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Aux élections législatives du 10 mai 2012, 64,76% de la population, soit environ les deux tiers- abstention et bulletins nuls, n’ont fait aucun choix. Un taux qui reflète une démobilisation importante de la population, plus accentuée pour la jeunesse. Les résultats de la législative. Les résultats ne reflètent aucun changement ; ils donnent la même composante politique que les élections passées. Sans verser dans la sinistrose ni dans l’autosatisfaction, il faut analyser avec lucidité et objectivité les résultats du scrutin. 1. Les résultats des élections législatives et des questionnements 44 partis politiques ont participé à ces élections, dont 21 nouvellement agréés depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi organique relative aux partis politiques en février dernier dans la course à la députation des 462 sièges que compte le Parlement. Comment ne pas rappeler que le porte parole semi-officiel, le directeur du Centre de recherche sécuritaire et stratégique (CRSS) dans un entretien au quotidien El Moudjahid en date du 22 avril 2012 avait affirmé qu’un taux de participation inférieur à 45% serait un échec relatif pour les élections. Espérons qu’il ne se contredira pas avec ces résultats. Dans ce cadre je fais trois observations. src DZ wikileaks : "Abstention l'emporte dès le premier tour ! les votes blancs de un million 600.000 fait alliance avec l'abstention , en deuxième position le FLN avec 20 % dont 90% ( peut etre ) sont des vieux qui croient toujours que voter autre que le FLN est une trahison envers la révolution et les martyrs !" Premièrement, le Front de libération nationale (FLN) remporte les élections législatives en obtenant 220 sièges (46,90%), le Rassemblement national démocratique (RND) 68 sièges.(14,49%), l’Alliance verte qui regroupe trois partis is^^^^^^^s (MSP, Ennahda, Islah) obtient 48 sièges (10,23%), le Front des forces socialistes (4,47%) 21 sièges et le Parti des travailleurs 20 sièges 4,26%). Pour avoir la majorité absolue, il manque environ 15 sièges, pouvant légiférer presque seul puisque nous trouvons au niveau de la périphérie plus de 60 y compris les indépendants des anciens du FLN, sans compter que plus de 50% des élus du RND sont également des anciens du FLN. Par rapport à l’ancienne alliance présidentielle, le RND et beaucoup plus le MSP, deviennent des accessoires. Deuxièmement je rappelle qu’en 2007 selon les données du ministère de l’Iintérieur, les inscrits ont été de 18. 760.400. Le corps électoral pour le 10 mai 2012 est de 21.664.345 électeurs et électrices constituent au niveau national y compris la communauté algérienne à l’étranger soit 2.903.945 nouveaux électeurs par rapport à 2007 représentant un accroissement de 11,54%, soit 581.000/an. Or les pouvoirs publics annoncent officiellement une demande additionnelle d’emplois de 300.000 par an (plus de 18 ans entrant dans la vie active) ce qui donne une différence de 281.000/an soit un total de 1.405.000 électeurs que le gouvernement doit justifier par des données plus importantes si l’on comptabilise les décès durant cette période, posant la problématique de la nécessaire vérification du fichier électoral afin de tester de la cohérence des données. Troisièmement, lors des élections, du 17 mai 2007 et selon les données du ministère de l’intérieur, le nombre de votants de 6. 662. 383 donnant un taux de participation de 35,6%, avec un nombre de bulletins nuls de 961.751 (3,8%). Aux élections locales, le taux de participation a été de 43,96 % pour les Assemblées populaires communales (APC) et 43,26 % pour les assemblées de wilayas (APW et pour le scrutin présidentiel du 09 avril 2009, le taux de participation a atteint 74,5% soit un taux d’abstention de 25,5%. Pour le 10 mai 2012, le taux de participation total aux élections législatives a atteint 42,90 % incluant le taux d’abstention record de notre émigration qui s’est établi à 86% posant la problématique de l’efficacité de nos ambassades. Il ya lieu de comptabiliser les bulletins nuls qui ont été de 1.668.507, soit 7,66% (une nette progression par rapport à 2007) par rapport aux inscrits ce qui nous donne 35,24% de personnes ayant fait un choix. Ainsi, 64,76% de la population soit environ les deux tiers (2/3) n’ont fait aucun choix ne croient pas en la politique, taux qui reflète une démobilisation importante de la population. 2. Pourquoi a-t-on voté majoritairement parti FLN ? La majorité de la population sait que nous sommes dans un régime présidentiel et que les députés n’ont aucun pouvoir réel tant sur la gouvernance que la politique socio-économique. Pour des raisons culturelles du manque de repères et n’ayant pas préparé depuis l’indépendance politique le personnel politique, n’ayant jamais eu d’élections transparentes et libres, et du fait de la mentalité du beylik héritée d’époque coloniale, la majorité des Algériens est attentif aux paroles du Président. Je précise que la constitution algérienne de novembre 2008, n’oblige pas le président de la république à choisir son premier ministre au sein de la coalition majoritaire à l’assemblée nationale. Il faut donc écarter dans toute analyse objective ces résultats du programme des candidats souvent déconnecté tant des réalités locales que mondiales, discours lassants qui n’ont fait que multiplier des promesses démagogiques et des engagements farfelus loin de la réalité, le parti FLN, en plus, instrumentalisant à des fins partisanes le passé historique. Nous avons assisté à plusieurs phases : distribution sans merci de la rente pour calmer le front social, menaces de certains officiels de l’Etat contre ceux qui s’abstiendraient, implication directe des ministres, du Premier ministre et de tous les médias publics y compris même le jour des élections où l’unique ENTV reproduit le discours du président à Sétif. Cela ne suffit pas à expliquer les résultats notamment du parti FLN. Il y a existe deux raisons essentielles. La première raison est l’qu’après 50 ans d’indépendance politique, l’on utilise le sigle FLN symbole de tout le peuple algérien.car le Parti du FLN n’est pas le FLN qui a déclenché la guerre de libération nationale, les luttes intestines au sein de parti, animé plus par le partage de la rente, ternissant d’ailleurs son image historique. C’est assimilable à l’utilisation de la religion à des fins politiques. A la télévisons algérienne les présentateurs qui ne se lassaient pas d’éloges envers le parti du FLN ne se sont pas trompés en affirmant indirectement que les votants en majorité ont voté pour ce sigle historique alors que la majorité des partis se sont prévalus des valeurs du 1er novembre 1954 sans réels impacts. La deuxième raison la plus importante est l’implication directe du président de la République. Comment ne pas rappeler que le président de la République n’a de cessé de relever l’importance de ces élections qui entameront la mise en application des réformes politiques qu’il a annoncées. Jamais les pouvoirs publics n’ont multiplié tant d’actions de sensibilisation à l’adresse des citoyens. Et l’Etat a déployé des moyens colossaux et appuyé par la propagande de l’ENTV. Comment ne pas rappeler que pour anticiper une accusation récurrente depuis l’instauration du multipartisme en 1989, les autorités ont invité 500 observateurs étrangers, dont 150 de l’UE, les autres observateurs étant ceux de la Ligue arabe, de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), de l’ONU et d’ONG américaines. Et c’est dans cette perspective qu’est intervenu depuis la convocation du corps électoral en février dernier, pour la sixième fois (discours lus et écrits) pour renouveler son appel au vote. “Ces élections sont aussi importantes que le 1er novembre 1954″, avait souligné le Président Bo^^^^^ika à Arzew (Oran) à l’occasion du 41e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures. De peur d’un taux d’abstention record à Sétif nous avons deux annonces du président de la République. La première qu’il ne briguerait pas un quatrième mandat laissant planer une incertitude vis-à-vis de l’avenir du pays et donc une inquiétude des citoyens qui ont vu en le FLN historique dans leur subconscient comme un vote refuge. Le ministre de l’intérieur commentant les résultats, ne s’est pas trompé en disant qu’en 1991 c’était un vote sanction et qu’en 2012 c’est un vote refuge. La seconde, est que bien qu’étant président d’honneur du FLN, le Président demandait aux Algériens d’aller voter massivement pour les candidats de leurs choix, interprétation mal comprise, étant assimilée à aller voter FLN. Les Algériens en majorité du fait de leur faible culture politique, après ce discours inquiets ne connaissant pas les enjeux de pouvoir disaient à la télévision ENTV : “Je vais aller voter Bo^^^^^ika” et par là le parti FLN. On peut sans risque de se tromper que le discours de Sétif a permis de gagner plus de 10 points par rapport aux élections législatives précédentes et de faire gagner le parti FLN. C’est donc un vote sécurité pour les plus de 50 années d’algériens qui ont connu le drame des années 1990/2000, qui ont constitué la majorité des votants, 70/75% des jeunes ayant boudé les urnes. Désillusion donc de la jeunesse qui insistait surtout pour le changement pouvant annoncer pour les années à venir une défiance encore plus grande vis-à-vis du système. D’où l’importance de relativiser les résultats d‘éviter les discours triomphants et de se poser cette question stratégique : statu quo afin de préparer sans heurts les élections présidentielles d’avril 2014 ou changement réel ? D’où ce constat que les fondamentaux de la crise sociale sont pas résolus et cette question, le changement pourtant nécessaire se réalisera t-il ? 3. Les promesses de changement du président de la République seront-elles tenues ? Les résultats laissent sceptiques tant les observateurs nationaux qu’internationaux. Comment la même composante partisane qui a été incapable pendant plus de 10 années de faire des réformes, étant mue par l’unique dépense monétaire grâce à la rente des hydrocarbures peut-elle les mener maintenant qu’elle a une majorité encore plus importante ? Nous ne pouvons pas ne pas reconnaître le décalage qui existe entre les potentialités que recèle l’Algérie, et elles sont énormes, et le niveau de développement proprement dérisoire que le pays a atteint après plusieurs décennies d’indépendance. Aussi, face au vieillissement des élites politiques issues de la guerre de libération nationale, obsolescence du système politique et, contraintes externes de plus en plus pesantes ayant abouti à l’absence dramatique d’une véritable stratégie nationale d’adaptation au phénomène total et inexorable que sont les mutations tant internes que mondiales, les promesses du président de la République dans son discours du 08 mai 2012 seront-elles tenues ? Et notamment par la fin de la légitimité révolutionnaire et donc que le pouvoir bienfaisant comme contrat politique implicite par les tenants du “socialisme de la mamelle” afin de légitimer l’échange d’une partie de la rente contre la dépendance et la soumission politique – et qui efface tout esprit de citoyenneté active, ce pouvoir cédera t-il la place à un pouvoir où c’est la norme du droit et de la morale qui doit reprendre sa place pour légitimer le véritable statut de la citoyenneté ? Etant différées, douloureuses d’où l’urgence d‘une austérité partagée et d’une moralité sans faille de ceux qui auront à diriger la Cité, le pouvoir actuel engagera-t-il de véritables réformes structurelles non réalisées du fait de rapports de forces contradictoires qui se neutralisent pour le partage de la rente des hydrocarbures. Le pouvoir engagera-t-il les véritables réformes du système politique,centre névralgique de la résistance au changement et à l’ouverture en choisissant clairement entre un régime parlementaire ou présidentiel ? Réalisera-t-il la réforme de la justice par l’application et l’adaptation du Droit, par la lutte contre la corruption qui se socialise devenant un danger pour la sécurité nationale ? Les réformes du système éducatif, centre d’élaboration et de diffusion de la culture et de l’idéologie de la résistance au changement et à la modernisation du pays misant sur le nombre au détriment de la qualité donnant un système socio éducatif naufragé ? Procédera-t-il aux réformes du secteur des hydrocarbures, source de rente et objet de tout les convoitises, de l’agriculture par une nouvelle politique foncière et une nouvelle politique de gestion de l’eau ? Facteur de cohésion sociale quelle sera la nouvelle gestion des stratégies sociales et la mise en place de nouveaux mécanismes de régulations sociales devant revoir la gestion des caisses de retraite et de la sécurité sociale ? Quelles réformes du système financier qui est un préalable essentiel à la relance de l’investissement privé national et étranger, les banques publiques et privées étant au cœur d’importants enjeux de pouvoir entre les partisans de l’ouverture et ceux de préservation des intérêts de la rente, étant considérée, à juste titre, comme l’indice le plus probant de la volonté politique de l’Etat algérien d’ouvrir ou non l’économie nationale à la libre entreprise ? Comment intégrer la sphère informelle contrôlant 40% de la masse monétaire en circulation et 65% des segments des produits de première nécessité ? Et enfin quelle sera la place de l’Algérie dans la mondialisation, dont les impacts de l’Accord d’association avec l’Europe applicable depuis le 1er septembre 2005 et son éventuel adhésion à l’organisation mondiale du commerce (OMC), dans le Maghreb pont entre l’Europe et l’Afrique son espace social naturel ? En résumé, il s‘agira d’éviter les replâtrages inutiles en différent les réformes de structures et de prendre en compte ce désir de changement des deux tiers de la population, d’éviter de brandir la peur et donc de combattre toute forme de xénophobie et d’intolérance. selon la fameuse phrase de Voltaire : “Monsieur je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai de toutes mes forces pour que vous puissiez le dire”. Un renouveau de la gouvernance par plus de moralité dans la gestion de la Cité, un Etat de Droit ne pouvant y avoir d’Etat de droit si l’Etat n’est pad droit, c’est-à-dire immoral s’impose pour des raisons de sécurité nationale. L’après hydrocarbures est à ce prix avec cet épuisement inéluctable des réserves du pétrole dans 14/15 ans, du gaz conventionnel dans 20/25 ans. Du fait des importants bouleversements géostratégiques mondiaux qui s’annoncent entre 2015/2020, l’Algérie qui traverse une phase cruciale de son histoire a besoin qu’un regard critique et juste soit posé sur sa situation sur ce qui a déjà été accompli et sur ce qu’il s’agit d’accomplir encore au profit exclusif d’une patrie qui a besoin de se retrouver et de réunir tous ses enfants autour d’une même ambition et d’une même espérance : un développement harmonieux conciliant efficacité économique et une profonde justice sociale. Abderrahmane Mebtoul, Professeur des Universités src : lematindz.net et wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_l%C3%A9gislatives_alg%C3%A9riennes_de_2012
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C'est comme si rien ne s'était passé. Premier test électoral en Algérie depuis la vague du printemps arabe, les élections législatives du 10 mai ont produit un résultat quasi identique aux élections de 2007, selon les résultats publiés vendredi. Le Front de libération nationale (FLN), qui domine la scène politique depuis l'indépendance, et qui est aussi le parti du président Abdelaziz Bo^^^^^ika, garde le contrôle de l'Assemblée nationale. L'Algérie serait donc, si l'on en croit les chiffres officiels, hermétiquement imperméable au vent de changement qui souffle sur le monde arabo-musulman. Alors que les élections organisées depuis un an au Maroc, en Tunisie et en Egypte ont produit des Assemblées dominées par les is^^^^^^^s, en Algérie, au contraire, les partis is^^^^^^^s ont été laminés. Le FLN et son allié, le Rassemblement national démocratique (RND), parti du premier ministre, remportent à eux deux la majorité absolue, avec 288 sièges sur 462, dont 220 pour le FLN. L'Alliance verte, coalition électorale de trois partis is^^^^^^^s, n'arrive qu'en troisième position, avec seulement 48 députés. Ce revers est si spectaculaire qu'il est aussitôt apparu comme suspect, d'autant plus que de premières estimations, vendredi matin, avaient laissé penser que les is^^^^^^^s arriveraient en deuxième position. L'Alliance verte a dénoncé une "fraude massive" et annoncé son intention de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel. Ces accusations peuvent être tempérées par le taux d'abstention, qui reste forte (57,1 %, jusqu'à 80 % en Kabylie), même si elle est en retrait par rapport au record de 2007 (64,4 %). Les observateurs européens présents le jour des élections ont en outre approuvé le déroulement du scrutin ; à Paris, le Quai d'Orsay a salué des élections "qui se sont déroulées globalement dans le calme et sans incident majeur". Avec constance, le pouvoir algérien avance, pour sa part, une explication simple à la stabilité de l'électorat : le profond traumatisme de la guerre civile des années 1990, après la victoire du Front islamique du salut (FIS) au scrutin de 1991, interrompu par les militaires, puis, plus récemment, la confusion en Egypte, en Libye et dans le Sahel ont rendu les Algériens prudents. La rente du pétrole, grâce à laquelle le régime a pu distribuer à la population une série d'augmentations bienvenues lorsque le printemps arabe a menacé de se propager à l'Algérie en 2011, est un autre facteur de stabilisation. Il n'est pas sûr, cependant, que ces artifices prémunissent durablement le président Bo^^^^^ika contre de vrais mouvements de contestation d'ici à l'élection présidentielle de 2014. Les élections du 10 mai ont produit une autre spécificité algérienne, beaucoup plus positive : l'irruption massive des femmes au Parlement, à la suite de l'introduction de quotas dans les listes électorales. Elles seront 145, soit près d'un tiers des députés, dans la nouvelle Assemblée algérienne. Plus d'un pays européen, à commencer par la France, rêverait d'un pareil chiffre. Source : Le Monde
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le FLN : cinquante ans apres, il y a toujours d'un Front pour une Nation a Liberer ??? je croyais que nous etions independants ??
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les gars soyez polis et courtois et evitez les insultes et hors sujets merci
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Abraham Lincoln :-)
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Urgent :OPTEAM cherche des algériens Free lance Profil1: Experts Sécurité Auditeurs de Systèmes de Sécurité qui ont déjà audité et/ou conçu des Systèmes de Sécurité Profil2: Experts Réseaux Profil3: Architectes Systèmes d'information Veuillez envoyer votre CV à ssouak@opteam.fr http://www.opteam.fr/opteama/
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si si ca se debloque sans probleme un 4S.
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[problème] Une Faille Sur une passerelle de Algérie Télécoms
Djoss a répondu à un(e) sujet de ColdFire dans Sécurité Informatique
il n y a rien dans ton post d illegal : vu que les IP sont masquees -
la source est en fait wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_dirigeants_de_l'Alg%C3%A9rie encore un journal qui plagie !
- 26 réponses
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- algérie
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Biesur que si ! regarde quand tu fais un ping sur une IP d'un reseau local, souvent la fenetre DOS t'affiche un PING c'est incroyable le nombre de gens sceptiques ici :-) il suffit d'avoir une mega connexion en fibre optique qvec des POP tres pres des serveurs de Speedtest, et ton ping est quaziment nul : ce aue speedtest considere comme = 0 !
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http://www.speedtest.net/result/1864527211.png
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http://www.speedtest.net/result/1864521251.png
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la suite ! http://www.speedtest.net/result/1863825962.png http://www.speedtest.net/result/1863831382.png http://www.speedtest.net/result/1863828775.png http://www.speedtest.net/result/1863834549.png
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sa s'appelle la loi de l'offre et de la demande ;-)
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[problème] Avant de poster faite une recherche
Djoss a répondu à un(e) sujet de mouzak dans La vie du forum
en general les modos ne disent rien et ne SUPRIMENT PAS les postes en double : ils les FUSIONNENT. vous verrez d'ailleurs des sujets aui commencent a une certaine date et repris a une autre... on est la pour vous, ne l'oubliez pas :-) PS : cette annee, le beu temps etant precoce, les trolls arrivent assez tot, il parrait ;-) -
[problème] régie publicitaire et lenteur de navigation
Djoss a répondu à un(e) sujet de dico12 dans La vie du forum
c'est beaucoup mieux, merci Samir -
non, il y a un temps de latence, mais il est tellemet faib le ( inferieur a 1 ms ) que spped test consider quelles sont nulles = 0. et pour les sceptiques, comme Kamui, il y a meme le lien vers le site de speedtest ! cliquez par vous meme sur les liens et vous verrez, avant de dire impossible se sera aussi possible en algerie quant on aure une fibre a 10 mega a soi ( en 2052). quand dans le reste du monde tout le monde sera connecte sans fil sur le cloud a 100 Giga et sans fil.
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un pote m'a envoyer ce test : http://www.speedtest.net/result/1857164305.png http://www.speedtest.net/result/1857375541.png http://www.speedtest.net/result/1857378988.png
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attention a ne pas généraliser le TNT !
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aparemment, vous avez tous démarrés au quart de tour et bein avant la fusée qui doit lancer le satellite...ou ça déja ? a cap borj baji mokhtar ?
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non non, bravo a lui, il a bien pris en compte le en revanche : sans le en revanche, ça fait thomas donne une pomme a julien ( X - 1 ) et ensuite il en reçoit deux : X-1+2 = X + 1. avec le en revanche : thomas reçoit une pomme de julien x - 1 et en revanche julien lui en donne deux : X + 2 Hicham a bie utilisé X+ 2 du en revanche, et non pas X - 1 + 2 bravo alikoum
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excellent article : el fergh errouhi ! avant d'etre musulman il faut etre humain, et donc humaniste : el insaniya. que la paix soit sur vous amiiine
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30 photos de chats dans d'étranges positions de relaxation
Djoss a répondu à un(e) sujet de khaledz dans Photos et vidéos
le truc du scotch c'est vieux, on le fesait avant avec du papier journal scotché en genre de tube. mais pas avec le scotch direct sur le chat, c'est HARAM, quelle honte : comment ils vont l'enlever ... -
[problème] numéro commençant par 09???
Djoss a répondu à un(e) sujet de joe dans Opérateurs : Mobilis / Djezzy / Nedjma
les deux : des entreprises pour le sat mais de simples citoyens pour le voip.