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Djoss

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  1. I have a position that might interest you, below are details. Please contact me at lc@xtima.com if you are interested in this position ZTE BSC installation, commissioning and integration specialist Location: Libya-Benghazi and surrounding areas Rate: $1500/day Must be able to get visa for Malta and/or Egypt Start – 1 to 2 weeks All travel, accommodation, security, transportation paid Skills required - must be able to install a ZTE latest generation BSC- platform to be integrated with 3rd party switching platform,solid knowledge of ZTE BSC build out and commissioning to connect up to 200 existing 2G/3G sites
  2. tu l'a testé ou ça ? il y a un endroit ou on peut aller voir ? merci
  3. vous n'avez pas honte ? testhel ? et ça se dit, homme, et musulman ?
  4. comme si une histoire pouvait juger ce style de comportement. seules les LACHES tapent sur les femmes. les HOMMESn eux, ils se battent entreux, et laissent les femmes, meme si elle le giffle. si c'était votre femme, votre fille, votre soeur ou votre mère, vous changeriez d'avis...
  5. merci salim ! mais ma préférée reste celle la :
  6. une cité financière dans un pays avec un système bancaire obsolète, une bourse qui n'a que le NOM de bourse et un marché informel ! bravo encore une machine a tchippa, ce projet
  7. quelcun peut faire des tests de vitesse et de ping et comparer les trois offres Djezzy Nedjma et Mobilis, plutot que juste insulter et critiquer dans le vide ? Mercih
  8. Algérie: le général Nezzar rattrapé en Suisse par une plainte pour «crimes de guerre» 25 Octobre 2011 Par François Gèze Ce jeudi 21 octobre, le général Khaled Nezzar, 73 ans, ancien homme fort du pouvoir militaire algérien dans les années 1990, était à Genève pour affaires. Mais il n’y a pas dormi tranquillement, comme à son habitude, à l’hôtel cinq étoiles « Beau Rivage » : ce soir-là, il y a été « assigné à résidence, sous surveillance » par la justice suisse, après avoir passé la journée au poste de police du boulevard Carl-Vogt. Arrêté le matin même par la police, il y a été entendu par la procureur de la Confédération suisse sur son implication dans les « crimes de guerre » commis durant les années 1990, suite à la plainte de deux Algériens victimes de tortures à l’époque, plainte déposée par l’ONG TRIAL (Track Impunity Always), une association suisse qui lutte contre l’impunité des responsables de violations des droits humains. Nezzar a été remis en liberté vendredi soir, après avoir été « prévenu » (l’équivalent d’une mise en examen). Khaled Nezzar, l’un des principaux organisateurs du terrorisme d’État en Algérie Dans son communiqué du 21 octobre, TRIAL rappelle les faits : « Khaled Nezzar […] a occupé divers postes à responsabilités dans l’armée. Chef des armées terrestres en 1986, il a été promu chef d’état-major puis ministre de la Défense en 1990 [jusqu’en juillet 1993]. À ce poste, il est devenu l’homme de toutes les décisions au sein du pouvoir. De [janvier] 1992 à [janvier] 1994, il a été l’un des cinq membres du Haut Comité d’État (HCE), junte militaire de cinq membres remplaçant le président élu. M. Nezzar a été considéré comme l’un des hommes les plus puissants du régime au début des années 1990, alors que la “sale guerre” faisait rage. De nombreuses organisations de défense des droits humains lui reprochent d’avoir ordonné, autorisé et incité des militaires et des agents de la fonction publique à exercer des actes de torture, à commettre des meurtres, des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées et autres actes constitutifs de graves violations du droit international humanitaire. » Un constat froid et factuel, qui a le mérite de battre en brèche, une nouvelle fois, le discours de désinformation propagé depuis le coup d’État de janvier 1992 par le pouvoir algérien, jusqu’à ce jour : derrière la démocratie de façade instaurée par des « militaires républicains » qui prétendaient lutter contre l’« hydre is^^^^^^^ », c’est en réalité un véritable terrorisme d’État, méticuleusement planifié, qui a frappé la société algérienne dans les années 1990, au prix de quelque 200 000 morts, dont au moins 20 000 victimes de « disparations forcées » du fait des « forces de sécurité ». Plus de dix ans après la fin de la « sale guerre », tous les organisateurs de cette effroyable « machine de mort » – pour reprendre les termes d’un rapport accablant et trop méconnu publié en 2003 par l’ONG Algeria-Watch – bénéficient toujours d’une totale impunité. Certains d’entre eux sont depuis morts de leur belle mort, sans avoir jamais été inquiétés. C’est le cas du général Smaïl Lamari (dit « Smaïn »), décédé en août 2007, qui fut à partir de 1990 le numéro deux de la police politique, le DRS (Département de renseignement et de sécurité). Et, à ce titre, l’un des pires criminels responsables de la machine de mort : ce digne héritier des pires pratiques de l’armée française contre le peuple algérien durant la guerre d’indépendance les a répétées à une échelle inédite, notamment avec l’ordonnancement des grands massacres de 1997 perpétrés par les « groupes islamiques de l’armée » (GIA) qu’il contrôlait. C’est le cas également du général Larbi Belkheir, le faiseur de rois dans l’Algérie des années 1980 et 1990 et l’un des principaux concepteurs du coup d’État de 1992 et de la guerre déclenchée ensuite contre la population : cet affairiste hors pair, homme clé des circuits de corruption de la Françalgérie, est mort dans son lit en janvier 2010. Ou encore du général Brahim Fodhil Chérif, ex-chef du Département des opérations au ministère de la Défense nationale et acteur de premier plan de la « sale guerre » antiterroriste des années 1990, décédé en juin 2008. Des centaines d’officiers auteurs ou complices de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité Mais les autres officiers algériens responsables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans les années 1990 sont toujours bien vivants. Certains d’entre eux ont été discrètement écartés par leurs pairs des sphères officielles de décision, souvent au prix de juteux fromages, même s’ils conservent dans l’ombre un pouvoir certain. Tel est le cas du général Khaled Nezzar, l’homme qui fait aujourd’hui l’actualité en Suisse et qui n’a plus de fonctions officielles depuis 1994. Ou des généraux Mohamed Lamari (ancien commandant des forces terrestres de 1989 à 1992, nommé en octobre 1992 à la tête des nouvelles unités antiterroristes, puis chef d’état-major de l’ANP – Armée nationale populaire – de juillet 1993 à juillet 2004) et Kamel Abderrahmane (chef de la Direction centrale de la sécurité de l’armée, l’une des branches du DRS, de 1990 à 1996, puis commandant de la 2e région militaire de 1996 à 2003) : tous deux ont été mis sur la touche en 2004, après avoir joué un rôle majeur dans le déploiement du terrorisme d’État depuis 1992. Nombre de leurs pairs ou subordonnés de l’époque sont en revanche toujours en poste aujourd’hui et sont les véritables « décideurs » dans l’Algérie de 2011. À commencer par le général Mohammed Médiène (dit « Toufik »), 72 ans, l’inamovible numéro un de la police politique, le DRS, depuis plus de vingt ans : il est toujours à ce jour le véritable « patron » du pays, en connivence plus ou moins conflictuelle avec le civil que lui et ses collègues des « services » et de l’armée ont chargé depuis 1999 d’incarner la façade pseudo-démocratique du régime, le président Abdelaziz Bo^^^^^ika, 74 ans. L’un et l’autre sont en cette fin 2011 bien malades, et les luttes de clan pour leur succession ont pris récemment un tour plus aigu que d’habitude. Derrière les bagarres publiques qui mobilisent depuis plusieurs années, sans conséquence, les vieilles marionnettes de la classe politique sur la scène médiatique algérienne, se déroule en effet dans l’ombre une autre bagarre, autrement décisive, au sein de la coupole dirigeante du DRS et de l’armée. Les enjeux : savoir qui mettra demain la main sur les tuyaux de la corruption liés au commerce extérieur (exportations des hydrocarbures, importations de biens de consommation) ; et qui sera capable de mater encore une société en pleine ébullition, où les émeutes violentes et les grèves dures des syndicats autonomes sont devenues quotidiennes. Les principaux acteurs de cette lutte féroce pour le pouvoir, attisée par la crainte de la contagion des « printemps arabes », sont les officiers (devenus colonels ou généraux) aujourd’hui quinquagénaires aux mains tâchées du sang qu’ils ont fait verser dans les années 1990, quand ils conduisaient méthodiquement contre la population leur guerre d’« éradication » de l’islamisme, y compris par la manipulation des groupes armés se réclamant de l’islam. Parmi les centaines d’officiers auteurs ou complices des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis durant cette période, on peut citer par exemple (liste en vérité interminable, toujours à compléter et préciser) : – le général Abdelmalek Guenaïzia, actuel « ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale », depuis 2005 ; – le général Ahmed Gaïd Salah, actuel chef d’état-major de l’ANP depuis 2004 ; – le général Saïd Bey, patron du Centre de commandement de la lutte antisubversive de 1993 à mai 1994, qui a dirigé ensuite la 1re région militaire (Blida) jusqu’en septembre 1997 (dans la période où eurent lieu les pires crimes contre l’humanité dans l’Algérois, dont les grands massacres de 1996-1997), puis la 5e région militaire (Constantine) de 2000 à juillet 2004, avant de diriger la 2e région militaire (Oran) ; – le général Kamel Abderrahmane, chef de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA, l’une des branches du DRS) de septembre 1990 à juin 1996 puis patron de la 2e région militaire (Oran) de 1996 à 2004 et, ensuite, de la 5e région militaire ; – le général Othmane Tartag, dit « Bachir », qui dirigea de 1990 à 2001 l’un des principaux centres de torture et d’exécutions extrajudiciaires du DRS, le Centre principal militaire d’investigation (CPMI) de Ben-Aknoun, dans la banlieue d’Alger (Tartag est aujourd’hui donné comme l’un des possibles successeurs du général Médiène à la tête du DRS) ; – le général M’henna Djebbar, ancien patron du CTRI de Blida de 1991 à 2003, un autre centre majeur de torture et de tuerie du DRS, où au moins 5 000 « disparus » ont été victimes d’exécutions extrajudiciaires ; il est depuis 2003 le chef de la DCSA (DRS) (merci au lecteur qui a permis ici, mercredi 26, la correction d'une erreur) ; – le général Rachid Laalali, dit « Attafi », ancien commandant de la 4e région militaire (Ouargla) de 1994 à 2005 ; – le colonel Hamou, dit « Abdelwahab », ancien commandant du CTRI d’Oran (Centre Magenta) de 1988 à 1999 ; – ou encore les anciens commandants des régiments des forces spéciales dans les années 1990 qui furent alors le fer de lance du terrorisme d’État (et dont plusieurs occupent aujourd’hui des fonctions éminentes au sein de l’armée) : les (aujourd’hui) généraux Amar Tlemçani (ex-chef du 4e RPC), Amar Athamnia (12e RPC), Daoud (25e régiment de reconnaissance), Hassan Alayma (18e RPC) et Bendjenna (90e BPM). Le long combat des victimes et des ONG pour la vérité et la justice En octobre 2007, à Genève (déjà !), lors d’une session du Comité des droits de l’homme de l’ONU consacrée à l’examen du cas de l’Algérie, certains des crimes commis par ces hommes et ceux qui étaient sous leurs ordres ont été évoqués avec précision par plusieurs ONG de défense des droits humains, comme Algeria-Watch et Al Karama for Human Rights, ainsi que le Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie. À cette occasion, l’un des experts de ce comité, l’éminent juriste britannique Sir Nigel Rodley, a qualifié ces violations de « crimes contre l’humanité », affirmant que ces milliers d’enlèvements, ces décès et ces massacres « ne se font pas par hasard ou par accident ». La plainte déposée à Genève contre Khaled Nezzar par TRIAL marque donc une étape importante dans le long combat engagé dès les années 1990 par des victimes et des militants des droits humains, membres d’ONG algériennes et internationales. En octobre 1988, Nezzar avait déjà été l’ordonnateur de la terrible répression déclenchée par l’armée, à la mitrailleuse lourde, contre les émeutes populaires qui avaient alors secoué le pays, au prix de centaines de morts – une répression dont les responsables sont depuis restés impunis. En 2001 et 2002, deux plaintes de victimes de torture avaient été déposées devant les tribunaux français – rapidement classées sans suite, raison d’État oblige – contre le général. En juillet 2002, il avait perdu à Paris son procès en diffamation contre l’ancien officier des forces spéciales Habib Souaïdia, lequel avait dénoncé dans un livre retentissant la « sale guerre » perpétrée par le régime. Depuis lors, dans l’indifférence assez générale des médias occidentaux, plusieurs ONG – comme SOS Disparus, le Collectif des familles de disparus en Algérie, Algeria-Watch, Al Karama ou TRIAL – ont poursuivi ce combat pour la vérité et la justice, marquant des points importants contre le régime algérien devant les instances onusiennes en charge du respect des droits humains. Une étape vers la saisine de la Cour pénale internationale ? En 2011, le général Nezzar est donc à nouveau rattrapé à Genève par la plainte, soutenue par TRIAL, de deux anciens membres du Front islamique du salut (FIS) aujourd’hui résidents en Suisse, Ahcène Kerkadi et Seddik Daadi : victimes de tortures en 1993 et au cours des années suivantes, leurs témoignages avaient déjà été rendus publics par Algeria-Watch, en 2003 pour le premier, en 2008 pour le second. Une lecture particulièrement éprouvante par ce qu’elle révèle (comme des milliers d’autres témoignages de ce genre) des atroces souffrances infligées aux Algériens depuis vingt ans par les généraux « janviéristes ». Tel est en effet le qualificatif accolé par la rue algéroise aux instigateurs du coup d’État de janvier 1992, dont Nezzar était l’une des principales figures. Lors de son interrogatoire par la justice suisse – dont le procès-verbal a été intégralement publié par le quotidien algérien El Watan et sur une page de Facebook –, les protestations de ce dernier, comme dix ans plus tôt lors des procès de Paris, relèvent du pur et simple négationnisme : « Je ne suis pas concerné par ce conflit [qui a touché l’Algérie durant les années 1992 à 1999]. Pourquoi me posez-vous cette question ? Je ne suis pas celui qui a déclenché ce conflit. J’étais ministre de la Défense. […] Je n’ai pas connaissance de cas de torture durant cette période. C’était d’ailleurs l’affaire des services de savoir comment ils obtenaient les informations. » Des déclarations proprement hallucinantes, au regard des preuves accablantes aujourd’hui disponibles quant au rôle de Nezzar et de ses pairs dans la terreur d’État à laquelle ils ont soumis la population algérienne depuis bientôt vingt ans. Grâce au courage des deux plaignants algériens de Genève et à la rigueur de TRIAL, le ministère public de la Confédération helvétique a maintenant la responsabilité de poursuivre l’instruction pour « crimes de guerre » qu’il a ouverte contre le général Khaled Nezzar. Alors que la perspective d’une action judiciaire devant la Cour pénale internationale de La Haye – régulièrement invoquée par les opposants algériens sur des milliers de blogs et de sites Web – semble encore éloignée (même si elle n’a rien d’irréaliste), la procédure engagée par TRIAL représente une brèche décisive en ce sens, pour tenter d’en finir avec l’insupportable impunité des criminels toujours au pouvoir à Alger. Le général Nezzar n’a en effet été remis en liberté, comme l’a souligné TRIAL, que « sur la base de promesses [de sa part] de se présenter durant la suite de la procédure ». L’avenir dira si le « prévenu » aura le courage d’honorer sa promesse ou s’il préfèrera courir le risque, fort possible, d’un procès par contumace en Suisse. Avec toutes ses conséquences... François Gèze, 25 octobre 2011 http://blogs.mediapart.fr/blog/francois-geze/251011/algerie-le-general-nezzar-rattrape-en-suisse-par-une-plainte-pour-cri
  9. Les millions d’utilisateurs du BlackBerry en Europe, en Afrique et en Asie ont eu la désagréable surprise de voir leur smartphone préféré en grande partie inopérant lundi depuis la mi-journée. Les services en ligne, jusqu’au basique accès à Internet, étaient tous hors-service. "Les utilisateurs rencontrent des lenteurs dans l'envoi/réception de messages, l'accès DATA, l'accès en roaming et dans la gestion de leurs comptes", écrit le service assistance d'Orange dans un communiqué. "Une intervention est en cours afin de rétablir le service au plus tôt mais nous n'avons donc pour le moment pas de date prévisionnelle de résolution." Selon la société de téléphonie, "le défaut, situé chez le fournisseur RIM, est en cours de détermination mais un problème de routeur semble être à l'origine du problème". Le quotidien anglais The Telegraph affirme de son côté que les appareils touchés par la panne sont reliés au datacenter de RIM, la marque canadienne qui fabrique le BlackBerry, situé à Slough, à l’ouest de Londres. la suite : src : http://bit.ly/qb7HZO
  10. ça c'est fait pour les civilisés, pas pour les intégristes !
  11. non, le vrai fléau dans notre pays c'est pas les drogues : c'est l'intolérence ! c'est s'occuper de la vie des autres au lieu de faire le ménage dans la sienne ! c'est de croire que la faute vient toutjours de l'Autre . c'est enfin c'est vouloir imposer une mode de vie et de conduites aux autres... c'est ça le vrai fléau. je ne bois pas et ne fume, je ne me drogue pas, mais j'ai plein d'autres vices ! et c'est ce qui fait de moi un simple humain mortel et non un prophète. per contre, mon voisin, mon ami, mon frère et ma soeur, ils faont absolument ce qu'ils veulent ! j'ai le droit voire le devoir de les conseiller ( da manière fine et intelligente : ça s'appelle la pédagogie, une science qu'on a pas vue en Algérie depis les années ! ) mais je nai pas le droit de leur interdire ! si non, a quoi bon Allah aurait donné une conscience a chacun ? un libre arbitre ? il aurait pu "hasber" un seul homme, en faire un dictateur, et tous les autres des esclaves, qui ne font pas ce qu'on leur interdit !
  12. Comme si ces deux la touchent a leur salaire !!
  13. lire : http://bit.ly/qGZbiI
  14. tu te trompe, on s'est déja lancé la dedans et on est meme champion : quand un étranger vien en Algérie il fait un voyage dans le temps : les années 70 ! des salaires s'il y a 40 ans ! des hopitaux et cliniques en catastrophe, des cafés et réstaurants avec des meubles qui datent encore des colons ! pas de réseau bancaire, de distributeurs, pas de chèques accéptés nulle part, tout ce paye en cash y acompris les maisons ! pas de métro, un tram expérimental, une seule autoroute mais sans relais routiers ou stations digne de ce nom, une université dans la boue et des étudians qui travaillent sur du materiel d'il ya 40 ans, une seul aéroport qui tiens la route ( tout petit ! ) , pas assez d'avions, de bus, de trains, de service public. les salariés qui vont retirer leur argent en cash, TOUS LES MOIS ! on paye l'electricité, l'eau, le gaz, le téléphone et l'adsl EN SE DEPLACANT ! ( faut pas travailler etc..;etc...etc... mais un pays riche ! 200 MILLIARDS DE DOLLARS EN CAISSE ! et un peuple fier !
  15. Djoss

    Steve Jobs est mort a 56 ans

    le créateur de la pomme a rejoint LE Createur de la pomme !
  16. Google recherche une personne bilingue ou courant anglais-français, passionnée par l'actu IT pour éplucher le matin tôt (à partir de 7h) et le soir la presse et résumer les articles clés. - il s'agit environ de 3H de travail par jour (1h le soir environ & 2h le matin) - des outils à disposition : Presse index ( outil de veille medias) et Google News - un format de revue de presse existant - une rémunération interessante - un job ideal pour un etudiant ou une personne qui souhaiterait travailler de la maison djamil.bouabbane@gmail.com
  17. les laïcs du CNT ??? ce journaleux d'ennahar ecrit vraiment nimporte quoi !! qui est le CHEF d'etat major de l'armée du CNT ? Chef historique d’Al-^^^^^ en Libye, Abdelhakim Belhadj, est devenu gouverneur militaire de Tripoli « libérée » et a été chargé d’organiser l’armée de la « nouvelle Libye ». http://www.alterinfo.net/Comment-les-hommes-d-Al-^^^^^-sont-arrives-au-pouvoir-en-Libye_a63364.html http://allainjules.com/2011/07/31/libye-al-^^^^^-prend-le-controle-du-cnt/ http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1811 .
  18. tant que les algériens continueront a juger les autres au lieu de s'occuper de balayer devant leur porte ( et meme au sens propre !) voire meme de s'occuper de leur propre foyer ( souvent en totale déliquécense : femmes seules pendant des journées et des soirées entières , enfants livrés a eux memes...)....on en sera toujours au meme point... QUI ES TU ? pour juger l'autre ? comme par hasard, "le problème...c'est l'autre..."
  19. Par un Tweet de son équipe de développement du 1 septembre, Blackberry annonce l’ouverture de l’Appworld à 14 nouveau Pays dont l'Algérie Ce qu’il faut retenir dans cette liste c’est que nos amis du Maghreb (Algérie, Maroc et Tunisie) vont pouvoir se connecter au centre d’applications et profiter pleinement de leurs Blackberry… src :http://www.blackberry-fr.com/9019/lappworld-souvre-a-14-nouveaux-pays-dont-lalgerie-le-maroc-et-la-tunisie/ j'ai demandé a un ami de tester pour vous et ça marche très bien ! BON TELECHARGEMENT !
  20. OUI, j'avais compris d'ou la ghemza mais en algérie, c'est pareil ! quelqu'un qui s'est emparer du pouvoir avec un coup d'Etat son régime restera toujours illigitime et finira comme il a prit le pouvoir (par un autre coup d'Etat)
  21. Aaaaammmmmmiiiiiiiiinnnnneeee
  22. tu parles de l'Algérie la ?
  23. il faut envoyer plusieurs mails officiels au support de nedjma, c'est peut etre fait exprès ou peut etre un erreur de leur part de conf. sa arrive.
  24. Djoss

    avis sur forumdz

    tiens, cette année les TROLLS sont sortis avant l'heure ?? et en pleine chaleur ?? Qu’est-ce qu’un troll ? Please do not feed the troll !!!!! http://www.uzine.net/article1032.html
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