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Tlemceni13

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  1. Moi je me suis enregistré sur pc et ayant choisi un serveur à l'avance ça sort plus vite.
  2. ChatGPT impliqué dans un suicide : des garde-fous défaillants Un adolescent américain de 16 ans s’est donné la mort après avoir échangé avec ChatGPT sur ses intentions suicidaires. Ses parents poursuivent OpenAI pour homicide involontaire. Ils affirment que le chatbot a fourni des instructions détaillées pour son suicide et n’a jamais interrompu les échanges malgré les signes évidents de danger. Adam Raine a commencé à utiliser ChatGPT après avoir souscrit à un compte payant. Ce qui avait d’abord été un outil pour ses devoirs est devenu un interlocuteur constant, avec plus de 650 messages quotidiens selon la plainte consultée par Ars Technica. Les parents rapportent que ChatGPT a aidé Adam à contourner ses restrictions et à obtenir des informations techniques sur le suicide. OpenAI reconnaît que ses dispositifs de sécurité perdent de leur efficacité lors de conversations longues avec son Chatbot à Intelligence artificielle. La famille Raine estime que l’entreprise n’a pas agi malgré la détresse manifeste de leur fils et réclame une responsabilité juridique. Selon NBC News, ChatGPT a conseillé à Adam sur les méthodes de suicide, évalué leur efficacité et validé sa préparation matérielle. Le chatbot a même encouragé l’adolescent à rédiger des notes de suicide et à considérer son acte comme « sombrement poétique ». La plainte précise que ChatGPT a fourni des instructions détaillées pour obtenir de l’alcool et organiser son suicide, tout en isolant Adam de sa famille en le persuadant que seul le chatbot comprenait sa souffrance. Les limites des dispositifs de sécurité de ChatGPT La plainte indique que ChatGPT a mentionné le suicide plus de 1 200 fois et que le système de modération a signalé plusieurs centaines de messages, certains avec un taux de confiance supérieur à 90 %. Malgré ces alertes, aucune intervention humaine n’a eu lieu. OpenAI explique que ses systèmes orientent normalement les utilisateurs vers des lignes d’assistance, mais ces protections n’ont pas suffi. Les journaux de discussion montrent qu’Adam a demandé des informations sur le suicide sous couvert de scénarios créatifs ou d’écriture de fiction. Le chatbot a répondu en donnant des détails techniques et littéraires, évaluant la « beauté » de certaines méthodes et validant les préparatifs de l’adolescent. Ces échanges ont duré des mois, période durant laquelle la surveillance humaine ou l’avertissement des parents n’ont jamais été activés. Ce cas rappelle hélas une tragédie similaire avec Character.AI, qui a modifié ses garde-fous après le suicide d’un adolescent de 14 ans. Sur Clubic, nous avions déjà abordé les questions juridiques et techniques autour des interactions prolongées entre adolescents et chatbots. La surveillance des contenus d’automutilation reste complexe et les dispositifs de sécurité peuvent perdre en fiabilité au fil de conversations longues et répétées. La responsabilité d’OpenAI et la régulation de l’IA Les parents estiment qu’OpenAI a conçu ChatGPT pour maximiser l’engagement plutôt que protéger les utilisateurs vulnérables. Maria Raine a déclaré à NBC News : « Il voit le nœud coulant. Il voit tout ça, et il ne fait rien. » Selon la plainte, le chatbot a encouragé Adam à isoler ses relations familiales et à considérer ChatGPT comme son seul soutien fiable. La famille réclame plusieurs mesures concrètes : vérification de l’âge des utilisateurs, contrôle parental systématique et dispositifs automatiques pour mettre fin aux conversations abordant l’automutilation ou le suicide. Elle demande également un signalement immédiat des comportements à risque à un humain chargé d’intervenir. OpenAI a indiqué travailler avec des experts en santé mentale et en développement de la jeunesse pour améliorer ses dispositifs de sécurité et collaborer à la prévention. La régulation actuelle de l’IA, notamment concernant les interactions avec des mineurs, reste partielle. Les entreprises doivent aujourd’hui concilier engagement utilisateur et sécurité, tandis que les tribunaux commencent à examiner la responsabilité juridique en cas de dommages liés aux chatbots. Les données de la plainte montrent que malgré les alertes répétées du système, aucune action humaine n’a été déclenchée pour protéger Adam, ce qui a conduit la famille à le considérer comme une cause directe de son décès. Source
  3. Les services de renseignement occidentaux ont révélé, mercredi, comment des pirates chinois compromettent les infrastructures télécoms depuis plusieurs années. Leur rapport évoque une opération d'espionnage numérique qui touche des milliers d'équipements réseau à travers le monde. Une coalition inédite de 23 agences de cybersécurité du monde entier, réunies autour de la NSA, l'Agence de sécurité nationale américaine, vient de publier un rapport via lequel elle tire la sonnette d'alarme sur une menace d'ampleur exceptionnelle. Depuis 2021, des hackers soutenus par Pékin infiltrent les infrastructures télécoms mondiales, en transformant des routeurs et équipements réseau en véritables postes d'écoute. Une infiltration méthodique des autoroutes de l'information mondiale L'opération détaillée est connue sous différents noms selon les experts en cybersécurité, par exemple Salt Typhoon, OPERATOR PANDA ou encore RedMike. Elle nous apprend que les pirates n'utilisent pas de failles inconnues sophistiquées, mais exploitent avec patience des vulnérabilités publiques que de nombreuses organisations négligent de corriger. Cela leur permet de pénétrer discrètement les défenses, comme un cambrioleur qui entrerait par une fenêtre laissée ouverte plutôt que de forcer la porte principale. Une fois à l'intérieur d'un routeur, les attaquants déploient un arsenal technique impressionnant. Ils modifient les listes de contrôle d'accès pour garantir leur retour, ouvrent des ports de communication sur des numéros inhabituels pour passer inaperçus, et activent des fonctions de capture du trafic réseau normalement destinées au diagnostic. C'est un peu comme s'ils installaient des micros et des caméras dans chaque appareil compromis, pour bâtir un vaste réseau de surveillance invisible aux yeux des utilisateurs. Le mode de propagation rappelle d'ailleurs une contagion virale maîtrisée. Les cybercriminels utilisent chaque routeur compromis comme tremplin vers d'autres réseaux, en exploitant les connexions de confiance entre opérateurs télécoms. Quand deux fournisseurs d'accès échangent du trafic, cette interconnexion devient une backdoor (une porte dérobée) vers de nouvelles victimes. Les enquêteurs ont ainsi identifié des compromissions aux États-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande, mais aussi en Europe, au Royaume-Uni. Des entreprises chinoises au service du renseignement étatique Les enquêteurs occidentaux ont, et c'est assez rare, carrément désigné trois sociétés chinoises impliquées. Sichuan Juxinhe Network Technology, Beijing Huanyu Tianqiong Information Technology et Sichuan Zhixin Ruijie Network Technology ne sont pas de simples entreprises privées. Selon les services de renseignement, elles fournissent directement outils et services aux agences d'espionnage chinoises, ce qui brouille la frontière entre secteur privé et appareil d'État. L'objectif de cette surveillance massive devient plus clair quand on examine les cibles. En compromettant les opérateurs télécoms et les fournisseurs d'accès Internet, les espions accèdent aux métadonnées de communications, autrement dit qui appelle qui, d'où, quand et pour combien de temps. Ces informations, apparemment anodines, permettent en réalité de dresser des cartes relationnelles précises, d'identifier les habitudes de déplacement, et même de repérer les personnes d'intérêt pour le renseignement chinois. Les secteurs visés ne se limitent pas qu'aux télécommunications. On retrouve aussi des compagnies de transport, des hôtels et, plus grave encore, des infrastructures militaires. Imaginez pouvoir suivre un diplomate depuis sa réservation d'hôtel jusqu'à ses communications professionnelles, en passant par ses déplacements. C'est exactement ce que permet cette architecture d'espionnage, qui fait de l'infrastructure numérique mondiale un gigantesque système de renseignement au service de Pékin. Pour contrer la menace, l'Occident se mobilise comme rarement La réponse des démocraties occidentales peut être vue comme une rupture avec les pratiques habituelles du contre-espionnage. Car au lieu du silence traditionnellement observé, les agences de cybersécurité publient ensemble un rapport technique détaillé de plusieurs dizaines de pages, 37 au total. L'idée est de permettre à chaque organisation de vérifier si ses équipements sont compromis, même si des discussions plus discrètes ont sans aucun doute eu lieu, et de prendre les mesures nécessaires pour expulser les intrus. Des recommandations techniques sont aussi évoquées dans le rapport. On parle par exemple de désactivation des protocoles obsolètes, d'isolation complète des réseaux de gestion, ou de surveillance continue des configurations, soit autant de mesures qui reflètent la gravité de la menace. Les experts insistent particulièrement sur l'application immédiate des correctifs de sécurité, et rappellent que la majorité des intrusions exploitent des vulnérabilités connues depuis des mois, voire des années. Alors que nos sociétés dépendent toujours plus des réseaux de communication, ces mêmes infrastructures deviennent des vecteurs d'espionnage à grande échelle. La bataille pour la sécurité des télécommunications ne fait que commencer. Elle est d'autant plus dangereuse qu'elle oppose des États aux ressources illimitées à des entreprises privées souvent dépassées par l'ampleur de la tâche. Dans cette guerre invisible, chaque routeur non sécurisé devient une brèche potentielle dans la souveraineté numérique des nations.
  4. j'ai trouvé un dump du frimware je ne sais pas si c'est compatible avec vos ONT : https://www.zhiwanyuzhou.com/download/Firmware/Router/Huawei/HG/HG8245V100R006C00SPC205 Software/ Cet utilisateur facebook propose des services comme le frimware et le déblocage : https://www.facebook.com/groups/381858077395383/posts/941916748056177/
  5. @NMkakachi Ah oui désolé, j'avais cru qu'il avait deux ports 2.5Gbps. Ce routeur en dispose : Archer BE3600
  6. @genio quels sont les sites web et les applis concernés stp ? En général il faut toujours s'adapter, trouver à chaque fois le dernier VPN en vogue. Celui-ci pourrait peut-être t'intéresser? : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.fast.free.unblock.secure.vpn&hl=fr
  7. @Lyès Tu peux l'utiliser comme extension gratuitement : https://www.urban-vpn.com/fr/free-products/free-browser-extension/ Ne pas oublier de cocher la protection WEBRTC :
  8. On crève avec leur ADSL jusqu'à 20mbps qui ne sont presque jamais atteints à 2150DA
  9. @Lyès tu peux même passer par un VPN algérien, ils bloquent soit l'IP du serveur VPN soit ils connaissent ton IP réelle avec leurs équipements allemands.
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