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sparrow210

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Tout ce qui a été posté par sparrow210

  1. sparrow210

    Smartphone Wiko Cink Peax

    Ils sont en vente seulement en France, j'ai acheté un à Marseille chez The Phone House pour 170€. Ils m'ont dit qu'il vont avoir un représentant en Algérie.
  2. Le meilleur et unique moyen est de l'envoyer avec une personne que tu connais, sinon il ou elle ne recevra jamais cet argent...
  3. C'est Benhamadi le vrai algérien lui et sa famille et les autres ministres, mais nous, on est quoi ?! Je ne sais pas!
  4. C'est une insulte envers le peuple, pendant ce temps-là, le peuple qui a un salaire de merde avec le quel il ne sait quoi faire, manger, s'habiller, payer le gaz et l'électricité, se soigner si il y a d'abord un bon endroit où se soigner bien sûr. Lebhar ou izidoulou coca... Cha3b rkhis aussi...
  5. C'est de la merde, je ne l'ai pas vu et je ne vais pas la regarder. Ils savent très bien où ils peuvent se la mettre.
  6. Le président Abdelaziz Bo^^^^^ika, hospitalisé depuis samedi au Val-de-Grâce à Paris, après un mini-AVC, a rassuré, ce mardi 30 avril, les Algériens sur sa santé, les remerciant pour leurs prières et la sympathie qu'ils lui ont manifestée en cette circonstance, rapporte l’agence officielle APS. « Il m’est très difficile, alors que je me trouve dans un hôpital à l’étranger, de ne pas être, pour la première fois, aux côtés du peuple algérien pour célébrer la Fête des travailleurs et assister aux finales de la Coupe d’Algérie de football et de la Coupe d’Algérie militaire de football. Quelles que soient les circonstances, je partagerai avec les filles et les fils de ma patrie leur joie en cette journée », a déclaré le chef de l'Etat.Le président Bo^^^^^ika a rassuré les Algériens sur son état de santé. « Alors que je continue à recevoir des soins médicaux, je tiens à remercier Dieu Tout Puissant de m’avoir permis de me rétablir et d’être à présent sur la voie de la guérison. Je tiens également à rassurer mes chers compatriotes et à les remercier pour leurs prières et leurs messages de sympathie ».Le chef de l’État a également présenté ses vœux aux Algériens à l’occasion de la Fête du travail. « Je saisis cette occasion pour exprimer à toutes les travailleuses algériennes et à tous les travailleurs algériens mes vœux sincères et fraternels à l’occasion de la Fête des travailleurs, leur souhaitant de réaliser leurs aspirations au développement, à la prospérité et au bien-être ».M. Bo^^^^^ika a félicité d’avance le vainqueur de la coupe d’Algérie de football. « Je m’adresse à la famille sportive et en particulier aux amateurs de football en souhaitant que les finales de la Coupe d’Algérie de football et de la Coupe d’Algérie militaire de football soient des évènements qui fassent honneur au sport algérien et une fête empreinte de concorde et de fraternité. Je salue les équipes en lice et félicite d’avance les deux futurs vainqueurs ». Source
  7. Encore un Article visant à ternir l'image du pays
  8. D'après une source sûre, c'est Benhamadi en personne qui est entrain de retarder la 3G pour un intérêt personnel, non pas Djezzy comme il est entrain de dire...
  9. (Actualisé à 21h25 avec les déclarations de Sellal sur la santé du Président). Le président de République, Abdelaziz Bo^^^^^ika, a fait samedi à 12h30 un accident ischémique transitoire sans séquelles , a annoncé le directeur du Centre national de la médecine sportive, le professeur Rachid Bougherbal, cité par l’agence APS. "Les premières investigations ont été déjà entamées et son excellence le président de la République doit observer un repos pour poursuivre ses examens", a-t-il ajouté, tout en rassurant que son état de santé "n’occasionne aucune inquiétude", selon la même source.Les explications d’un neuropsychiatre :Interrogé par TSA, le docteur Larbi Tefahi, neuropsychiatre, explique : « Un AIP est un accident souvent sans conséquences. C’est un vaisseau qui s’est serré puis s’est relâché. Les organes en amont souffrent mais généralement c’est sans conséquences pour le sujet. Ce type d’accidents est fréquent chez les personnes hypertendues et les personnes âgées avec un facteur anxieux ».Sellal rassure sur l'état de santé du PrésidentLe Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a rassuré samedi depuis Bejaia sur l’état de santé du président de la République, Abdelaziz Bo^^^^^ika, affirmant que son état de santé "n’est pas du tout grave". "Il y a quelques heures, le Président a eu un petit malaise et a été hospitalisé mais sa situation n’est pas du tout grave", a déclaré M. Sellal lors de sa rencontre avec les représentants de la société civile, dernière étape de sa visite de travail dans la wilaya de Bejaia. Source : TSA
  10. sparrow210

    3 G confirme

    Non, ils sont entrain de fabriquer leur propre connexion qui est mieux que la 3G, 4G et 5G réunis, c'est pour cela que ça prend du temps... sinon, ils sont forts en préliminaires avec le point G
  11. Les commerçants ambulants ne peuvent plus déambuler dans les rues des villes algériennes et exercer leurs activités s’ils ne possèdent pas un registre du commerce, stipule un décret exécutif publié dans le journal officiel N°21. En effet, ce nouveau décret imposent aux commerçants exerçant des activités commerciales non sédentaires (ou commerce ambulant) de s’inscrire au registre du commerce. Il leur est également exigé une autorisation du président de l’assemblée populaire communale (APC) pour pouvoir exercer leur activité légalement. »Les activités commerciales non sédentaires sont soumises à l’immatriculation au registre du commerce et à l’autorisation du président de l’APC pour l’attribution d’un emplacement au niveau des champs de foires et des espaces aménagés », explique clairement ce décret fixant les conditions d’exercice de ce type d’activités.D’après les précisions fournies par les autorités publiques, ces nouvelles mesures « s’inscrivent dans le cadre des efforts de l’Etat pour organiser les activités commerciales et absorber le commerce informel », relate à ce sujet l’APS. A cet égard, le nouveau décret relève que le commerçant ambulant est tenu de respecter la réglementation applicable à son domaine d’activité et aux produits et services qu’il commercialise. Ainsi, il doit répondre convenablement aux exigences de sécurité, de salubrité, de tranquillité et de santé publique et ne doit pas porter préjudice à l’environnement urbain immédiat ou constituer une entrave pour les activités commerciales sédentaires mitoyennes. Source : Algérie Focus.
  12. [h=2]Durant des années, Alstom et General Electric, entre autres groupes étrangers, ont été favorisés par les plus hautes autorités du pays. Si Chakib Khelil n’a pas été inquiété jusqu’ici, c’est parce qu’il risquerait de révéler l’implication du frère et conseiller du Président dans ces affaires, estiment nos sources. [/h]Jamais l’Algérie n’a été aussi menacée dans son existence que ces dernières années, en raison de sa rente pétrolière. La mauvaise gouvernance, la corruption et les intérêts politico-politiciens ont fini par la livrer à l’ancienne puissance coloniale et aux Etats-Unis qui, aujourd’hui, ont pratiquement le monopole sur deux secteurs stratégiques et les plus sensibles : le transport et l’énergie. En effet, le groupe français Alstom s’est vu attribuer le plus gros des infrastructures de transport public, comme le métro d’Alger qu’il a équipé et qu’il dirige pour une durée de dix ans, et dont la gestion a été confiée à la société française RATP, celle-là même qui assure la gestion de l’aéroport d’Alger. Alstom a bénéficié également des marchés de tramways, téléphériques et trains rapides, mettant ainsi tout le secteur des transports publics entre les mains d’un seul groupe, à savoir Alstom, qui, faut-il le rappeler, se débattait au milieu des années 2000 dans une crise financière assez grave qui a suscité des mesures de mise en chômage de centaines de ses employés en Europe. Selon des spécialistes, les marchés qu’il a obtenus en Algérie constituaient une «véritable bouffée d’oxygène» pour sa trésorerie. Comment a-t-il pu avoir la mainmise sur autant de projets dans le secteur des transports, alors que sa santé financière était au plus bas ? Très simple. Son représentant à Alger n’était autre qu’un cadre (algérien) du service commercial de l’ambassade de France, qui avait un excellent carnet d’adresses, vu qu’il intervenait souvent pour faciliter l’octroi des visas à de nombreux responsables et personnalités influentes. Un réseau sur lequel a beaucoup compté Alstom, en lui offrant le poste de directeur général de son bureau d’Alger. Quelques années plus tard, ce responsable est rappelé en France, où il a bénéficié d’une promotion qu’il ne tardera pas à laisser tomber pour revenir à Alger, après avoir accepté l’offre de General Electric (GE), pour diriger son bureau en Algérie. C’est surtout son carnet d’adresses et son réseau de connaissances qui intéressaient le groupe américain pour réaliser des affaires. Celles-ci vont s’avérer très rentables, puisque il va rafler 90% des marchés de turbines en Algérie. Pourtant, les experts sont formels. Les prix qu’il pratique sont excessivement élevés. Ils affirment qu’une centrale de 1000 MW ne dépasse pas un milliard de dollars. Ce qui a été confirmé récemment par le ministre de l’Energie, Youcef Yousfi. Or, le groupe a obtenu la centrale électrique de Koudiet Draouech (El Tarf), d’une capacité de 1200 MW, pour un montant de 2,3 milliards de dollars. Curieusement, son offre n’était pas loin de celle d’Alstom, 2,2 milliards de dollars, qui a d’ailleurs obtenu la réalisation de la centrale de Terga (Aïn Témouchent). Y a-t-il eu entente tacite entre les deux groupes, sachant qu’ils ne voulaient pas faire baisser leurs offres, comme l’a souhaité Sonelgaz ? On n’en sait rien. Ce qui est certain, c’est que les deux centrales d’une capacité de 1000 MW chacune ont coûté à l’Etat 5,5 milliards de dollars. Durant la même période, faut-il le préciser, le canadien SNC-Lavalin réalise la même centrale à Tipasa pour 826 millions de dollars et au mois d’octobre 2012, le sud-coréen Daewoo s’est vu attribuer la réalisation d’une centrale similaire, à Cap-Djinet, pour un montant de 910 millions de dollars. Mieux. En mars dernier, General Electric (GE) a obtenu le marché de fourniture de six nouvelles centrales électriques de 8400 MW entrant dans le cadre du plan d’urgence de renforcement des capacités énergétiques durant la période 2015-2017, pour un montant de 2,5 milliards de dollars. Le groupe assure uniquement la fourniture des centrales tout en s’engageant à réaliser une usine de turbines, «dont la réalisation ne dépasse pas le montant de 80 millions de dollars», expliquent nos interlocuteurs. Pour ces derniers, GE «a décroché le gros lot et devient de fait le principal fournisseur de centrales électriques en Algérie». Etant donné qu’il n’est qu’un équipementier, le projet ne peut être lancé. Il faudra attendre que Sonelgaz sélectionne les entreprises chargées d’intégrer les équipements et de construire les centrales. «Or, les constructeurs connus qui ont pour habitude de soumissionner pour de tels travaux n’ont pas été intéressés. Il ne reste sur le marché que les Turques, les Chinois et les Sud-Coréens pour être l’interface d’un mégaprojet assez complexe. La crainte de tout le monde, c’est que ce marché soit donné à des sociétés incompétentes en la matière. Pourquoi avoir octroyé un aussi important marché à un groupe qui ne peut ni construire les infrastructures ni en assurer l’étude, sachant que cette partie du marché est très importante pour le projet ? A-t-on bien réfléchi à l’intérêt de l’Algérie en mettant toutes les centrales électriques entre les mains d’un seul fournisseur ?», s’interrogent des spécialistes avec lesquels nous nous sommes entretenus. Ils se demandent si «le fait d’avoir partagé le marché en deux étapes ne répond-il pas à la nécessité de masquer un énième éventuel surcoût». Pour nos sources, il ne faut plus s’interroger sur les raisons qui ont fait que l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, n’a pas été inquiété par la justice, en dépit des graves révélations qui le compromettent. A-t-on peur d’arriver au frère du Président, Saïd Bo^^^^^ika ? «Ces affaires sont trop importantes pour ne concerner que la personne du ministre. Lorsque Alstom et General Electric ont soumissionné pour obtenir les marchés des centrales électriques de Terga et de Koudiet Draouech, ils ont fait des offres trop importantes. Mais il y avait une volonté avérée de les retenir. On leur a demandé de revoir à la baisse leurs offres, mais ils ont refusé. Malgré cela, ils ont obtenu chacune une centrale. Alstom a obtenu la construction de la centrale de Terga, pour un montant de 2,2 milliards de dollars, dans un délai de réalisation de 45 mois, et General Electric, la réalisation de la centrale de Koudiet Draouech, pour une enveloppe de 2,3 milliards de dollars, dans un délai de 48,5 mois. Mieux, comme ces deux groupes ne sont pas des constructeurs, ils ont fait appel à des sous-traitants. Si General Electric a sous-traité avec l’espagnol Iberdrola, Alstom s’est tourné vers Orascom Construction. Le choix de cette entreprise égyptienne n’est pas fortuit. A l’époque, elle a été bien appuyée par les plus hauts dirigeants du pays, notamment par le président de la République et son frère conseiller», révèlent nos sources. Pour celles-ci, si Chakib Khelil n’a pas été inquiété en dépit des graves accusations portées contre lui, c’est tout simplement parce qu’il n’est pas l’unique ordonnateur de ces marchés. «Les autres sont tapis à plus haut niveau de l’Etat. Ils ont mis le pays entre les mains des Américains et des Français, uniquement pour acheter leur bénédiction. Ramener l’ex-ministre à s’expliquer, c’est prendre le risque de le voir tout déballer sur le cercle présidentiel, d’autant que certains n’hésitent pas à faire la campagne pour le quatrième mandat, alors que des informations faisaient état de la création, par le frère du Président, d’un parti politique en prévision de la prochaine échéance présidentielle. En réalité, Chakib Khelil n’est que l’arbre qu’il faudra protéger pour qu’il puisse continuer à cacher la forêt, ou plutôt le clan présidentiel», concluent nos interlocuteurs. [h=5]Salima Tlemçani[/h]El Watan.
  13. Leur restriction pour une usine de symbol de merde, mais ^^^^^^, il n'y a plus constructeurs de voitures ou quoi ?! Pourquoi ils nous mettent cette usine de merde ?
  14. Réduction pour ces profs de merde qui ont foutu la merde dans notre pays, tous les jeunes ne veulent plus étudier à cause d'eux. Un âne ou une ânesse qui forme les enfants, qui t'oblige à faire les cours chez eux pour qu'ils gagnent plus et ils n'ont rien à foutre des enfants, ils ne cherchent que l'argent.
  15. Ce n'est pas une solution, je peux emmener avec moi 20 personnes de ma famille et des amis et chaque véhicule sera sur le nom de quelqu'un d'eux, puis je les remets en mon nom et je les vends.
  16. [h=2]Le neveu de l’ex-ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, est devenu durant le règne de Chakib Khelil sur le secteur pétrolier un intermédiaire–clé permettant aux firmes internationales de décrocher des marchés en Algérie. La justice algérienne aura-t-elle les mains libres afin de mener son enquête en toute indépendance pour faire déférer devant les tribunaux les vrais «caïds» de la corruption ? [/h]Au cœur des scandales de malversation qui éclaboussent les compagnies nationales et étrangères, Farid Bedjaoui, neveu de l’ex-ministre des Affaires étrangères, serait une des pièces maîtresses dans le système de corruption dans lequel s’enferre le pays. A seulement 43 ans, il est devenu un milliardaire grâce aux commissions occultes qu’il touchait dans l’octroi des marchés de l’énergie, des travaux publics et de l’hydraulique. Durant le règne de Chakib Khelil sur le secteur pétrolier national, il était le bras «financier», un «facilitateur» permettant à des compagnies étrangères (italiennes, canadiennes et chinoises) d’obtenir de gros marchés en Algérie dans des conditions opaques. Selon le magazine Jeune Afrique, il aurait empoché entre «800 millions à 1 milliard de dollars de commission Selon le magazine Jeune Afrique, il aurait empoché entre «800 millions à 1 milliard de dollars de commissions de 2003 à 2011». Depuis que la justice italienne enquête sur les conditions dans lesquelles la compagnie Saipem a obtenu des marchés en Algérie, le nom de Farid Bedjaoui est apparu comme un élément central dans les négociations. A la tête d’un cabinet-conseil, Rayan Asset Management, basé à Dubai, il serait le «récipiendaire» des commissions versées à des dirigeants algériens. Il est, aujourd’hui, soupçonné par les justices italienne et canadienne. Qu’en est-il de la justice algérienne  ? S’intéresse-t-elle à ce sulfureux intermédiaire des transactions douteuses dont le pilote serait l’ex-ministre de l’Energie, Chakib Khelil, un ami de Bo^^^^^ika ? Difficile de le savoir. Car les enquêteurs algériens ne fournissent aucun élément d’information. Farid Bedjaoui est, aujourd’hui, un des éléments-clés dans l’éclatement de la vérité sur la corruption qui émaille l’octroi des marchés aux compagnies étrangères. Installé à Dubai, où il a une résidence bancaire, il aurait «menacé» d’impliquer de hauts responsables algériens s’il est visé par la justice, selon le site électronique TSA. Fait-il du chantage aux dirigeants algériens qui seraient complices dans les affaires de corruption pour amener la justice à ne pas «aller» trop loin ? Vraisemblablement. Il ne veut pas tomber tout seul, tout comme Chakib Khelil qui avait déclaré au lendemain de l’éclatement du scandale de Sonatrach que si on touchait à lui, «on toucherait au clan présidentiel». Avec l’ouverture de «l’affaire Sonatrach 2», la justice devrait naturellement passer à la vitesse supérieure. Des perquisitions auraient été effectuées aux domiciles d’anciens dirigeants de la compagnie pétrolière nationale. La justice aura-t-elle les mains libres pour aller au bout de son enquête ou bien reculera-t-elle devant les pressions qu’exerceraient des cercles puissants directement liés aux affaires de corruption et qui tenteraient de «limiter» son champ d’action ? Les exemples en la matière sont légion. Dans les scandales des affaires BRC et Khalifa, les «caïds» ont magistralement échappé à la justice. L’affaire Sonatrach connaîtra-t-elle le même épilogue ? En tout cas, pour le moment, ni Chakib Khelil ni son conseiller «occulte», Farid Bedjaoui, n’ont pas subi de perquisition ni ont été auditionnés par le juge instructeur, alors qu’ils étaient au cœur du dispositif dans l’octroi des marchés aux firmes internationales, monnayant des pots-de-vin s’élevant à des centaines de millions d’euros. La compagnie canadienne SNC-Lavalin a reconnu officiellement avoir recouru aux services de Farid Bedjaoui pour décrocher plusieurs marchés en Algérie. Pas seulement. Bénéficiant de l’influence de son oncle, Mohamed Bedjaoui, ancien ministre des Affaires étrangères, «le goldenboy» a servi également d’intermédiaire en faveur des Chinois dans l’obtention des marchés de la réalisation du mégaprojet de l’autoroute Est-Ouest. Il aurait empoché, selon Jeune Afrique, la somme de 230 millions de dollars. Le chef de l’Etat, qui s’est exprimé récemment sur les affaires de malversation qui ont émaillé la réalisation de certains projets d’envergure, s’est engagé : «L’Etat n’hésitera pas à demander des comptes à toute personne coupable aux yeux de la loi de tentative d’enrichissement illicite et au préjudice des deniers publics, tout en veillant à recouvrer les droits spoliés et à demander des comptes à ceux qui ont failli à leur mission, quels que soient leurs postes.» Cet engagement permettra-t-il à la justice, dont l’indépendance est sujette à caution, de frapper la tête du système de la corruption ? Ou va-t-elle organiser une parodie de procès mettant en cause des «lampistes» et laissant libres les organisateurs de l’escroquerie. L’opinion publique nationale, qui suit avec beaucoup d’intérêt et d’inquiétude ces scabreuses affaires, est dans l’attente de voir de hauts responsables venir rendre compte de leurs actes. L’affaire Sonatrach constitue un sérieux test pour la justice. Source : El Watan.
  17. Tout le pays est surveillé, c'est pour cela qu'ils ne veulent pas améliorer le service et mettre la 3G car après ils seront dépassés et ils ne pourront plus suivre... pareil pour l'internet...
  18. Aujourd’hui, le mercredi 20 mars, c’est la journée mondiale du bonheur. Qui le sait en Algérie ? Presque personne ! Et pourtant, cette journée a été adoptée et décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Et l’Algérie, en sa qualité de pays membre, a certainement participé à cette résolution. En plus, la résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation. Mais sur le terrain, rien n’est fait pour célébrer cette journée, un évènement, apparemment, trop extravagant pour être vulgarisé en Algérie, un pays où la notion de bonheur reste tout de même mystérieuse. En effet, force est de constater que le bonheur est devenu un sentiment étrange dans notre pays. La sinistrose, le pessimisme, l’aigreur et la mauvaise humeur règnent en maître incontesté sur cette terre irradiée de soleil, mais boudée par la joie de vivre. Dans leur quotidien, les Algériens, ce peuple méditerranéen naguère connu pour son amour incommensurable pour la vie et ses saveurs, adoptent le négativisme comme une ligne de conduite. Ils critiquent absolument tout. Rien ne leur plaît. Ils consacrent la majorité de leur temps à dresser les tableaux les plus obscurs de leur vie. Râleur, l’Algérien est réputé aussi pour sa légendaire nervosité. Pour un rien, il s’énerve. La violence, son langage préféré. Les bagarres, peu importe leurs mobiles futiles, font rage et tournent souvent au drame. En Algérie, on peut tuer pour le sourire d’une fille, une poignée de dinars ou une place de parking. La mort s’est même banalisée. A tel point qu’au cours des funérailles et des enterrements, les Algériens s’amusent à raconter des blagues. Oui, les blagues, en Algérie il y en a toujours à profusion. Mais le sens de l’humour n’est pas forcément au service du bonheur. Même de nos blagues, un sentiment général d’amertume se dégage. Soyons honnêtes et sincères, dans un pays aussi jeune, aussi vaste, aussi riche et aussi diversifié, est-il normal que la population soit accablée par tant de malaises sociaux ? Les Harragas, le chômage, la promiscuité dans les maisons, les banlieues inhumaines et désolantes, l’exclusion sociale, la pauvreté, le partage inéquitable des richesses, l’illégitimité des autorités, la liste des maux qui martyrisent les Algériens est longue à dresser. Mais leur réaction, leur attitude face à cette adversité se résume, quant à elle, en un seul mot : la résignation ! Le fatalisme, « Allah Ghaleb », la devise nationale en Algérie, étouffe les volontés et obscurcit la lucidité. L’auto-flagellation remplace l’esprit critique. La haine de soi annihile l’ambition et la passion. Le complexe de l’infériorité longtemps cultivé par des générations d’Algériens finit par enfoncer notre société dans les abysses de la tristesse. Certes, une certaine jeunesse tente de résister, d’innover et et fait de son mieux pour s’accrocher au train de l’espérance. Mais cela suffit-il pour réconcilier un peuple avec son pays, son histoire et ses institutions ? Malheureusement, non. Plus de libertés publiques et davantage de tolérances et d’ouverture d’esprit favoriseront un éveil national. Mais pour cela il faudra que l’Etat comprenne cette ultime vérité : avec ses milliards de pétrodollars, on peut tout acheter et importer pour son peuple… Sauf le bonheur ! Source : Algérie-Focus.
  19. Non, je ne pense pas qu'il y a des humains, je sais qu'il y a un programme qui gère et surveille tout le territoire national
  20. Si il y aura la 3g, ils ne pourront plus surveiller ni gérer, car même cette ligne que je suis entrain d'écrire va leur apparaitre avant que vous ne la lisiez. Avec cette connexion de merde ils peuvent tout contrôler, mais avec le vrai haut débit, ils ne pourront plus suivre...
  21. sparrow210

    decouverte macabre constantine

    Pays de merde, nos enfants ne sont plus en sécurité, personne n'est en sécurité dans ce pays. Ce pays est gouverné par de la merde, ils ne savent que voler notre argent, ils s'en foutent que des enfants meurent...
  22. [h=1]APPEL A SIGNATURE POUR LA CONSTITUTION DES CITOYENS EN TANT QUE PARTIE CIVILE CONTRE LES AUTEURS INCRIMINES DANS LES AFFAIRES DE CORRUPTION[/h] Nous les syndicalistes et militants des droits de l’homme qui sont trainés régulièrement en justice pour grève illégale, rassemblement illégal, atteinte à corps constitué, outrage à policier en exercice de ses fonctions, dégradation de biens publics, troubles à l’ordre public et qui attendent depuis des années que les différentes instances judiciaires tranchent et libèrent nos dossiers et notre avenir. Nous qui attendons en vain que la loi soit appliquée (enregistrement des organisations syndicales ou des associations, protection des délégués syndicaux et militants des droits de l’homme, respect de la règlementation dans les contrats de travail). Nous les militants associatifs et activistes sur le terrain et sur la toile que l’on traine rapidement en justice pour atteinte au Président de la république, atteinte à corps constitué, diffamation, atteinte à la sureté de l’état et qui subissons des procès répétés ainsi que les mandats de dépôt et les décisions d’emprisonnement, avec sursis ou ferme, comme actes de représailles. Nous les dénonciateurs d’actes de corruption qui subissent la répression des responsables des institutions dans lesquelles nous travaillons et qui subissons procès sur procès pour diffamation. Nous qui sommes pour la plupart licenciés et qui attendons en vain notre réintégration. Nous les Avocats qui vivons des tentatives de musellement pour réduire le droit à la défense des justiciables. Nous les citoyens que la justice expulse des demeures qui abritaient tant bien que mal nos familles et ce même en hiver avec l’intervention des forces de police. Nous les chômeurs qui subissons les affres de la marginalisation et que l’on traduit en justice quand nous revendiquons notre part de dignité. Nous les journalistes qui travaillons sous la menace de procès en diffamation à chaque fois que nous tentons de mener notre travail dans les règles de l’art. Nous citoyens et citoyennes de ce pays, à qui est refusé ce statut de citoyen et que l’on traduit en justice pour la moindre critique émise et qui avons peur de la justice même si l’on est victime. Nous tous qui regardons le silence complice de toutes les instances dans ce pays et particulièrement des instances judiciaires quand il s’agit d’affaires de corruption et de dilapidation des biens publics soulevées par la presse et concernant des personnalités et ministres tels que : Affaire RAHMANI « EL WATAN» du 26/02/06, du 09/05/07 ». Affaire GHOUL : « Maghreb émergent du 07 Novembre 2012 ». AffaireSaidBARKAT http://www.lesoirdalgerie.com/pdf/2009/09/02092009.pdf. Affaire CHAKIB Khellil : « Liberté du 02-03-2013 ». Affaire Amar SAIDANI « le courrier d’algerie 07-07-2008 ». Affaire KHALIFA dans laquelle sont cites Djamel OULD ABBES, MEDELCI et SIDI SAID. Affaire BCIA BANK. Affaire BRC.Affaire Khalida TOUMI http://www.okbob.net/article-6937684.html, Nous qui attendons vainement que les instances vouées théoriquement à la lutte contre la corruption à l’instar de l’office central de lutte contre la corruption ne soient pas que de simples soporifiques destinés à la consommation externe. Nous qui nous appuyons sur l’article 8 de la Constitution qui stipule entre autres que « Le peuple se donne des institutions ayant pour finalité la protection de l'économie nationale contre toute forme de malversation ou de détournement, d'accaparement ou de confiscation illégitime », sur l’article 21 qui stipule que « Les fonctions au service des institutions de l'Etat ne peuvent constituer une source d'enrichissement, ni un moyen de servir des intérêts privés », sur l’article 66 qui stipule que « Tout citoyen a le devoir de protéger la propriété publique et les intérêts de la collectivité nationale, et de respecter la propriété d'autrui » et sur l’article 141 qui stipule que « La justice est rendue au nom du peuple ». Décidons que c’est à nous citoyens de réagir et obliger les pouvoir publics à incriminer les véritables auteurs de la corruption conformément à la loi du 20-02-2006 pour la prévention et la lutte contre la corruption issue de la CNUCC (convention des Nations-Unies contre la corruption). Pour lever toute équivoque nous sommes conscients qu’une grande partie des révélations relève beaucoup plus de coups portés entre clans que d’une volonté politique assumée de combattre la corruption. Il est clair pour nous que c’est parce que les choix faits depuis longtemps par le pouvoir Algérien en matière de politique économique ont mis au centre la question du profit que la prédation s’est organisée et répandue, quelquefois sous l’habit de la réglementation et de plus souvent, impunité oblige, dans l’illégalité totale. Il est de notre devoir de citoyens de réagir pour un sursaut national afin de sauver la nation même si la règlementation Algérienne, pour défendre les prédateurs, ne permet pas au simple citoyen de se porter civile. Nous devons par l’intermédiaire de cette pétition exiger que justice soit rendue et qu’elle punisse les responsables, commanditaires et profiteurs quel que soit leur statut ou rang. Tout signataire de la présente pétition doit indiquer Nom et prénom, qualité, n° carte d’identité nationale, date et lieu de délivrance et le lieu de résidence afin de montrer que la peur doit habiter les délinquants et corrompus et non plus les citoyens. Cette pétition, pour peu qu’elle atteigne un chiffre significatif, sera déposée auprès des instances civiles concernées, elle ne restera pas un acte isolé et sans suite car nous savons par expérience que nous aurons droit aux promesses et déclarations solennelles qui resteront sans lendemain. Lien vers la Pétition : http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N37256 Premiers signataires :Kaddour CHOUICHA; Oran; Enseignant, militant SESS/LADDH. Ghozlane Nassira; Oum El Bouaghi; Fonctionnaire; Secrétaire générale SNAPAP. Ouafi Saha; Oran; Enseignant, Militant SESS. Baali Cherif Djamel; Barika; Enseignant universitaire; Militant SESS. Djamila LOUKIL; Oran; Journaliste. Malaoui Rachid; Oran; President du syndicat SNAPAP. Farid BENTOUATI; Oran; Citoyen. Halim Derbal; Paris; Educateur spécialisé. Yacine Zaid; Laghouat; Membre de la LADDH. Dalila TOUAT; Mostaganem; Enseignante suppléante. Feddal Halim; Chlef; Ingénieur d'Etat en génie civil et secrétaire général Adjoint de l’Association Nationale contre la Corruption . Lola loh; Paris; Citoyen. Redouane M'HAMED; Chéraga; Ingénieur Mécanique. NEDJADI Chafika; Béjaïa; Informaticienne. MECHERI LARBI SELIM; Oran; Laborantin de sante publique ; Syndicaliste SNAPAP-Militant LADDH. Blida mohammed; Lyon; EX PES. Mohammed CHOUAKI; Lille; Directeur de Publication. ZEGGARI Abdallah; Ouargla; Ex Cadre Dirigeant Principal. Benmssaoud; Oran; fonctionaire militant SNAPAP et LADDH. Ramzi Zaza; Alger; VRP. bouha; Oran; Consultant. Babadji Mesaoud; Oran; Enseignant- Militant droits de l’homme. Messaoudi Zoubir; Bouira; PEST/syndicalistes. KADI; Rennes; Citoyen. Boussakhane Fatima Zohra; ORAN; ENSEIGNANTE. Djamel Guerid; Oran; Professeur d'université. Sofiane Chouiter; Longueuil,; Avocat. Chakib Maouche; Annaba; Commercial. Riad Hamoudi; Montreal; Technicien. Guerroudj Mouloud; Kolea; Architecte. Noureddine Chadli; Lyon; Citoyen. Sami klsha ; Setif; Citoyen. HOCINE DJIDEL; PARIS; ANTHROPOLOGUE. Mohand Raschid SEKARNA; BEJAIA; Auteur écrivain. Samir Mekkakia; Alger; Architecte. Thassada Mlarkoum ; USA; Citoyen du monde. Mohamed benbouziane; Tlemcen; Enseignant. Djamal Benmerad; Bruxelles; Journaliste, Ecrivain. ATTROUS MOHAMED; Es senia Oran; Comptable. Ahmed Badaoui; Alger; Cadre des Douanes. Ibrahim BOUDRICHE; ALGER; Retraité. Nadjat AROUA; ALGER; Enseignant chercheur. Kahina Amrouche; Oran; Enseignante. Lounis Djelloul; El-Kseur; Retraité. Lounis CHEKOUR; Constantine; Enseignant. Leila Noui; Alger; Medecin de Santé Publique. Mohamed El Hadi Benelhadj; Constantine; Maitre de Conférence Université Constantine 2. Abdellaziz DJEFFAL; BOUIRA; Syndicaliste et Militant Démocrate. Hadda Cherroun; Laghouat; Enseignante. Zekiri abdelmoumene; Alger; Enseignant. Smain Megateli; Médéa; fonctionnaire. Boukhemis Bouguerne; Alger; Retraite cadre superieur sonatrach. Ali Bouha; Oran; Canastel. HARZALLAH Mohamed Abdelbasset; ALGER; Administratif. HADDAD ALDJA; Béjaia; Enseignante. Errouane Bachir; Oran; diplômé universitaire depuis 1998 et victime de la corruption. Boualem BEN MOUSSA; ALGER; Gérant. Samir Benhadid; Constantine; Enseignant universitaire. Karim Abdelli ; Cheraga Alger; Retraité. Ali djama; Sidi Bel Abbes; Syndicaliste. Tahar Touahri; BBA; Retraité. Faycal Krid; Constantine. Hocine BOUDA ; BOUZEREAH ; AVOCAT. Benhadouga; Alger; ENSEIGNANTE. Abdellah Boulkroune; Constantine; Pharmacien. Naim Morceli; Ténès; Citoyen. Sihem Chouicha; Oran; Architecte/Aide-restauratrice. Abdellatif TADJEDDINE; Oran; Enseignant; Militant SESS. Ahmed Inal Boukhalfa; Mostaganem; Ingénieur d'état. Benaziza Mohamed; Batna; Retraité musique. Tamime CHERGOU; El Harrach; Enseignant - Ecole Supérieure d'informatique. Fatiha Bekri; ORAN; Infirmière Sante Publique ; Syndicaliste SNAPAP. Bouzekri Hacene ; Collo ; Enseignant Universitaire. MERZOUGUI; Tlemcen; Etudiant. Safia TALEB; Sidi Bel Abbès ; Professeur d'université. Benabdeslam Mahmoud; Elkseur; Commerçant. Djebbar Abdenasser; Constantine; Enseignant Universitaire.
  23. Moi, je dirai que c'est pour la prochaine fois, quand Dieu nous ferra renaitre une deuxième fois dans un autre pays...
  24. Vous pensez qu’assis devant votre ordinateur toute la journée, vous ne faites pas de sport ? Ce n’est pas faux, ceci dit, le fait de cliquer activement (ou pas) sur votre souris vous fait bel et bien brûler des calories ! En effet, selon une étude nommée « Convert Anything to Calories » (PHP Science World), un clic de souris vous fait brûler 1,42 calories ! En effet, en moyenne 16,7 micromoles d’ATP (Adénosine triphosphate) sont consommées dans le déplacement d’un gramme de muscle pendant une seconde. Le volume total des muscles servant à plier l’index est de 11,7g (10,8 centimètres cubes), on consommera donc 195 micromoles d’ATP (11,7 g × 16.7μ mol / g). Et comme il y a 7,3 calories dans une mole d’ATP, cela nous donne environ 1,42 calories brûlées par clic de souris (7.3/1000) X 195). Bon, inutile tout de même de cliquer frénétiquement sur votre souris en espérant rapidement éliminer le burger de midi NB : ce qu’on appelle communément 1 calorie est en réalité 1kcal soit 1000 calories. Donc il faut multiplier par 1000. Source
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