Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes '3g++'.
6 résultats trouvés
-
بالانترنت تتضاعف, لأسعار تنخفض .و الانترنت تصبح غير محدودة عند كل عملية شراء لجواز اتصال الجيل الثالث ، تحصلوا على المزيد من الجيل الثالث ، مع أسعار أقل و انترنت غير محدود! شكلوا * 600 # أو زوروا موقعنا على http://www.3g.dz Chez Mobilis, les offres 3G sont à l’affiche! Les pass de connexion 3G se multiplient… Les prix de connexion se divisent. Et la durée de connexion devient INFINIE !!! source : Page Facebook de Mobilis
-
deleted
-
Bonjour les amis, sur le site 3G.dz c'est mentionné qu'avec l'offre darynet on a un bonus qui est un acces gratuit et direct a quelques sites web comme Wikipedia.org, kooora.com ... etc. ce que je ne comprend pas, c'est que même en n'accédant qu'à ces sites mon Volume se consomme. je veux savoir si quelqu'un a eu ce même cas ?
-
Test de la 3G++ de Mobilis par l'équipe AndroiDZ
Samir_dz a posté un sujet dans 3G-4G Téléphonie Haut débit
En exclusivité, l'équipe AndroiDZ a testé pour vous la 3G de Mobilis. [video=youtube_share;yKW2lDt13Tw]http://youtu.be/yKW2lDt13Tw- 6 réponses
-
- 3g++
- android dz
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
L’Internet mobile, 3G, a écrasé l’Adsl au Maroc et, dans une moindre mesure en Tunisie, où l’expérience est plus récente. Si l’avantage de la mobilité a été décisif au lancement de la 3G, l’apparition de nouveaux terminaux mobiles (smartphones et tablettes) a fini par approfondir l’écart en défaveur de l’Adsl. Aussi, dans les deux cas, un bouleversement a eu lieu en termes de parts de marché des opérateurs. Le service Internet 3G a été lancé sur le marché marocain en avril 2007. En mars 2008, l’Internet mobile, 3G, ne représentait que 15% des abonnements Internet au Maroc, contre près de 84% pour l’Adsl. En septembre 2009, la 3G a dépassé l’Adsl avec plus de 54% de part de marché. En juin 2013, soit six ans après le lancement de la 3G, le marché de l’Internet est totalement inversé. Selon les plus récentes données de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT – Maroc), la 3G compte pour 84,58% (4.144.488 abonnements) de l’ensemble du parc Internet du pays, alors que l’Adsl n’en détient que 15,38% (753.446 abonnements). Malgré des offres de débits allant jusqu’à 20 Mbit/s, l’Internet fixe enregistre un recul spectaculaire. Si l’avantage de la mobilité a été décisif au début de l’expérience de la 3G au Maroc, l’apparition de nouveaux terminaux mobiles, les smartphones et les tablettes, a donné le coup de grâce à l’Adsl. L’inversement de la situation ne concerne pas seulement la nature de la connexion. Les opérateurs aussi ont été bousculés. Si au 31 décembre 2008, Wana Corporate détenait 69,11% du parc Internet 3G, suivi de Medi Télécom avec 20,56% et de Itissalat Al-Maghrib (IAM – Maroc Telecom) avec 10,33%. Quelques années plus tard, la tendance a été inversée en faveur de l’opérateur historique (IAM), privatisée à partir de 2001, pour devenir une filiale du groupe français Vivendi (qui négocie actuellement la vente de ses 53% de parts au géant émirati des télécommunications Etisalat). En effet, à partir de septembre 2009, la part de marché de Wana Corporate baisse à 59,08% du parc de la 3G. Cette baisse a été favorable à IAM qui a vu sa part de marché doubler pour passer à 20,54%, surclassant Medi Telecom qui rétrograde à la 3e place avec 20,38%. A fin 2009, Wana Corporate confirme sa baisse à 54,56%, alors qu’IAM et Medi Telecom détiennent respectivement 23,71% et 21,72% du parc d’abonnements à la 3 G. Un an plus tard, à fin décembre 2010, Wana Corporate et IAM sont à une quasi-égalité avec respectivement 40,68% et 40,18% de parts de marché de la 3G. En décembre 2011, un changement radical intervient. Non seulement IAM prend la tête du peloton avec 42,53%, mais cette fois l’opérateur historique est suivi de Medi Telecom qui passe à 34,99%. Wana Corporate, qui perd les deux tiers de sa part de marché détenue trois ans plus tôt, passe à 22,48%. Et selon les derniers chiffres de l’ANRT, à fin juin 2013, Medi Telecom, toujours à la 2e place du marché de la 3G, est au coude à coude avec IAM, avec respectivement 42,22% (contre 34,68% à fin décembre 2012) et 43,96% (contre 47,22 à fin décembre 2012). Tarifs à la baisse Les offres au Maroc se déclinent en contrat post-payé, "qui n’est ni résilié, ni provisoirement suspendu pour une durée supérieure ou égale à trois (3) mois" ou sous la forme d’une "souscription de type prépayé au service Internet ayant effectué au moins une recharge (Internet) durant les trois (3) derniers mois ou dont la recharge est valide". La 3G au Maroc est déclinée sous le type "Data Only", ou bien « une offre voix combinée à une offre Internet, "Voix+Data". A fin juin 2013, sur un total de 4.144.488 abonnements 3G, le nombre de puces "Voix+Data" représente plus de 60%. Cette concurrence entre les trois opérateurs marocains a eu pour effet de faire considérablement baisser les prix des abonnements à la 3G dont la facture, exprimée en DH HT/mois/client, est passée de 55 à 37 entre décembre 2010 et décembre 2011, selon l’ANRT. Cette baisse s’est accentuée pour atteindre les 27 DH HT/mois/client au 1er semestre 2013 soit -27% par rapport à la même période de 2012. Pour l’ADSL, cette facture est passée de 139 DH HT/mois/client à fin décembre 2010 à 116 DH HT/mois/client à fin décembre 2011, puis à 111 DH HT/mois/client à fin juin 2013. Recul considérable de l’Adsl en Tunisie Lancée en juin 2010, le rythme de développement de la technologie mobile de 3e génération (3G) en Tunisie a été tout aussi rapide qu’au Maroc. Le nombre d’abonnements est passé à 147.123 en juin 2011, avant de tripler en juin 2012 pour atteindre les 427.077 souscriptions. Et dès décembre 2012, le nombre d’abonnements 3G a dépassé celui des souscriptions à l’Adsl soit respectivement 557.148 contre 512.385, selon les chiffres de l’Instance nationale des télécommunications (INT). A fin juin 2013, le nombre d’abonnements à la 3G en Tunisie a atteint 715.708. Depuis le lancement de la 3G, le rythme de croissance de l’Internet Adsl en Tunisie a sérieusement ralenti avant de marquer un léger recul. Le nombre d’abonnements Adsl est passé de 478.457 en décembre 2010, à 541.635 un an plus tard, avant de baisser à 512.385 en décembre 2012. En juin 2011, sur un parc global d’abonnements Internet d’environ 688.000, la part de la 3G était de l’ordre de 21% (contre 79% pour l’Adsl). Deux ans plus tard, la 3G représente plus de 58% des 1.229.287 abonnements, contre près de 42% pour le parc Adsl. En terme de parts de marché, jusqu’à juin 2012, le parc d’abonnement à la 3G était dominé à 73,8% par Orange Tunisie, ne laissant que 26,2% à Tunisie Télécom, l’opérateur historique. Au second semestre 2012, l’entrée d’un troisième opérateur, Tunisiana, sur la scène de la 3G, a quelque peu modifié la donne. A fin septembre de cette même année, Orange Tunisie baisse à 70,2%, celle de Tunisie Télécom augmente à 28,1%, et Tunisiana démarre à 1,7% de part de marché de la 3G. Au 30 juin 2013, Orange Tunisie confirme sa baisse à 54,7%, alors que Tunisie Télécom et Tunisiana, respectivement à 34,5% et 10,7%, font mine d’en vouloir davantage. Source : http://www.maghrebemergent.com/high-tech/telecoms/item/30955-au-maroc-et-en-tunisie-la-3g-a-ecrase-l-adsl.html
-
Sommaire : Le Haut Débit mobile arrive en Algérie : 3 opérateurs vont lancer la 3G+ avant la fin de l'année. Du coup le déploiement d'un réseau national en fibres optiques est relancé après avoir pris du retard, dans un contexte politico-économique compliqué. Pierre Col Par Pierre Col pour Infra | Net | Samedi 19 Octobre 2013 Arrivée de la 3G+ en Algérie Le 15 octobre, 3 opérateurs mobiles algériens se sont vu allouer des fréquences provisoires pour exploiter la 3G+ : Djezzy, Mobilis et Nedjma indiquent qu'ils sont prêts à lancer la 3G+ avant la fin de l'année. Pour ce que l'on en sait aujourd'hui, leurs offres commerciale comporteront différents paliers tarifaires en fonction du volume d'usage. Pour accompagner cette évolution technologique, l'INTTIC - Institut National des Télécommunications et des Technologies de l’Information et de la Communication - organise le 2 décembre prochain à Oran une journée scientifique consacrée à la 3G : placé sous l'égide du ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, ce colloque a pour objectif de « souligner les enjeux socio-économiques et les attentes des usagers par rapport au lancement commercial imminent de la 3G mobile en Algérie », indiquent ses organisateurs. Les communications prévues dans ce cadre s'articuleront autour de divers thèmes tels ceux intitulés "La migration vers la 3 G : perspectives techniques et socio-économiques", "Stratégies de déploiement : défis et enjeux", "Accès mobile à Internet" et "Évolution des technologies 3G". Relance du déploiement de la fibre optique par Algérie Télécom Et cette arrivée prochaine de la 3G provoque une relance du plan de développement de l'Internet fixe à Haut Débit en Algérie dont je vous avais parlé il y a 4 ans. Afin de contrer l'arrivée de la 3G, Algérie Telecom a indiqué vouloir accélérer le déploiement de son réseau de fibres optiques. Car ce vaste chantier n'a pas avancé aussi vite que prévu, et selon ses responsables c'est essentiellement par manque d'entreprises qualifiées pour mener les travaux : en effet, le gouvernement algérien ne souhaite pas faire travailler d'entreprises étrangères sur ce chantier, et réserve ses appels d'offre aux entreprises nationales. Du coup, alors que le plan stratégique d'Algérie Télécom prévoyait de déployer 20.000 km de fibres optiques sur la période 2013-2014, seulement 1529 km ont été posés en 6 mois… On notera que, bizarrement, ce sont des entreprises chinoises qui fournissent la fibre optique, au détriment de l'entreprise CATEL, seul fabricant algérien de câbles pour la fibre optique, qui n'a pas été sollicité pour fournir le nouveau réseau : alors que le prix de la main d'œuvre algérienne est proche du prix de la main d'œuvre chinoise, et compte tenu du taux de chômage qui frappe la jeunesse algérienne, c'est tout à fait surprenant et les observateurs s'interrogent sur les raisons de cette étrange « préférence chinoise ». En effet, plus de 21% des moins de 35 ans sont sans emploi en Algérie, pour un taux de chômage global de 10%. Autre bizarrerie du système algérien, l'ex-ministre des télécoms Moussa Benhamadi fut président d'Algérie Télécom de 2008 à 2010, puis Ministres des Postes et Télécommunications de 2010 à octobre 2013, lorsqu'il fut débarqué du fait d'un remaniement ministériel. Et alors qu'il était ministre, il était en même temps patron de Condor, une entreprise locale qui vend une large gamme allant de l'électronique à la high tech, incluant des tablettes et des smartphones, avec le slogan « Algérien d'origine »... alors qu'on imagine bien que ces produits technologiques ne sont pas fabriqués sur le territoire algérien mais très probablement en Chine. Vous me direz, nous sommes mal placés pour donner des leçons en matière de conflit d'intérêt, puisqu'en France ce sont bien les patrons de grandes entreprises des secteurs concernés qui sont chargés par le gouvernement de piloter les 34 projets du plan « Nouvelle France industrielle »… Bientôt un GIX algérien Un autre point positif pour le développement d'Internet en Algérie : la mise en place prochaine d'un point d'échange de trafic Internet. Ce GIX algérien permettra « à tous les fournisseurs Internet de se connecter à ce point d'échange sans avoir à passer par l'étranger », a indiqué la ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Zohra Derdouri. On le voit, l'Algérie a décidé de mettre le paquet pour entrer dans le 21ème siècle avec des réseaux hauts débits fixes et mobiles. Elle en a largement les moyens financiers, compte tenu de la manne que lui rapportent chaque année ses énormes ressources pétrolières et gazières. Souhaitons que la diffusion de ces technologies soit massive et permette à l'Algérie de développer une véritable industrie dans les TIC, et notamment dans le logiciel et les services : ce serait un moyen intelligent pour contribuer à résorber le chômage des jeunes, fléau de ce pays. Source ZDNet : http://www.zdnet.fr/actualites/3g-et-fibre-optique-l-internet-a-haut-debit-en-algerie-n-avance-pas-sans-difficultes-39794932.htm