : supprimer un site internet avant même qu'il soit créé, pour une simple suspicion d'illégalité future. Et ce alors-même que MegaUpload, auquel Mega est censé succéder, n'a encore jamais été déclaré illégal par la justice américaine (la procédure est encore en phase d'instruction, et donc la présomption d'innocence est censée s'appliquer). Mais déjà, à l'instar de quelques uns de nos lecteurs, certains se demandent si Kim Dotcom n'avait pas prédit qu'un tel évènement pourrait se produire. C'est aussi une hypothèse émise par un expert des noms de domaine, Stephane Bortzmeyer, que nous avons contacté et qui s'étonne du choix qu'avait opéré le fondateur de MegaUpload. "Dotcom avait bien insisté sur le fait que le nouveau service, Mega, serait indestructible, contrairement à Megaupload, qui était bien trop vulnérable", se rappelle Bortzmeyer, qui avait publié à l'époque des explications techniques sur la façon dont les USA avaient pu saisir le .com de MegaUpload. "Avoir un nom en .COM vous soumet à la loi états-unienne, très favorable à Hollywood. Or, s'il est compréhensible d'utiliser un TLD non états-unien, .GA n'est pas forcément le meilleur choix. Le Gabon n'est pas un état de droit (un coup de fil du ministre et le domaine est fermé), et la compétence technique du .GA n'est pas assurée. Une attaque par déni de service ou un piratage étaient prévisibles." Kim Dotcom, avec ses millions de dollars, sa batterie d'avocats et de techniciens spécialistes du web et des réseaux, pouvait-il ignorer l'extrême fragilité d'un nom de domaine en .GA, ou le sous-estimer pour bénéficier d'un nom de domaine idéal sur le plan marketing ? Stephane Bortzmeyer soumet trois hypothèses, dont seule la dernière semble réaliste : "1) Dotcom n'est pas malin et n'a pas fait attention ; 2) Dotcom sait des choses que je ne sais pas (par exemple, il a un accord avec Ali Bongo, le dictateur) ; 3) Dotcom sait bien que cette configuration n'est pas solide mais il n'a pas réellement l'intention de lancer un tel service, il veut juste agiter le marécage et entretenir sa réputation de trublion". Une simple opération de communication ? "J'ai de plus en plus l'impression que Dotcom a un nouveau business model : embêter le plus possible le plus de monde, pour permettre une sortie négociée, avec indemnités et droits d'adaptation de sa vie au cinéma (ça a l'air bien parti)", nous indique Bortzmeyer. "Je ne suis pas du tout sûr qu'il avait réellement prévu de lancer un nouveau service". Au delà de la supposition, des éléments concrets permettent d'appuyer l'hypothèse. La première d'entre-elles est que pour obtenir sa remise en liberté sous caution, Kim Dotcom s'était engagé auprès des autorités de Nouvelle-Zélande à ne pas relancer MegaUpload ou "une entreprise similaire" jusqu'à ce que la procédure d'extradition soit terminée, ce qui ne sera pas le cas avant le mois de mars 2013. S'il viole cet engagement, Kim Dotcom peut être remis en prison à tout instant, et ses biens pourront être de nouveau saisis, y compris Mega. Pourquoi prendre un tel risque ? Or Dotcom semble complètement ignorer cette menace de retour à la case prison, et a annoncé l'ouverture de Mega pour le 19 janvier 2013, c'est-à-dire avant l'éventuelle levée des conditions de sa remise en liberté. Du point de vue communication, la date annoncée ne doit rien au hasard puisqu'il s'agit de l'anniversaire de l'opération du FBI contre MegaUpload. Il faut par ailleurs se souvenir que Mega n'est pas le principal service sur lequel travaille Kim Dotcom. Le projet MegaBox est beaucoup plus avancé, et présente des risques judiciaires beaucoup moins élevés, y compris du point de vue des conditions de sa remise en liberté. Ses avocats pourront facilement expliquer au juge qu'un service de musique en ligne réalisé avec l'autorisation des artistes (c'est ce qu'il prétend) n'a rien de "similaire" à l'ancien MegaUpload. En attendant, faire de la publicité pour Mega lui permet de tenir le public en éveil, ce qu'il fait régulièrement depuis plusieurs mois, et de récupérer un fichier d'adresses e-mails à utiliser pour avertir du lancement. Le site Mega proposait en effet de s'inscrire à une newsletter. De plus, Dotcom avait demandé il y a deux mois aux développeurs tiers de s'inscrire pour tester l'API de Mega. Or depuis, à notre connaissance, aucun développeur n'a eu accès à cette prétendue API. Le site internet, lui, continuait à proposer aux développeurs de s'inscrire, tout en demandant aux hébergeurs et financiers de se faire connaître. Enfin, des doutes subsistent sur la réalité du piratage du site Me.ga, opéré par un mystérieux groupe Omega. Contrairement aux apparences, ce n'est pas le domaine me.ga qui a été piraté ; mais le site vers lequel il pointait. Or il paraît peu crédible que Kim Dotcom se soit fait pirater un site internet sous son contrôle, avec toute son expertise acquise en sécurisation. Et quand bien même fut-ce le cas, Dotcom et ses équipes avaient jusqu'à ce midi toute liberté de faire pointer le domaine vers une page non hackée ; or l'adresse IP affiche toujours une page de redirection vers le compte Twitter du prétendu groupe de hackers. Source
  14. Steam propose 25 jeux sous Linux Le bêta-test de Steam sous Linux a commencé, avec un rayon de 25 jeux vidéo, essentiellement proposés par des studios indépendants. Il y a quelques jours, Valve annonçait le lancement du bêta-test de Steam pour Linux, qui constitue pour lui un lancement beaucoup plus stratégique qu'il n'y paraît. L'éditeur redoute en effet l'impact que pourrait avoir l'intégration du Windows Store dans Windows 8, et espère convaincre les joueurs de migrer vers Linux pour les tenir à l'écart. Sans tarder, Steam a contacté les premiers bêta-testeurs, qui ont pu installer Steam sous Ubuntu et découvrir la bibliothèque de jeux déjà disponibles. Pour le moment, le service compte 25 titres, dont 6 sortis en 2012, quasi exclusivement de studios indépendants : Unity of Command : Stalingrad Campaign (stratégie) The Book of Unwritten Tales (aventure) Dynamite Jack (action) Superbrothers : Sword & Sworcery EP (aventure) Waveform Cubemen Toutes dates de sortie confondues, les jeux disponibles sous Linux les mieux notés sont : Team Fortress 2 World of Goo Amnesia : The Dark Descent Frozen Synapse Unity of Command : Stalingrad Campaign Le jeu le plus cher est Serious Sam 3 : BFE, proposé à 39,99 euros. Le moins cher est Team Fortress 2, offert gratuitement par Valve. Pour les curieux, le fichier .deb peut être téléchargé à cette adresse. Cependant, les inscriptions sont fermées et le client se ferme si le joueur n'est pas autorisé à utiliser la version bêta de Steam pour Linux (mise à jour : comme nous le signale Skydevil, il existe une astuce pour contourner la limitation). L'installation permet donc simplement de constater que l'interface de Steam et le comportement du logiciel sont très proches sous Ubuntu de l'expérience bien connue sous Windows. Y compris les pop-up promotionnels et autres alertes, qui s'affichent en bas à droite de l'écran comme sous le système de Microsoft. Source
  15. en france ils sont déjà passés à autre chose , en algérie comme il se passe rien , on parle tout le temps de politique , biensur on s'attarde sur ça , d'ailleurs ce mois-ci la presse ne parlera que de politique jusqu'à la fin des éléctions comme si on avait quelque chose à carrer !
  16. elle ressemble fortement à une Logan , ils se sont pas cassés la tête chez Renault
  17. ça vous arrive jamais de dire quelque chose en pensant sur le coup que c'était une bonne idée ?! .... et bien moi ça m'arrive souvent , d'ailleurs y a des chances que demain j'aurais oublié cette phrase
  18. Hicham

    Maison suzuki

    faudrait peut être commencé par nous dire où t'habite !
  19. surement ouii , je me rappelle quand le Ministre avait testé la 4G à Alger , ils avaient conclus que Skype marchait très bien donc la 4G c'est une Réussite
  20. oui GoLLuM13 je confirme je connais aussi de vrais combattants de la guerre d'algérie et ils ne touchent rien , parce que bien entendu au moment du Recensement des moujahid c'était avec de la ma3rifa (oui la Ma3rifa a toujours existé), mais bon on combat pour dieu et pour le pays pas pour 9 millions ou pour Mr Abdelaziz ..... etc sinon comment une personne né en 1950 pourrait faire la révolution algérienne , dans son Berceau peut être ?
  21. L’Algérie veut relier 25 000 établissements scolaires en vidéo conférence Dans quelques mois, l’ensemble du système éducatif algérien sera numérisé. Les élèves pourront faire cours en vidéoconférence. Abdelatif Baba Ahmed, le ministre de l’Education nationale a, à cet effet, lancé deux marchés avec Algérie Télécom pour la mise en service du réseau Internet/Intranet du ministère de l'Education ainsi que la fourniture d'un système de vidéoconférence et de la téléphonie IP et autres applications. Le 5 novembre 2012, la première étape du projet, qui consiste en l’installation de ce système qui relie les 14 directions du Ministère de l'éducation, a été inaugurée. Les prochaines étapes prévoient le raccordement de 2000 lycées, puis 5000 collèges et ensuite 18 000 écoles primaires. L’objectif recherché par cette mutation du système éducatif est d’optimiser le niveau des élèves pour rivaliser avec la concurrence internationale. Le ministère de l’Education nationale ajoute que 150 manuels scolaires qui existent déjà sur CD seront mis dans la base de données, ainsi les enfants pourront réviser même loin de chez-eux sans avoir besoin de leurs manuels scolaires. Le projet de numérisation doit être achevé avant la fin de l’année 2012. Source
  22. Algérie Télécom Azouaou Mehmel appelle ses employés à relever le défi de la modernisation À l'occasion de la célébration du 58ème anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954, M. Azouaou Mehmel, PDG du Groupe Algérie Télécom a adressé un message aux employés de l’entreprise. Un message dans lequel, il les appelle à s’unir pour développer davantage l’opérateur public de téléphonie fixe et Internet. « Algérie Télécom se trouve investie d'une lourde mission et d'une grande responsabilité en tant qu'entreprise économique dont la mission première est la création de richesse pour ses actionnaires et ses employés. Mais vu le poids et l'importance des TIC dans les sociétés d'aujourd'hui, notre entreprise se doit de relever le défi de la mise à disposition de ces technologies au profit de tous les utilisateurs », lit-on dans ce message. Selon lui, le défi n’est pas difficile à relever. « Le défi nous incombe, donc à tous sans exception aucune, chacun selon ses compétences et ses responsabilités. Ce sera là notre défi, notre combat au quotidien pour apporter le développement et la prospérité à notre société et honorer ainsi l'engagement de nos aînés et leur montrer que leur sacrifice n'est pas vain », a-t-il souligné. Source
  23. dans la vrai vie je suis quelqu'un de très très poli , je ne dis même pas Merde devant des gens et ça va peut être te paraître bizarre mais j'ai jamais insulté quelqu'un de ma vie , et si sur forumdz j'ai l'air un peu vulgaire parfois et bien ça confirme que la vie réelle et virtuelle ça n'a rien avoir faut savoir que dans la vraie vie je suis quelqu'un de très pudique en plus mon instrument ne quitte jamais son étui sauf en cas d'alerte générale
  24. Hicham

    1 mega jusqua la mort ?

    le jour où on aura 1 Mbps on va espérer sortir du 1 Mbps , si Algérie télécom n'a pas pensé a augmenté le plafond des débits proposés c'est parce qu'elle est déjà dans l'incapacité d'atteindre le plafond actuel. ne l'oubliez pas , chaque abonné de plus tue notre bande passante jusqu'à en arriver à Rien du tout, le débit c'est pas la seule raison pour que notre connexion soit aussi merdik . imaginez que vous avez un point d'accès wifi qui délivre 1 Mbps , et que vous connectiez 1000 personnes , même si ces 1000 personnes ne font rien ils ne touchent pas à leur PC , le débit totale sera bridé par les multiples connexions , c'est comme si vous lancez un Torrent à 5000 clients , vous perdrez 10 ko/s et plus sur la vitesse de téléchargement car quand on se connecte à un Peer on utilise la bande passante (bien que sa ce chiffre en quelques bits/s) mais quand y a des milliers de peers là le chiffre s'agrandit. donc l'architecture du réseau aussi compte , algérie télécom connecte tout le monde sur le même endroit et en même temps pas bon ça. il y a une expression très connue qui dit "il ne faut jamais mettre tous ses œufs dans le même panier"
×
×
  • Créer...