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Tout ce qui a été posté par Hicham
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Les gars , vous commencez trop à étaler votre vie , commentez sans citer de nom et sans subjectivité, votre expérience personnel sert à appuyer votre opinion mais faut rester vague. l'avantage d'être sur un forum c'est justement le Rêve , laisser libre à son imagination sans savoir à qui on a à faire, vous gâchez le plaisir du partage. par exemple si je vous dis que j'ai 9 ans , vous allez changez de point de vue sur moi et me voir d'une autre façon ?! et bien ça ce n'est qu'une toute petite conséquence ou même pire que ça imaginez que je soit ministre ou une personne haut placée du Gouvernement ? quelque chose va changer en vous , vous allez chaque jour complimenter l'algérie , ahhh les poubelles machaa allah ramassage chaque jour à l'heure , internet que du bonheur jamais de coupure en plus c'est presque gratuit merci Algérie télécom. Cordialement !
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Un salaire de 140 000 DA pour le fils du PDG de Sonatrach
Hicham a répondu à un(e) sujet de sparrow210 dans Guesra
Boucle Locale , réseau fermé si quelqu'un veut acheter une BMW ou une Mercedes à sa Fiancée , il n'a qu'à contacter le patron de Saipem , frais de mariage inclus avec Lune de miel au Bord de la mer -
j'ai de la concurrence ces temps-ci non il est pas posté , c'est la suite de l'article de sparrow210 : http://www.forumdz.com/showthread.php?40421-Un-salaire-de-140-000-DA-pour-le-fils-du-PDG-de-Sonatrach&highlight=saipem
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(Boghni) Tizi ouzou : Deux morts et cinq blessés dans l’effondrement d’un pont Deux personnes ont trouvé la mort et cinq autres ont été gravement blessées suite à l’effondrement d’un pont à Boghni (30 km au sud de Tizi Ouzou) aux environs de deux heures du matin, ce lundi 10 décembre, a-t-on appris auprès de la protection civile. Le drame est survenu sur la route (CW 128) menant vers le chef-lieu de wilaya, à envron 20 km de la ville de Boghni, précise-t-on de mêmes sources. Le pont en question, qui était dans un état lamentable, dont la construction remonte à la période coloniale, s’est effondré au moment où un véhicule léger était de passage. Ensuite, trois autres voitures se sont précipitées dans le ravin de plusieurs mètres de profondeur. Le brouillard qui a caractérisé la nuit d’hier, dans cette localité, n’a pas aidé ces automobilistes à constater l’état d’effondrement du pont et maîtriser leurs véhicules à temps. Les corps des deux victimes, ainsi que cinq blessés ont été transférés par la protection civile vers le CHU Nadir-Mohammed de Tizi Ouzou. Cet axe routier est fermé à la circulation depuis ce matin, les usagers de cette route sont obligés d’opérer un contournement par Maâtkas ou Draâ El Mizan. Source
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200 millions de Dollars de pots-de-vin Comment Saipem a arrosé Sonatrach Nouvelles révélations d’une grande ampleur sur le scandale de corruption qui éclabousse Sonatrach. Des responsables du géant pétrolier algérien auraient touché des pots-de-vin provenant de la société italienne Saipem. Les dirigeants de cette dernière auraient versé, en 2007, à ceux de Sonatrach et autres intermédiaires la bagatelle de 200 millions de dollars en échange de l’obtention de trois marchés. Le premier, un contrat de 580 millions de dollars, porte sur la réalisation du gazoduc GK3, le second est un contrat avec le groupe allemand Contel Funkwerk Plettac de 142 millions de dollars, tandis que le troisième d’un montant de 100 millions de dollars avec la société américaine CCCI concerne la restauration du bureau de la direction générale de la société algérienne. Désarçonnant. Des pots-de-vin qui donnent le tournis et qui révèlent toute l’ampleur de la corruption qui caractérise les conditions dans lesquelles Sonatrach octroie de gros marchés à des sociétés étrangères. C’est ce qu’ont révélé les enquêteurs du parquet de Milan (Italie) suite à l’ouverture d’une enquête lancée l’année dernière sur les activités de Saipem, filiale d’ingénierie et de construction d’ENI, après l’examen des comptes de la société ainsi que ces procédures dans l’obtention des marchés, rapporté par la presse italienne. Les conclusions des deux procureurs du parquet de Milan, Fabio De Pasquale et Sergio Spadaro, ont fait l’effet d’une bombe. Le top management de Saipem est décapité suite à l’enquête. La société s’est séparée, mercredi dernier, de son président-directeur général, Pietro Franco Tali, remplacé au pied levé par Umberto Vergine. Bien que son nom n’apparaît pas dans l’enquête. Le désormais ex-PDG, un diplômé en sciences économiques et politiques, était à la tête de Saipem depuis l’année 2000. Le groupe a également suspendu de ses fonctions Pietro Varone, chef de l’exploitation de l’ingénierie et de la construction – principale division du groupe – dont le nom est cité dans le cadre de l’enquête. Le scandale a également obligé la société mère, ENI, à se séparer de son directeur financier, Alessendro Bernini, car à l’époque des faits, il occupait le même poste au sein de Saipem. Ces deux derniers responsables comparaîtront devant la justice. Le 4 février 2011, les enquêteurs avaient envoyé une requête au groupe ENI «réclamant les documents des deux contrats signés en juin 2009 entre Saipem et Sonatrach, ainsi que celui de juillet de la même année entre Saipem et Technip, portant sur le projet Galsi dans lequel la compagnie algérienne est associée» comme l’a rapporté DNA. Suite à l’éclatement de ce scandale, Saipem aurait diligenté un audit interne avec l’aide de consultants extérieurs sur les procédures d’obtention des marchés. Une enquête interne visant «à vérifier la bonne application des procédures dans le domaine de la lutte contre la corruption et la prévention des activités illégales adoptées par l’entreprise», a rapporté la presse milanaise. DES MARCHÉS À 20 MILLIARDS DE DOLLARS Saipem, dont le nom est associé à la scabreuse affaire qui éclabousse Sonatrach, avait obtenu, en juin 2009, un contrat de 580 millions de dollars pour la réalisation du gazoduc GK3 sur une longueur de 350 km. Le projet dans son ensemble permettra à Sonatrach d’augmenter sa capacité de transport de gaz pour atteindre 9 milliards de mètres cubes par année et d’assurer l’approvisionnement du gazoduc Galsi qui reliera l’Algérie à l’Italie via la Sardaigne. A cette période, Chakib Khelil trônait encore sur le secteur de l’Energie. Il avait même assisté à la cérémonie de la signature du contrat entre Saipem et Sonatrach qui s’est déroulée au siège de cette dernière. La filiale de ENI, représentée par Saipem Contracting Algérie (SCA), créée en 2005, aurait accumulé de 2006 à 2009 des marchés qui s’élèvent à 20 milliards de dollars. Les présumés pots-de-vin (200 millions de dollars) avec lesquels Saipem aurait arrosé les vrais patrons de Sonatrach étaient donc «une mise de départ». Présente en Algérie depuis 1981, ENI occupe une place stratégique dans le secteur énergétique. Un solide «partenaire» de Sonatrach. ENI participe à 24 licences déjà en production dont huit en phase de développement et une phase d’exploration. Toujours selon la presse transalpine, ENI et Sonatrach ont signé un accord de coopération pour «le développement des hydrocarbures non conventionnels, avec un intérêt particulier dans le gaz de schiste qui renforcera la coopération étroite entre les deux sociétés». Celles-ci ont développé conjointement des activités visant à «évaluer la faisabilité technique et commerciale, l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste». En somme, ce qui est «dissimulé» à Alger éclate au grand jour à Milan. L’affaire de corruption impliquant des dirigeants de Sonatrach jugée à la cour d’Alger devrait logiquement prendre une nouvelle tournure avec ce qu’apporte comme éléments nouveaux les enquêteurs italiens. Source
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en Algérie les frais d'inscription c'est 200 DA / ans , 2 euros même pas un bon Café français normal chez nous tout est piratage même les études c'est de la contrefaçon ! comment voulez-vous former des élites avec 200 DA ?! N.B : excusez moi c'est 220 DA , j'ai oublié le Timbre à 20 DA
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@mahboul : tu conseils Harvard , stanford, oxford à nos futures élites algériennes ? ta raison ces universités sont très faciles à intégrer
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on pourra poser cette question à François hollande quand il rendra visite à notre Roi à la fin du mois
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oué ta raison , l'algérie machaa allah , kayen GTX , GTI , GTD ,HDI, TDI , CRDI , CDI ,VTTI, GR32 ,FR, R-Line , Sportback , GT-Line ..... etc à moins que tu préfères le Métro Parisien ..... c'est toi qui vois
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L’Algérie, 118e pays en terme de bon usage des TIC Le Networked Readiness Index est un outil de mesure permettant de juger de la capacité d’un pays à utiliser au mieux les Technologies de l’Information et de la communication (TIC) dans son développement. Publié chaque année, il informe de la compétitivité économique entre les pays. Le rapport se base sur différents paramètres avant de noter la performance d’un Etat, c’est ainsi que les infrastructures, l’économie digitale, les compétences présentes dans le secteur, la facilité d’accès à l’information ou encore l’économie du marché rentrent entre autres en ligne de compte. Mis en place par le World Economic Forum, le Networked Readiness Index (NRI) prend en compte pas moins de 53 indicateurs qualitatifs et quantitatifs avant de classer les pays, selon tout d’abord 9 grands axes, avant de noter la note globale. À la première place du classement, la Suède enregistre un score de 5,94, moins qu’en 2011 et son parfait 6, mais elle maintient malgré tout sa position de dominance. À la seconde marche du podium, Singapour obtient un score de 5,86. La Finlande, autre pays scandinave, se classe à la 3e place avec un score de 5,81. L’Algérie se classe 118e au classement -qui ne compte que 142 pays- avec un score de 3,01, loin derrière les autres pays de la région MENA. Concernant les 9 grands axes, l’indicateur de mesure de l’usage dans l’économie (Business usage) classe le pays à la 138e place avec un score de 2,11. Pour sa part, l’usage par le gouvernement obtient lui un score de 2,4 pour une 130e place au classement. Les autres indicateurs varient entre la 70e et la 120e place, preuve du mauvaise usage des TIC par le pays, que ce soit dans son développement économique ou pour l’amélioration des conditions de vie. Reste à espérer que le rapport 2013 démontrera une amélioration quelconque. Source Petit Récapitulatif des Palmes D'or qu'a Reçue l'algérie ce Mois de Décembre : - Pays le plus corrompus au monde. 34/100 (105e sur 176 ). - Alger la dernière ville en matière de qualité de vie. (179e sur 221). - dernier pays en TIC. (118e sur 142). N.B : L'Algérie est en Lice pour le Prix de la Révélation Internationale au NRJ Music Awards 2013 ..... c'est dans la poche
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je crois que le problème principal n'est pas l'hébergement mais la discrimination des français envers les algériens. après .... j'ai envie de dire c'est leur pays ils font ce qu'ils veulent car si c'était eux qui venaient chez nous on les aurait pas traiter mieux. et puis la france n'est pas obligeait de nourrir des personnes en plus alors qu'elle traverse une crise économique.
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Probléme de connexion , baisse de débit etc ... c'est ici !
Hicham a répondu à un(e) sujet de Deviil-Boy dans Algérie Télécom
c'est justement ce que fait algérie télécom depuis longtemps , elle a peur qu'on la frappe de l'oeil, et voilà ..... le Résultat maintenant on la frappe même avec les jambes et tout ce qu'on a !!!! -
Etudiants algériens en France : C’est la galère ! La situation sociale et pédagogique de la communauté estudiantine algérienne en France se dégrade, à coup sûr, depuis plusieurs années. Les difficultés du train-train quotidien, générées par la crise économique que vit l’Europe, rattrapent violemment nos étudiants. Les problèmes s’entassent et les solutions se font rares, très rares. Aussi, faut-il dire que l’actuelle législation française risque d’augmenter le taux d’échec annoncé d’intégration universitaire des milliers d’étudiants algériens, pourtant jusque-là exemplaire. En attendant ce que va faire la gauche au pouvoir depuis un peu plus de six mois, les étudiants algériens ne savent plus à quel saint se vouer. Complètement désavoués, ils sont piégés entre le marteau des projets qui tombent à l’eau et l’enclume d’une réalité dure à vivre, à la limite du supportable. Décryptage: Parcours du combattant pour tous Avant d’aller plus loin, rappelons que les quelque 23 000 étudiants algériens, que compte l’ensemble des écoles et universités françaises, ont fait un parcours du combattant avant de pouvoir poser le pied sur le sol français. La procédure de demande de visa d’études est gérée par Campus France Algérie, conjointement avec les services consulaires français. Ces démarches administratives complexes coûtent à chaque candidat une petite fortune, sans parler d’un tas d’obstacles bureaucratiques. Le pire, certains refont les démarches plusieurs années avant d’avoir «enfin» leur visa. Et ce n’est que le début. Ceux qui ont eu «la chance» d’avoir ce fameux document se heurtent rapidement à une dure réalité. Après un bref moment euphorique où ils découvrent le pays dans lequel ils espèrent relancer leur cursus et construire un avenir meilleur, les premiers traits de déception se font jour. Débarquant dans l’Hexagone avec un visa de trois mois de validité, un étudiant algérien doit, dès son arrivée, entamer d’autres démarches administratives pour les inscriptions pédagogiques à l’université d’accueil, mais aussi pour l’obtention d’un titre de séjour étudiant. La galère commence. Galère bureaucratique Tandis que leurs camarades français, européens, latino-américains, orientaux et même maghrébins se concentrent sur le début de l’année universitaire, les étudiants algériens ont d’autres chats à fouetter. Il faut constituer d’abord un dossier pour la demande d’un titre de séjour avec à l’appui un justificatif financier d’un minimum de 5000 euros par an. «Les démarches sont compliquées. Les préfectures sont exigeantes et très lentes dans le traitement des dossiers», témoigne Salem, étudiant à Rennes. Puis, il faut espérer avoir un logement universitaire, car dans le cas contraire c’est un autre parcours du combattan. Il faut trouver un petit abri chez les particuliers, avec tout ce que cela génère comme inconvénients : refus catégorique pour certains favorisant des étudiants d’autres nationalités, l’exigence qu’une tierce personne signe un acte de garantie dit «acte de caution solidaire», le dépôt obligatoire d’une caution financière, mais surtout les prix de loyer élevés qui varient selon l’offre proposée (à partir de 350 euros par mois, toutes charges comprises, pour un petit studio décent dans les régions provinciales et pas moins de 500 euros pour la même offre dans la région parisienne). A défaut d’avoir quelqu’un chez qui s’abriter temporairement, le temps de trouver quelque chose, les provinciaux font la navette vers Paris qui reste la solution idéale pour tous. Cela pour des raisons logiques, en l’occurrence la forte présence de la communauté algérienne. Entre-temps un semestre est déjà écoulé sans avoir vraiment l’opportunité de suivre les cours, séchés pour la plupart. Travail à «la sauvette» ! Après plusieurs semaines de dépenses et sans revenu, le porte-monnaie de nos étudiants s’épuise. Désormais, la priorité est de trouver un petit job d’étudiant, chose qui est tout sauf évidente. «Après six mois de démarches administratives et de recherche d’emploi, j’ai été engagé par une boîte d’intérim pour travailler, sur des heures décalées, dans une usine de montage automobile. Mais à cause de la crise, on a mis fin à mon contrat en juillet dernier. Depuis, je suis à la recherche d’un emploi», raconte Salem, sachant qu’il doit, en même temps, préparer son mémoire de fin d’études et chercher un stage pratique. Donc, la première cause, diriez-vous, est la crise économique aiguë que vit la France. Oui, mais pas que ça ! L’étudiant algérien est, en effet, soumis à une réglementation particulière. Contrairement à tous les étudiants étrangers, seuls les Algériens ne peuvent pas travailler avec un «récépissé de demande de carte de séjour», sur lequel est clairement mentionné : «n’autorise pas son titulaire à travailler». Or, à titre d’exemple, les étudiants tunisiens et marocains, dans la même situation, n’ont pas cette notification et ne sont pas soumis à une autorisation de travail. Avant d’espérer trouver un emploi, il faut patienter encore deux mois, au minimum, pour l’obtention du fameux titre de séjour. Le malheur, c’est que même avec ce document, l’étudiant algérien tombe sous l’application d’un autre texte de loi, pour ainsi dire «discriminatoire». Le site officiel de l’administration française servicepublic.fr rapporte : «L’étudiant algérien reste soumis à autorisation s’il souhaite exercer un travail salarié à titre accessoire pendant ses études. L’autorisation est limitée à 50% de la durée annuelle du travail pour la branche professionnelle ou la profession concernée.» L’interprétation pratique de cette loi est que l’étudiant algérien doit demander une autorisation de travail auprès de l’unité territoriale de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE). La délivrance de ce document est obligatoire avant le début de l’activité. Parmi les pièces à fournir, une promesse d’embauche ou un contrat de travail, précisant que le concerné ne va pas dépasser le nombre d’heures de travail, limité à 18 et une demi-heure par semaine (contre 21 heures pour les autres étudiants étrangers) pour un salaire équivalent généralement au SMIC. Au final, un étudiant algérien qui postule pour un poste de travail quelconque doit réclamer à son employeur potentiel un nombre limité d’heures et quelques jours d’attente avant l’obtention des documents nécessaires. Dans la plupart des cas, sa candidature est rejetée au profit d’étudiants français ou autres. Il faut signaler, à ce stade, que quelques employeurs sont compréhensifs contrairement à la majorité d’entre eux. La seule alternative qui reste serait le travail au noir, notamment à Paris. Nos étudiants qui ont «la chance» de connaître un employeur «généreux» ont intégré toute sorte de corps professionnels, les plus improbables vu leur parcours universitaire. On les retrouve dans les marchés, les chantiers, le nettoyage et plusieurs ont le «privilège» de travailler dans la restauration ou dans des agences de sécurité. La difficulté de trouver un bon travail rémunérateur pénalise doublement les étudiantes. Elles se contentent de faire quelques heures de baby-sitting par semaine, travailler dans les marchés hebdomadaires, faire le ménage chez des particuliers ou, d’une manière très précaire, exercer dans le nettoyage industriel. Certaines, faute de trouver mieux, travaillent comme serveuse dans des restaurants ou dans des bars. Quelques-unes sont complètement désespérées qu’elles n’hésitent pas à offrir des prestations sexuelles payantes. Où sont les études dans tout ça ? Reléguées à un rang inférieur dans la hiérarchie des préoccupations. Les plus pugnaces et persévérants continuent, tant bien que mal, leurs études. Pour ce faire, ils peuvent compter sur des crédits et le soutien financier de leur famille. Ils sollicitent aussi l’aide des associations caritatives, comme les restos du cœur. Le constat et le diagnostic sont alarmants pour ne pas dire choquants. Penchons-nous, maintenant, sur les causes et les dessous de cette situation dérisoire des étudiants algériens et ses conséquences indésirables. Le fardeau des Accords de 1968 L’une des raisons évoquées pour expliquer cette réglementation particulière qui ne touche que les étudiants algériens, certaines préfectures et inspections du travail parlent d’accords signés entre les deux pays qui prévoient «l’interdiction du travail pour les étudiants algériens». «Même ici le pouvoir algérien ne nous laisse pas tranquille. Il nous met des bâtons dans les roues pour nous obliger à rentrer au pays. Nos dirigeants se fichent de notre avenir, car leurs enfants sont tous étudiants boursiers dans les plus grandes écoles du monde. Ils n’ont même pas besoin de travailler», fulmine Farid, étudiant à Paris. Alors, l’existence de ces accords; intox ou réalité ? Après une fouille détaillée dans tous les textes de coopération bilatérale franco-algérienne, le seul accord qui parle clairement du travail des étudiants algériens est l’«Accord de 1968». «Les ressortissants algériens titulaires d’un certificat de résidence portant la mention ‘‘étudiant’’, sous réserve de leur inscription dans un établissement ouvrant droit au régime de sécurité sociale des étudiants, peuvent être autorisés à travailler dans la limite d’un mi-temps annuel pour la branche ou la profession concernée. L’autorisation est délivrée sous forme d’autorisation provisoire de travail sur présentation d’une promesse d’embauche ou d’un contrat de travail», lit-on dans le titre III du protocole d’accord. Donc, la réglementation appliquée actuellement est régie par ce texte, mais il n’empêche aucunement les étudiants de travailler. Contactés, le service culturel de l’ambassade d’Algérie et le service des bourses du consulat d’Algérie à Paris sont formels : «Il n’y a pas d’accord signé par l’Algérie pour empêcher ses étudiants de travailler en France.» Au contraire, nous informent-ils, «la convention de partenariat entre la France et l’Algérie, signée en décembre 2007, vise à renforcer la coopération en matière de recherche scientifique et faciliter la circulation des étudiants et des chercheurs entre les deux pays». Néanmoins, «une minorité d’étudiants, ceux qui sont boursiers de l’Etat algérien, signent une clause dans la convention de bourse, assurant qu’ils rentrent au pays après la fin de leurs études», a-t-on appris. Chose logique, à plusieurs égards. Une législation asphyxiante Les traces de textes de loi se trouvent plutôt du côté français. A titre d’exemple, la «loi de Chevènement», du 27 juin 1997, exigeait aux étudiants étrangers de mettre leurs compétences professionnelles acquises en France au profit du développement de leur pays d’origine. Cette loi a été remplacée par la «loi Sarkozy 2006», du 24 juillet 2006, alors ministre de l’Intérieur, qui prônait l’immigration choisie et la facilitation de l’installation définitive en France des diplômés étrangers. Cette loi a été qualifiée par beaucoup de spécialistes de «positive et encourageante». To^^^^ois, nos étudiants n’ont pas été concernés, puisque les accords du 27 décembre1968 ont la primauté sur toute la législation régissant l’immigration algérienne. Ironie du sort, c’est un ministre sarkozyste de l’Intérieur, Claude Guéant, qui a causé le plus de mal aux étudiants étrangers, en général, et algériens en particulier. La réalité, c’est que la «circulaire Guéant», du 21 mai 2011, a encore son poids sur le terrain bien qu’elle ait été simplement abrogée par le gouvernement actuel. Les employeurs ne prennent pas en considération la circulaire du 21 mai 2012, signée conjointement par les ministres de l’Intérieur, de l’Enseignement supérieur et celui du Travail. Ce nouveau texte prône clairement la facilitation de «l’accès au marché du travail des diplômés étrangers». Les directions des ressources humaines continuent à s’appuyer officieusement sur la «circulaire Guéant», profitant d’une sorte d’omerta juridique et de l’absence de contrôle. «C’est de l’acharnement pur et dur. C’est une discrimination dans le travail», s’indigne Malik O., jeune diplômé en informatique (master 2). Ce jeune Algérois de 24 ans a fait tout son cursus universitaire, depuis la première année licence, dans la même université parisienne. «Je suis arrivé en France en septembre 2007. J’ai obtenu ma licence, mon master 1 et mon master 2 dans la même université. Pour financer mes études et me concentrer complètement sur mes recherches, j’ai opté pour des crédits familiaux d’un peu plus de 5000 euros par an», explique-t-il. A la fin de son stage en avril dernier, Malik a cherché du travail pendant plusieurs mois avant qu’un grand opérateur de téléphonie mobile soit séduit par ses compétences. «Après des tests et quelques entretiens, j’ai été choisi par la DRH de cette entreprise de renom, parmi des candidats français et étrangers. Elle m’a signé une promesse d’embauche avant de l’annuler une semaine après», regrette-t-il avec amertume. Le statut d’«étudiant algérien» de Malik a fait repousser son recrutement, car cette société n’est pas prête à entamer des démarches, de son côté, pour lui changer de statut vers celui de «salarié». «Si une boîte qui dépend d’un géant aussi puissant ne veut pas me faire un changement de statut, il n’y a plus d’espoir», a-t-il conclu. Le scepticisme, né chez les DRH françaises après la «circulaire Guéant», pèse également sur l’avenir des étudiants en fin de cycle. Ces derniers ne peuvent pas valider leurs diplômes qu’avec un stage pratique obligatoire, entre 4 à 6 mois. Là encore, les entreprises refusent de signer des conventions de stage avec les étudiants algériens qui sont contraints de se rabattre sur des stages «grossiers». «Je suis étudiant en master professionnel dans le secteur de la communication des entreprises.J’ai cherché vainement un stage partout afin de valider mon master1. Je suis remonté sur Paris et je l’ai passé dans une association culturelle de quartier», témoigne Saïd, étudiant en communication dans une université sur la Côte d’Azur. Ainsi, la réalité se fige et s’impose en face de ces étudiants algériens qui découvrent, hélas, que la France n’est plus l’eldorado tant espéré. Comme Malik, endetté de plus de 35 000 euros, beaucoup d’autres étudiants veulent rentrer au pays, mais ils ne peuvent pas le faire «avec rien dans la poche ou pire avec des dettes contractées». Ce sera un aveu d’échec honteux pour eux. Donc, certains optent pour l’immigration au Canada, d’autres restent en France grâce au mariage ou au changement radical d’activité. Ces jeunes, destinés à devenir de hauts cadres dans de multiples spécialités, deviennent des ouvriers intérimaires, agents de sécurité, marchands ambulants ou chefs d’entreprise «bidon» dans le nettoyage, le bâtiment ou le déménagement. Les étudiants algériens lancent un SOS aux autorités algériennes et françaises, les implorant de «mettre fin à cette humiliation». A bon entendeur. Source
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Hicham a répondu à un(e) sujet de Deviil-Boy dans Algérie Télécom
c'est pas normal que ton débit est bon toute une semaine, tu devrais aller voir AT pour réclamer -
Algérie Télécom en Partenariat avec Sonelgaz pour vous présenter le Li-Fi si AT fait payer ces abonnés pour utiliser du Wi-Fi alors Sonelgaz aussi devrait faire payer la lumière utilisé pour le Li-Fi.
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je lis le titre " le Li-fi la technologie de Demain" , en Algérie c'est " la Technologie d'après Demain"
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Entretien avec l’actrice Adila Bendimerad "Nos films ne circulent pas en Algérie" La jeune comédienne algérienne Adila Bendimerad vient de remporter le prix de la meilleure actrice au Festival international cinématographique du Caire pour son rôle dans le film Le Repenti. Elle a déjà été primée en Italie et en France pour ce film qui aborde la question de la décennie noire et de la concorde civile. Quel sentiment ressentez‑vous aujourd’hui après avoir remporté le prix de la meilleure actrice au festival international du film du Caire ? J’ai reçu trois prix d’interprétation pour Le Repenti à Angoulême, à Rome puis au Caire. À chaque fois, c’est une grande surprise suivie d’une grande joie. Mais là, c’est particulier. Le Caire est important sur le plan symbolique pour nous, les Algériens. Le Caire a été la capitale du cinéma arabe pendant un moment. C’était donc un vrai plaisir et un vrai bonheur de recevoir ce prix. Est-ce que le succès du Repenti était prévisible, selon vous ? Bien sûr que non. Lorsqu’on tourne un film, on est concentré sur le travail, sur l’histoire qu’on raconte, et sur la manière dont on la raconte. À Cannes, lorsque la première projection s'est terminée, moi je voyais encore le film avec les souvenirs du tournage. Mais soudain, le public s'est mis à applaudir, ça a duré longtemps. Il nous a fait une ovation incroyable. J’ai dit au directeur de la quinzaine que c'est une belle tradition que de faire une telle ovation à une équipe de film. Il m’a répondu : « Non ce n’est pas une tradition. Ça fait cinq ans que je n’ai pas vu ça à la quinzaine. Vous savez Adila, ça veut juste dire qu’ils ont aimé ». J’étais surprise, étonnée et très émue. J’ai compris aussi qu’on ne pouvait pas prévoir quel serait le destin d’un film au moment où il rencontrerait son public. Sachant que le sujet abordé dans ce film est très sensible, avez‑vous eu des appréhensions lorsque vous avez accepté d’y jouer ? La seule chose que j’appréhendais était de ne pas être à la hauteur. Le Repenti est un film très difficile pour les acteurs et le réalisateur. Il nous ramène à des souvenirs assez douloureux. C’est un film très dur sur le plan émotionnel. Pour les comédiens, c’était une épreuve très difficile. On était donc très concentrés et pendant très longtemps. Il n’y a pas eu un moment de relâche pendant le tournage. On parle aujourd’hui d’un cinéma jeune en Algérie… J’y crois beaucoup. Il y a de jeunes cinéastes algériens qui travaillent et dont les films sont récompensés à l’étranger. Mais ils demeurent inconnus dans leur pays et ne sont toujours pas soutenus. Il faudrait que l’Algérie diffuse nos films. Sinon, comment voulez‑vous que les gens sachent qu’il y a vraiment un cinéma algérien ? Trois jeunes réalisateurs m’ont fait des propositions très intéressantes et surtout innovantes. J’espère tourner avec ces jeunes en qui je crois énormément. Cela me passionne. Quels sont les problèmes que rencontre actuellement le cinéma en Algérie ? Les problèmes que rencontre le cinéma algérien sont multiples. Mais pour moi, le problème majeur est un problème de connexion. Je m’explique. Nos films ne circulent pas en Algérie. Ils ne sont pas connectés à leur pays d’origine, ni au public algérien. Ce dernier ne voit pas ses films. Ce qui est aberrant ! Car beaucoup de salles sont encore fermées. Celles qui sont restées ouvertes fonctionnent mal. Le métier de distributeur n’existe pas vraiment. Il y a aussi le fait que beaucoup de films attendent des visas d'exploitation pour pouvoir sortir. Quelques films algériens, notamment ceux de jeunes réalisateurs, ont voyagé dans les festivals et ont été primés. Mais on n’en a trop peu parlé dans la presse. D'ailleurs, lorsque nous avons été sélectionnés à Cannes, la presse écrite algérienne n’en a parlé qu’une semaine après. Alors que chaque pays ayant un film à Cannes s'en vante et en parle dans sa presse. Mais j’espère que ça va bouger. Plus les cinéastes algériens feront des films, plus les œuvres se multiplieront, plus on s’y intéressera. Là, on se connectera tous ensemble. Et notre cinéma y gagnera. Le ministère de la Culture fait-il quelque chose, selon vous, pour faire avancer les choses dans ce domaine ? Je pense qu’il y a une réflexion au niveau du ministère de la Culture. Il n’y a aucune raison pour qu’il boude le cinéma algérien. Mais on verra l’année prochaine, beaucoup de jeunes vont arriver avec des projets très profonds, on va voir comment le ministère va réagir. Quels sont les projets sur lesquels vous travaillez actuellement ? On ne peut pas vraiment en parler pour l’instant. Mais je travaille actuellement sur trois projets. Source
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Hicham a répondu à un(e) sujet de Deviil-Boy dans Algérie Télécom
c'est tous les jours comme sa ou c'est juste aujourd'hui ? -
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Hicham a répondu à un(e) sujet de Deviil-Boy dans Algérie Télécom
Facebook marche ?! c'est le plus important , le jour ou facebook tombera en panne là même Algérie Télécom fera un communiqué sur le DNS , pour l'instant personne ne connait ce que c'est que ce machin "DNS" . et sinon ça donne quoi le Test à 20h ou 22h ?? est-ce le même débit ? Aujourd'hui toute la journée débit merdik chez moi , ça doit expliquer ton débit en algérie tout est Relatif. -
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=R2_CdFAdfjA
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Une enquête internationale place Alger à la 179e place L’Algérie à la traîne en matière de qualité de la vie L’Algérie peine à s’illustrer dans les palmarès mondiaux. Selon l’enquête internationale Mercer 2012 sur la qualité de la vie, publiée ce mardi, Alger, la capitale, n’est pas une ville où il fait bon vivre. Elle perd même une place par rapport à l’année 2011 et se retrouve épinglée en queue de classement à la 179e place sur 221 villes à travers le monde. Selon l’étude Mercer, Alger dépasse de peu La Havane classée 184e, Téhéran (188e) et Tripoli (196e). En revanche, elle est derrière Beyrouth (171e), le Caire (141e), Casablanca (122e), Rabat (114e) et Tunis (109e). Le classement désigne toujours Vienne comme la ville offrant la meilleure qualité de vie. Zurich et Auckland arrivent respectivement en seconde et troisième position. Munich est 4e, suivie par Vancouver. En France, les deux villes classées sont Paris (29e) et Lyon (39e) alors que Dubaï, la première ville arabe, se classe à la 73e place. Au niveau mondial, les villes ayant la plus faible qualité de la vie sont Khartoum (Soudan, 217e); N'Djamena, (Tchad, 218e), Port‑au‑Prince, Haïti (219e), et Bangui, en République Centrafricaine (220e). Bagdad, Irak (221e) arrive au dernier rang. Pour les infrastructures, Alger vient à la 192e place, loin derrière Paris (12e), Doha (102e), Tunis (103e), Rabat (139e). En tête du peloton figure Singapour, suivie respectivement de Frankfurt et Munich. Port au prince ferme la marche à la 221e place. L’enquête Mercer, un des leaders mondiaux du conseil en ressources humaines, en externalisation et en gestion des investissements avec plus de 25 000 clients dans le monde, est basée sur des appréciations et des évaluations détaillées de 39 éléments de qualité de vie, regroupées en dix catégories suivantes : environnement politique et social, environnement économique, environnement socioculturel, considérations médicales et sanitaires, écoles et éducation, services publics et transport, infrastructure urbaine, loisirs, biens de consommation, logement et enfin, environnement. L’enquête, dont les données ont été collectées entre septembre et novembre 2012, est basée également sur des indices comparatifs de qualité de vie entre New‑York, utilisée comme ville référence, et une ville d’accueil. Source encore une Très belle performance de l'algérie, on peut vraiment être fier de notre cher pays --------------------------------------------------------------------------------- parlons maintenant des choses sérieuses, de la première Ville en qualité de vie et qui domine le classement depuis des années , je parle bien de Vienne (Autriche). Qualité de vie : Vienne toujours 1re, Vancouver 5e et Montréal 23e Source
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inutile de trop s'attarder la dessus, les demandes d'argent ne sont pas autorisés sur forumdz.
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et voilà il est 23h29 et hop la connexion devient un peu plus fluide , réglée comme une horloge , honte à Algérie Télécom !
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Louisa Hanoune : des voix d’élus APC au prix de 8 millions de dinars La porte‑parole du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a révélé ce vendredi à Alger que des sièges d’élus, dans le cadre des alliances pour l’élection des présidents des Assemblées populaires locales (APC), se monnayaient entre 2 et 8 millions de DA. Ainsi, dans la commune d’El Biar, une élue du PT a été approchée par des représentants du FLN et s’est vu proposer la bagatelle de deux millions de dinars, ainsi qu’un appartement, selon Mme Hanoune, qui s’exprimait à l’ouverture des travaux d’une session ordinaire du Bureau politique de son parti. Toujours à Alger, dans la commune de Bourouba, le siège d’élu APC atteint le prix de 8 millions de dinars, tandis qu’à Bab Ezzouar, dans la banlieue est de la capitale, il se négocie à 5 millions de dinars. « Cela confirme l’intrusion de l’argent sale dans les institutions de l’État », a‑t‑elle dit. « C’est digne de la mafia sicilienne », a‑t‑elle accusé. Même si elle ne se fait pas trop d’illusions en « raison des contradictions au sein de l’État», Louisa Hanoune s’attend « à une réaction de la justice ». Ce n’est pas la première fois que la présidente du PT dénonce le pouvoir de l’argent. Lors des dernières législatives, elle avait affirmé qu’une centaine de députés « affairistes » siégeaient dans la nouvelle assemblée. Source ça confirme le Rapport de "Transparency International" , L'Algérie est Corrompu jusqu'au Cou !
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la bande passante est détournée la nuit ?? c'est pas normal que chaque jour entre 19h et 23h le débit se dégrade au point qu'il n'y a plus de connexion et quand y a c'est max 10ko/s. et qu'ils viennent pas me dire que c'est à cause de la surcharge (très forte demande la nuit) car plusieurs wilayas n'ont pas internet la nuit et au contraire le débit devrait s'améliorer pas baisser !