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Au démarrage. (And the trogdor comes in the night...)

desktop_demarrage.png

Le petit texte just avant le prompt c'est fortune. Tiens ça me fait penser à rechercher s'il n'y a pas un fortune bashfr... Faut que je vois ça !

 

En plein travail (je viens d'installer wordpress, eh oui j'ai tout perdu depuis 5 jours -formattage du disque après un gparted qui a planté-)

install_wp.png

Modifié par ychaouche
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  • 2 weeks later...

Le programme d'installation Anaconda (Fedora) d'abord permet de sélectionner les paquets manuellement sans spécifier de paramètre précis en ligne de commande. Je pense à tous ces utilisateurs algériens qu'Ubiquity force à télécharger les paquets pendant et après l'installation sachant qu'ils n'ont pas forcément une bande passante très élevée.

 

J'ai téléchargé le DVD et réinstallé Ubuntu mais le processus a été le même qu'avec le CD.

 

Le support des langues est important. J'ai pu ainsi activé le support de l'arabe en gardant le français comme langue par défaut avec l'instalateur de Fedora sans effort. En interogeant la base de données des paquets Fedora, s'agissant de la prise en charge de l'arabe, j'ai pu constaté que les polices truetype ttf-paktype était installées pour le support de l'arabe. Ce sont des polices développées au Pakistan. Elles ne le sont pas sous Ubuntu si on installe les paquets offrant la prise en charge de l'arabe.

 

Je vous invite à découvrir ces polices en installant le paquet ttf-paktype et en visitant cette page:

 

UTF-8 Browser Test for Unicode Block 'Arabic Presentation Forms-A'

 

La configuration de netfilter (iptables) est infiniment plus simple sous Fedora. Ubuntu est me semble-t-il installé sans pare-feu. J'ai installé et configuré arno-iptables-firewall mais j'imagine que les débutants doivent avoir des difficultés. Et pour ceux qui se connectent directement à internet sans la protection d'un modem-routeur disposant déjà de netfilter ?

 

Quant à selinux, son activation provoque une panic du noyau (2.6.28-15-generic) lors du lancement de gdm. Hard reset requis. Ce n'est pas le cas avec le noyau 2.6.31 qu'il faut donc recompiler. Mais c'est un peu normal dans la mesure ou l'effort de développement selinux est réalisé essentiellement par RedHat.

 

Par contre le traitement des dépendances dans la gestion des services (arrêt, relance) est meilleur sous Ubuntu. En fait il est inexistant sous Fedora. Lorsqu'on arrête un service les dépendances ne sont pas stoppées au préalable. Pareil pour le lancement.

Modifié par djezzyman
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Bonjour,

 

Oui, c'est vrai que pendant l'installation, si on est connecté a internet, il se permet de telecharger les paquets, (fallait peut etre ajouter un choix a l'utilisateur, ou aumoins l'avertir pour retirer sa connexion s'il a bande bassante mediocre)

 

1- Pour le support de langue, le DVD offre un support complet, pas besoin de telecharger quoi que ce soit (testé par moi meme)

2- pour le paquet ttf-paktype, un ptit apt-get install suffit :)

3- Ubuntu vient avec un firewall installé "iptables" (malgré que tout est autorisé par defaut :p)

4- Pour SELinux j'ai rien a ajouter, ^^

 

-----------------------------

 

Pour fedora,

- le gestionnaire de paquets "yum", qui est loin d'atteindre "apt"

- Par defaut, ya pas de suite bureautique complete (juste un tableau et un editeur de texte)

- ses developpeurs prennent du risque a mon avis en mettant des logiciels pas toujours en version final

Exemple pour la fedora 11, ils ont mis FireFox 3.5b4 et Thunderbird 3.5b4

 

--------------------------------

 

Pour conclure, chaque Distro a ses avantages et ses defauts, et le choix de l'une ou de l'autre depend du domaine d'utilisation

 

bonne journée

 

++++

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- le gestionnaire de paquets "yum", qui est loin d'atteindre "apt"

- Par defaut, ya pas de suite bureautique complete (juste un tableau et un editeur de texte)

- ses developpeurs prennent du risque a mon avis en mettant des logiciels pas toujours en version final

Exemple pour la fedora 11, ils ont mis FireFox 3.5b4 et Thunderbird 3.5b4

 

Pour le gestionnaire de paquetages, c'est un peu du troll, yum a ses avantages aussi, à chacun ses gouts. Personnellement, je préfère yum à apt... pour ne pas citer pacman ^^

 

Pour déployer un serveur en production, je pense que je me baserai plus sur CentOS (Red Hat indirectement) que sur Debian ou Ubuntu.

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  • 3 weeks later...

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    • @dzgeek123 Je viens de comprendre qu'ils ont fait cela que pour monter dans le classement d'Ookla les saligauds. 
    • Je vais essayer sur mon pc et je te tiens au courant 
    • Merci @wosiris sur smartphone ça fonctionne aussi chez moi mais pas sur pc avec Firefox et Opera
    • Très mauvaise nouvelle les amis… Des chercheurs polonais viennent de péter la sécurité des eSIM et ça fait froid dans le dos puisqu’on parle de 2 milliards de puces compromises qui permettent de cloner votre carte SIM à distance. L’équipe de Security Explorations, un labo de recherche en sécurité basé en Pologne, vient en effet de publier leurs trouvailles et c’est pas joli joli puisqu’ils ont réussi à exploiter une vulnérabilité dans les puces eSIM de Kigen, un des plus gros fournisseurs du marché.   https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo1.mp4   Ce qu’ils ont réussi à faire c’est à cloner complètement un profil eSIM d’Orange Pologne. Résultat, tous les appels et les SMS arrivaient sur leur téléphone pirate au lieu du téléphone légitime. Imaginez maintenant 2 secondes si ça vous arrive avec votre code de validation bancaire ou votre double authentification… Ce serait la grosse mierda, donc pensez toujours bien à passer par une app de double authentification plutôt qu’un SMS. Mais comment ils ont fait ? Alors accrochez-vous car c’est technique mais je vais essayer de vulgariser au max. Le problème vient d’une “confusion de type” dans l’implémentation Java Card d’Oracle. En gros, la machine virtuelle Java Card ne vérifie pas correctement le bytecode et ça permet d’exécuter du code malveillant. C’est un peu comme si un policier vérifiait juste que vous avez bien le permis, sans regarder si c’est vraiment la vôtre. https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo2.mp4   D’ailleurs, c’est assez ironique parce qu’Oracle avait déjà été prévenu de ce type de vulnérabilité en 2019. À l’époque, ils avaient répondu que c’était juste des “préoccupations de sécurité” qui n’affectaient pas leur produit en production. Bah visiblement, si. Pour exploiter la faille, il faut d’abord un accès physique temporaire au téléphone cible. L’attaquant extrait alors une clé cryptographique qui lui permet ensuite d’installer une application Java Card malveillante. Et là, c’est open bar : extraction des profils eSIM, des clés d’authentification OPc, du champ AMF… Bref, tout ce qu’il faut pour cloner parfaitement la carte SIM. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’une fois cette clé en poche, l’attaquant peut théoriquement faire ses manipulations à distance via le protocole SMS-PP OTA (Over-The-Air). En clair, plus besoin d’avoir le téléphone entre les mains, un simple SMS suffit. Les chercheurs ont même poussé le vice jusqu’à installer des backdoors indétectables sur les puces eSIM. Genre vraiment indétectables, même pour les opérateurs. Et cerise sur le gâteau, ils peuvent aussi “bricker” (rendre inutilisable) l’eSIM à distance si l’envie leur prend. Alors évidemment, Kigen n’est pas resté les bras croisés. Ils ont versé une récompense de 30 000 dollars aux chercheurs (ce qui est plutôt classe) et ont distribué des patches à “des millions” d’eSIM, mais bon, vu qu’on parle de 2 milliards de puces potentiellement affectées, y’a encore du boulot. La GSMA (l’association qui regroupe les opérateurs mobiles) a aussi réagi en mettant à jour les spécifications de sécurité et en fermant tous les profils de test utilisés par les chercheurs pour leurs expériences. Ce qui est vraiment inquiétant, c’est que cette vulnérabilité affecte des puces certifiées EAL4+… Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est censé être un niveau de sécurité béton, utilisé pour des trucs critiques, c’est à dire des puces Infineon SLC37 basées sur des processeurs ARM SecurCore SC300 32 bits. Du matos sérieux quoi. Et le pire, c’est que les chercheurs pensent que d’autres fabricants d’eSIM pourraient être vulnérables aux mêmes attaques. Ils se sont concentrés sur Kigen parce qu’il fallait bien commencer quelque part, mais vu que beaucoup utilisent la technologie Java Card d’Oracle… D’ailleurs, petite anecdote marrante (enfin, si on peut dire) : Kigen a évalué la vulnérabilité avec un score CVSS de 6.7 (moyen), alors que les chercheurs estiment qu’elle mérite un 9.1 (critique). C’est un peu comme dire qu’avoir une fuite de gaz dans votre maison, c’est “moyennement dangereux”. Pour les plus techniques d’entre vous, voici ce que les attaquants peuvent récupérer une fois l’eSIM compromise : Les profils eSIM complets de n’importe quel opérateur (AT&T, Vodafone, O2, Orange, China Mobile, T-Mobile…) Les clés secrètes OPc utilisées pour l’authentification réseau Le champ AMF (Authentication Management Field) Les certificats d’identité eUICC Et bien sûr, la possibilité de rediriger tous les appels et SMS Bon, avant que vous ne paniquiez complètement, quelques nuances s’imposent tout de même. D’abord, l’attaque nécessite quand même un accès physique initial au téléphone. C’est pas comme si n’importe qui pouvait cloner votre eSIM depuis son canapé (enfin, pas encore…). Ensuite, Kigen a déjà commencé à distribuer des correctifs donc si votre téléphone fait ses mises à jour régulièrement, vous devriez être protégé (en théorie) et puis normalement,la GSMA a pris des mesures pour éviter que ça se reproduise. Mais quand même, ça fait réfléchir car on nous vend l’eSIM comme LA solution d’avenir, plus sécurisée, plus pratique… et au final, ça se casse comme une vulgaire coquille de noix. D’ailleurs, si vous voulez creuser le sujet, Security Explorations a publié tous les détails techniques sur leur site. Et en attendant, qu’est-ce qu’on peut faire pour se protéger ? Bah pas grand-chose malheureusement. Garder son téléphone à jour, éviter de le prêter à des inconnus (surtout s’ils ont l’air de s’y connaître en Java Card), et croiser les doigts pour que votre opérateur ait appliqué les patches. Ah et petit conseil : si vous utilisez la double authentification par SMS pour des trucs sensibles (banque, crypto, etc.), c’est peut-être le moment de passer à une app d’authentification ou une clé physique. Parce que bon, si quelqu’un peut cloner votre SIM et recevoir vos SMS… Je vous conseille 2FAS comme app. Cette histoire nous rappelle une fois de plus que la sécurité absolue n’existe pas et que même sur les systèmes les plus certifiés, les plus vérifiés, il peut y avoir des failles et que souvent, ces failles viennent de trucs basiques qu’on a oublié de vérifier comme ici, une simple vérification de bytecode qui aurait pu éviter tout ça. En tout cas, chapeau à Security Explorations pour leur boulot c’est impressionnant ! Et n’oubliez pas, comme dit l’adade : “y’a pas de système sécurisé, il n’y a que des systèmes pas encore hackés”.   Source
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