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a vous ButterflyOfFire
Djoss a répondu à un(e) sujet de jimesali dans hébergement et noms de domaine (HOSTING)
heww, t'est pas de la famille de BEN YAS ? waasssaaaalllllaaaaaammm -
Gotcha, si tu veux vendre un produit, mets y le prix, ça sera plus simple et ça évite les polémiques inutiles. waaasssssaaaaalllllllaaaaaammm
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si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos lrie ceci? Seleuemnt 55 porsnenes sur cnet en snot cpalabes. Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fitae à l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas? Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuos poevuz le lrie, vtoez oui ! si non vtoez non ! wwwwaaaaassssaaaaallllllaaaaaammmm
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un founisseur d'accès internet Algérien met sa plate forme au service de GHAZA
Djoss a répondu à un(e) sujet de Djoss dans Actu - News High-Tech
ça vien du meme site web : http://www.ghaza.procom.dz/ y'a tout un tas de juifs, qui dénoncent cette "sale guerre". Monde 25/01/09 Introduction au débat sur l’idéologie de l’Etat juif Dans le sillage de l’entretien qu’il nous a accordé, et paru dans notre édition datée du 8 janvier 2009, Pierre Stambul, membre du bureau national de l’Union juive française pour la paix (UJFP), farouche défenseur des droits des peuples, de la justice et de la paix et ardent opposant au sionisme et à toute forme de colonisation, propose, aux lecteurs du «Jour d’Algérie» cette analyse permettant d’aller plus en profondeur dans le débat autour de la très sensible question de l’Etat d’Israël, sa nature, ses ambitions expansionnistes et les enjeux de la récente guerre imposée à la population de la bande de Ghaza. Pourquoi y a-t-il la guerre à Ghaza ? A cause du sionisme par Pierre Stambul, membre du bureau national de l’Union juive française pour la paix (UJFP La guerre sanglante que l’armée israélienne mène à Ghaza n’est pas venue de nulle part. Tzipi Livni a prévenu tous les partis politiques sionistes 48 heures avant l’agression et tous l’ont approuvée, y compris le Meretz (la gauche sioniste). Le mouvement «La Paix Maintenant» et les écrivains dits «de gauche» (mais farouchement sionistes) Amos Oz, Avraham Yehoshua et David Grossman ont aussi approuvé l’invasion en prônant peu après une trêve. Tous partagent le point de vue officiel en Israël : pour eux, le Hamas est un monstre infréquentable contre lequel le droit de tuer va de soi, même s’il y a des «dommages collatéraux». Des Israéliens juifs anticolonialistes s’opposent à la guerre. Ils témoignent et manifestent quotidiennement avec un grand courage. Ils ne représentent qu’une petite minorité (il paraît que 95% des Israéliens juifs étaient d’accord avec la perspective d’attaquer le Hamas) mais leur importance et leur influence dépassent leur nombre.Tous sont non sionistes ou antisionistes. Ils sont les seuls à comprendre la nature du crime commis à Ghaza : crime de guerre et crime contre l’humanité. Il faudra bien qu’on en finisse avec l’impunité de cet Etat-voyou. Cela passera par le boycott d’Israël tant que durera l’occupation et par le jugement des criminels de guerre. Une idéologie totalitaire En Israël, tout est sioniste. L’identité, la mentalité, l’histoire enseignée, les médias, les lois, l’air que l’on respire. Personne ne peut échapper à cette idéologie qui s’insinue partout. Au nom de cette idéologie, 60 ans après la création de l’Etat d’Israël, la moitié des Bédouins du Néguev vivent dans des bidonvilles sans route, ni eau, ni électricité, ni maisons en dur, parce que l’Etat juif ne reconnaît pas leurs villages et leurs actes de propriété. Entre Méditerranée et Jourdain, il y a environ 5 millions de Palestiniens et 5 millions et demi de Juifs. A cause du sionisme, les premiers n’ont aucun droit. Ils sont soit bombardés et massacrés, soit occupés, soit des sous-citoyens dans leur propre pays. L’apartheid s’est installé. Dans l’histoire multiple et diverse du judaïsme, le sionisme a fait irruption, il y a un peu plus d’un siècle et il a la prétention aujourd’hui de s’imposer à tous les Juifs. Si on le critique et qu’on n’est pas juif, on est forcément antisémite. Si on est juif, alors on est un «traître qui a la haine de soi». Et si on est palestinien, le sionisme délivre un droit de tuer, pour la bonne cause bien sûr, la sacro-sainte «sécurité d’Israël». Il n’en a pas toujours été ainsi. En 1948, tous les grands noms du judaïsme américain avec en tête Albert Einstein et Hannah Arendt signent une adresse au président Truman lui enjoignant d’arrêter ou d’expulser le terroriste Menahem Begin qui vient de massacrer 200 villageois à Deir Yassine. Aux yeux du monde, le judaïsme à l’époque, c’est Rosa Luxembourg, Freud, Kafka, Einstein, Arendt. Tous (tes) étaient non croyants (tes) et non sionistes comme la majorité des 6 millions de morts du génocide nazi. Comment est-on arrivé à cette inversion qui fait que les valeurs de fascistes (je ne trouve pas d’autre mot) comme Begin, Shamir, Liberman, Sharon se sont imposées et sont devenues celles des criminels Olmert, Perès, Barak, Livni … ou celles d’un grand nombre de dirigeants communautaires en France. Cette mutation est incompréhensible si on n’examine pas ce qu’est le sionisme : à la fois un nationalisme, une forme de colonialisme, un messianisme qui a fabriqué un «homme juif nouveau». Et une idéologie devenue ultramilitariste, ayant fabriqué un pays devenu la tête de pont de l’impérialisme au Proche-Orient. Une idéologie affirmant offrir un «havre de paix» aux Juifs. Avec à la clé une instrumentalisation du génocide nazi et de l’antisémitisme. Une histoire falsifiée Les sionistes ont fabriqué une histoire fantastique du judaïsme. Alors que la grande majorité des premiers sionistes étaient non-croyants et souvent très hostiles aux religieux, ils sont allés chercher dans la Bible toutes les «justifications» au projet colonial qu’ils étaient en train d’inventer. Depuis des dizaines d’années, il y a consensus chez les archéologues et les spécialistes de l’histoire antique (lire «La Bible dévoilée» de Finkelstein et Silberman chez Bayard). Les épisodes d’Abraham et de Moïse sont totalement légendaires. Mais, ce qui est plus important, la conquête de Canaan par Josué est totalement légendaire. Ce texte qui est une véritable apologie du nettoyage ethnique et du massacre de «l’autre» n’a aucune réalité historique. C’est pourtant lui qui sert de base «historique» à l’installation des colons en Cisjordanie et aux partisans de l’expulsion des Palestiniens (la moitié de la société israélienne y est favorable). Il n’y a aucune trace archéologique de l’existence du royaume unifié de David et Salomon. À l’époque, Jérusalem était un village. Il est très probable que le royaume d’Israël (détruit par les Assyriens) et celui de Juda (détruit par les Babyloniens) aient toujours été des entités distinctes. Et il est surtout avéré que, pendant toute l’antiquité des peuples différents, des langues différentes et des religions différentes ont cohabité sur cette terre qui était un véritable carrefour. Les sionistes qui affirment que c’est la terre du peuple juif et que l’Etat d’Israël est une reconstitution du «royaume unifié» ont entériné une légende religieuse à laquelle ils ne croyaient pas eux-mêmes. Dans la théorie sioniste, le peuple juif a été expulsé de sa terre au moment de la guerre menée par Titus et de la destruction du temple. Il aurait vécu 2000 ans en exil dans des conditions épouvantables jusqu’à ce que le sionisme lui permette de retourner dans son pays. Or cette théorie est une affabulation. Dans «Comment le peuple juif fut inventé» (chez Fayard), Shlomo Sand montre, documents à l’appui, qu’il n’y a eu ni exil ni retour. Au moment de la destruction du temple, il y avait déjà des Juifs à Babylone, Alexandrie, Rome, en Espagne… Après la défaite face aux Romains, c’est la religion qui s’est dispersée, pas le peuple. Donc les descendants des Hébreux sont essentiellement les Palestiniens. Ben Gourion en était d’ailleurs persuadé et il a d’abord songé à les intégrer au projet sioniste. Pendant plusieurs siècles dans l’empire romain puis dans d’autres régions, la religion juive a été prosélyte. Les Juifs ont formé un pourcentage notable des habitants de l’empire romain. De nombreuses conversions ont eu lieu plus tard chez les Berbères d’Afrique du Nord puis chez les Khazars (une tribu turque ayant établi un empire entre Caspienne et Mer Noire). Bref, les Juifs d’aujourd’hui seraient majoritairement descendants de convertis. Quant au retour, à plusieurs reprises, les Juifs auront l’occasion de s’installer à Jérusalem et ils préfèreront aller à Baghdad, Alexandrie ou Salonique. Il n’y a pas de «race» juive et (d’après Sand) même pas de «peuple» juif. La théorie sioniste de l’exil et du retour est complètement une construction idéologique. Les sionistes ont instrumentalisé l’épisode de Massada. Après la prise de Jérusalem par Titus, des Juifs révoltés sont assiégés par les Romains dans la citadelle de Massada au-dessus de la Mer Morte et ils préfèrent le suicide à la reddition. D’où le complexe de Massada : «Personne n’aime les Juifs, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes et ils sont menacés en permanence de destruction». En réalité, les révoltés de Massada étaient des fanatiques religieux (les zélotes) qui ont commencé par massacrer les Juifs qui acceptaient le mélange avec les autres peuples de la région et la souveraineté romaine. Diaspora et antisémitisme Pour les sionistes, la diaspora (=dispersion) est une parenthèse qui se serait terminée avec la fondation de l’Etat d’Israël. C’est faux : la diaspora est le centre de l’histoire des différents judaïsmes. C’est le lieu où la religion s’est structurée. C’est là que les différentes langues juives (judéo-arabe, ladino, yiddish) se sont développées. Le sionisme s’est acharné à faire disparaître les langues, les traditions et les cultures des différentes communautés juives de la diaspora. La plupart des Israéliens ont des noms et des prénoms qui n’ont rien à voir avec ceux de leurs ancêtres. L’Hébreu s’est imposé, la culture israélienne a fonctionné comme un effaceur du passé. Pour fabriquer l’Israélien nouveau, il a fallu «tuer» le Juif (le cosmopolite, le minoritaire, le dispersé). La plupart des Israéliens ignorent tout de leur histoire. Cette absence de mémoire, remplacée par une mémoire falsifiée est une des explications de leur indifférence à «l’autre». Le sionisme décrit la vie en diaspora comme une suite ininterrompue de persécutions et de malheurs qui auraient pris fin avec la création d’Israël. Avec l’idée que le mélange ou l’égalité des droits entre Juifs et Non Juifs est impossible et que les Juifs ne peuvent vivre qu’entre eux dans un Etat juif. Il y a là une vision réductrice. La persécution des Juifs commence sous l’empereur Constantin (IVe siècle ap. JC) quand le christianisme devient religion officielle. Cet antijudaïsme chrétien a des origines multiples : le christianisme est issu du judaïsme, les 2 religions ont longtemps été en concurrence, l’accusation de «déicide» est centrale chez les Chrétiens. Les Juifs subiront de très nombreuses expulsions (la plus importante étant l’Espagne en 1492), de grands massacres (croisades, Ukraine), un enfermement et une discrimination systématiques. Mais il y a eu aussi des périodes plus fastes marquées par une vie culturelle intense. Les sionistes essaient de montrer que les Musulmans ont toujours été les ennemis des Juifs. C’est faux: le statut de «dhimmi» n’est certes pas la citoyenneté, mais il a assuré aux Juifs une paix relative qui n’a rien à voir avec les persécutions chrétiennes. C’est paradoxalement l’Emancipation des Juifs européens (qui commence au XVIIIe siècle en Allemagne et en France) qui provoque la transformation de l’antijudaïsme chrétien en antisémitisme racial. Le Juif personnifie l’obstacle à la construction d’Etats-nations ethniquement purs. Il devient le bouc émissaire de tous les nationalismes. C’est le consensus antisémite en Europe qui permettra le génocide nazi. Le sionisme contre l’Emancipation Vers 1900, une dizaine de millions de Juifs vivent en Europe de l’Est. Ils parlent le yiddish. Les transformations sociales les ont massivement prolétarisés. Une grande partie d’entre eux abandonne la religion et se tourne vers les idées socialistes. Pour beaucoup, la révolution, en émancipant les prolétaires, résoudra la question de l’antisémitisme. Si les principaux partis révolutionnaires mettent entre parenthèse la «question juive», le Bund, parti révolutionnaire juif, propose dans le cadre de la Révolution, une «autonomie culturelle» des Juifs là où ils vivent. C’est à cette époque qu’apparaît le sionisme. Il se présente au départ comme une version juive des différents nationalismes (qui mèneront à la boucherie de 1914 et au nazisme) avec l’équation simple : un peuple = un Etat. Problème : s’il y a à l’évidence un peuple yiddish entre Baltique et Mer Noire, ce peuple a peu à voir avec les Juifs marocains, irakiens ou yéménites. Les sionistes inventent donc le peuple et l’exil. Alors que le Bund crée des milices d’autodéfense contre les pogromistes, les sionistes considèrent que l’antisémitisme est inévitable, qu’il est inutile de le combattre et que la seule solution est la fuite vers le futur Etat Juif. Ils tournent délibérément le dos à toute idée d’égalité, d’émancipation, de citoyenneté, de mélange. Peu avant sa mort, Herzl rencontre un des pires ministres antisémites du tsar en lui expliquant que sionistes et tsaristes ont des intérêts communs : faire partir un maximum de Juifs. Le pogrom de Kichinev ou l’Affaire Dreyfus sont utilisés pour convaincre que tout combat en Europe est inutile. L’Affaire Dreyfus a pourtant montré que l’antisémitisme concernait toute la société et que la victoire des forces de progrès était possible. Les sionistes, très souvent laïques, voire athées, s’emparent du texte biblique et décident de s’installer en Palestine. C’est le fameux mensonge fondateur de Zangwill(«une terre sans peuple pour un peuple sans terre»). Leur installation commence donc par la négation de l’existence du peuple palestinien. Du coup, ils fabriquent une histoire de la Palestine, où paraît-il, les Juifs auraient vécu sans interruption depuis 4000 ans. C’est bien sûr faux. Après la dernière révolte juive contre les Romains (Bar Kochba), il y a très peu de Juifs en Palestine, la population étant devenue chrétienne puis musulmane. Vers 1900, les Juifs forment 4% de la population en Palestine, ce qui est la même proportion que dans les pays voisins. Ils sont majoritairement arrivés au XVIIIe siècle, sont très bien intégrés et sont contre toute idée d’Etat Juif. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, les sionistes seront très minoritaires parmi les Juifs. Ceux qui émigrent pour fuir la misère ou l’antisémitisme partent très majoritairement vers les Etats-Unis ou l’Europe occidentale. Toutes les élections qui ont lieu en Pologne ou en Lituanie dans les ghettos montrent que les partis sionistes sont minoritaires. En 1939, il n’y a que 3% de la population juive mondiale qui est partie en Palestine. Le sionisme n’est pas au départ religieux. Le courant religieux sioniste (celui du rabbin Kook) sera au départ très faible, les religieux étant majoritairement sceptiques, voire très hostiles au sionisme. Ils considèrent que l’Etat Juif se substituent au Messie. Il faudra attendre 1967 avec l’émergence du courant national-religieux pour voir l’horrible synthèse entre colonialisme et intégrisme. Du colonialisme au nettoyage ethnique Les sionistes sont arrivés en Palestine avec le même complexe de supériorité vis-à-vis des autochtones et le même comportement que les colonialistes de l’époque. Il s’agissait d’accaparer le maximum de terre et de repousser, confiner, domestiquer le peuple qui vivait là. Au musée de la ville israélienne de Hadera, il y a une grande photo avec la légende : «Moshé X, fondateur de Hadera». Autour de l’individu en question, il y a une quinzaine de Palestiniens, mais les fondateurs du musée n’ont même pas vu qu’ils existaient. Tout sera bon pour acquérir des terres. L’argent qui sert à «arroser» quelques féodaux et à valoriser les terres mais aussi la force. La déclaration Balfour marque la complicité entre le sionisme et l’impérialisme. Pour Balfour qui partage les préjugés antisémites de l’époque, c’est un coup double : faire partir les Juifs d’Europe et assurer une présence européenne au Moyen-Orient où l’empire ottoman s’est effondré. Quand les Palestiniens réalisent que l’immigration juive a pour projet d’établir un Etat juif et de les déposséder de leur propre pays, ils se révoltent (1929, 1936) et c’est l’armée britannique qui les écrase. Pendant toute cette période, les sionistes construisent un véritable appareil d’Etat et ils sont totalement absents de la lutte contre la montée du nazisme. Pire, l’aile droite du sionisme dont le chef de file est Jabotinski, s’inspire directement des idées fascistes (il a vécu en Italie et admirait Mussolini) pour proposer dès 1930 l’expulsion des Palestiniens au-delà du Jourdain. Le groupe Stern d’Itzhak Shamir (futur premier ministre d’Israël) avait une telle conscience du génocide nazi qu’il assassinera des soldats britanniques jusqu’en 1942 et tentera de négocier avec les Nazis. Les sionistes ont joué un rôle confidentiel dans la résistance juive au nazisme qui a été principalement communiste ou bundiste. Et pourtant, c’est le génocide (qui a tué la moitié des Juifs européens et a fait définitivement disparaître le Yiddishland) qui va permettre la fondation d’Israël. Les Européens, les Américains et les Soviétiques se rallient dès 1945 à l’idée d’un Etat Juif. Ils vont faire payer au peuple palestinien pour un crime européen (l’antisémitisme et le génocide) dans lequel il n’a pas le début d’une responsabilité. On sait de façon sûre, les nouveaux historiens israéliens (surtout Ilan Pappé) ayant confirmé ce que les Palestiniens ont toujours dit, que l’expulsion de 800 000 Palestiniens en 1948 était préméditée. Ce nettoyage ethnique (la Naqba) est un crime et aucune paix ne pourra être signée sans la reconnaissance de ce crime qu’il faudra, d’une façon ou d’une autre, «réparer». Or, pour le sionisme, cette reconnaissance est une négation du projet fondateur et de la prétendue légitimité de ce projet. Dans le film sioniste «Décryptage», Ehud Barak interviewé le dit : «J’aurais voulu qu’Arafat reconnaisse la légitimité du sionisme». Bref, il aurait voulu sa capitulation. On est au cœur du problème. Le sionisme est bien un obstacle à la paix. Ajoutons puisque aujourd’hui le Hamas est accusé de terrorisme que le terrorisme sioniste pendant la guerre de 1948 a été bien réel avec l’Irgoun et le groupe Stern (mais la Haganah, armée officielle occupait les zones «nettoyées» par les terroristes). De Deir Yassine à l’attentat contre l’hôtel King David ou à l’assassinat du comte Bernadotte, on voit que les auteurs de ces crimes sont devenus plus tard Premiers ministres. Et aujourd’hui, on découvre que Tzipi Livni qui a travaillé dans les services secrets est la responsable d’un attentat anti-palestinien à Rome. La politique du fait accompli et l’instrumentalisation du génocide Après 1948, les sionistes ont accéléré la stratégie qui leur avait si bien réussi en se faisant reconnaître par l’ONU sur des frontières qui n’avaient plus rien à voir avec celles du plan de partage : la stratégie du fait accompli. Dès 1949, les terres et les propriétés des Palestiniens chassés sont confisquées. Alors qu’Israël a dû reconnaître dans les conventions d’armistice de 1949 le droit au retour des Palestiniens, ce droit va immédiatement être nié et même présenté comme une revendication inacceptable mettant en question l’existence d’Israël. En 1948, il y a moins d’un million de Juifs dans le nouvel Etat. Tout va être mis en route pour provoquer partout l’émigration. Sionisme et antisémitisme vont devenir complémentaires, le second alimentant le premier et le premier cherchant à provoquer le second quand l’émigration se tarit. L’arrivée d’un million de Juifs du monde arabe est le résultat conjoint d’une propagande très intense pour les arracher de pays où ils vivaient depuis des siècles et de l’attitude de la plupart des gouvernements arabes ravis de ces départs. Pour les Juifs venus des pays de l’Est, la persistance d’un antisémitisme d’Etat a provoqué une rupture avec le communisme (qui avait la sympathie d’un très grand nombre de Juifs) et l’émigration vers Israël. Le fait accompli va prendre un tour nouveau en 1967. On sait maintenant que les menaces de Nasser ont été un prétexte. La guerre, l’annexion et la colonisation étaient programmées. L’annexion (par vote de la Knesset) de Jérusalem Est a lieu dès 1967. Elle sera suivie de celle du Golan. Ne disposant pas du «personnel» pour créer des colonies, les travaillistes au pouvoir vont littéralement créer le courant national-religieux (qui représente aujourd’hui 1/4 de la population) en leur offrant des colonies. C’est Ygal Allon (réputé être «de gauche») qui est à l’origine de cette colonisation. 500 000 Israéliens vivent aujourd’hui dans les territoires conquis en 1967 et tout a été fait pour faire disparaître la «ligne verte» et rendre l’annexion définitive. Le sionisme a eu au départ une attitude ambiguë vis-à-vis du génocide. Les rescapés ont été très mal reçus en Israël (aujourd’hui, beaucoup vivent sous le seuil de pauvreté). On opposait leur prétendue résignation à l’Israélien fier de lui qui défrichait, se battait et «transformait le désert en jardin». Mais très rapidement, le gouvernement a vu le parti à tirer du génocide. D’où la création du musée Yad Vashem, l’arrestation et l’exécution d’Eichmann. Plus tard le «devoir de mémoire» est devenu obligatoire. Aujourd’hui, ce devoir est devenu une horreur. Il y a d’abord l’idée que les Juifs ont été, sont et seront toujours des victimes. Les Israéliens ont «peur de ne plus avoir peur», ça les obligerait à examiner l’impasse meurtrière dans laquelle ils se trouvent. Quand les dirigeants israéliens ont négocié avec les Palestiniens, le seul sujet qu’ils voulaient traiter, c’était la sécurité de l’occupant. Pour eux, le «peuple élu», c’est celui qui a tous les droits. Les sionistes célèbrent les quatre Israéliens tués par les Qassams du Hamas et se moquent totalement des 1 000 morts de Ghaza. Israël est le pays (après la Turquie) où il y a le plus de négationnistes du génocide arménien, le seul génocide valable étant celui des Juifs. Couramment on présente les Palestiniens comme les héritiers du Nazisme. Arafat a été qualifié de «nouvel Hitler» et Begin a dit en 1982 en lançant ses troupes sur Beyrouth qu’«il avait l’impression d’attaquer le bunker d’Hitler». Sharon a déclaré lors du 60e anniversaire de la libération d’Auschwitz que cela prouvait que «les Juifs ne pouvaient se défendre que par eux-mêmes», bref que tout était permis. Pour les rescapés et leurs descendants (dont je suis), cette instrumentalisation est obscène. Le sionisme prétendait apporter un «havre de paix» aux Juifs persécutés. Il a fabriqué un projet criminel pour les Palestiniens mais suicidaire pour les Israéliens et même pour les Juifs. S’il y a bien un pays où les Juifs sont en insécurité, c’est Israël et il en sera ainsi tant que la destruction de la Palestine se poursuivra. Israël est devenu un pays odieusement militariste. On dit d’ailleurs que ce n’est pas un pays doté d’une armée mais «une armée dotée d’un Etat». D’ailleurs, la plupart des dirigeants politiques viennent de l’armée ou des services secrets. Et Israël est devenu une tête de pont de l’Occident au Moyen-Orient dans le cadre du «choc des civilisations». Ce pays incarne l’Occident face aux «barbares». D’où le «permis de tuer» à Ghaza qui a été octroyé. Le sionisme a gommé les différences idéologiques Les différents gouvernements d’Union nationale en Israël ou le fait qu’en France, le CRIF soutienne inconditionnellement toute politique israélienne montrent qu’il n’y a aucune différence entre sionistes de droite et sionistes «de gauche». Les premiers ont toujours été «sincères». Ils sont depuis 70 ans pour le nettoyage ethnique et l’expulsion des Palestiniens. Les seconds ont fait la même chose mais sans oser l’avouer. La «gauche» sioniste était au pouvoir au moment de tous les crimes commis par la Palestine : la Naqba, la colonisation, la construction du mur de l’Apartheid. Jamais les sionistes n’ont accepté les Palestiniens comme des égaux. Le processus d’Oslo a échoué parce que tous les courants sionistes exigeaient une capitulation des Palestiniens, une renonciation à tous leurs droits, l’acceptation de bantoustans éclatés qu’on aurait baptisés Etat palestinien. Il n’y a pas de sionisme à visage humain. Le crime commis à Ghaza et l’indifférence en Israël face à ce crime en sont une preuve supplémentaire. La paix fondée sur l’égalité des droits et la justice passera par une «désionisation» d’Israël, une rupture avec cette fuite en avant criminelle. Le sionisme a rendu plus que malade la société israélienne devenue autiste et complice de crimes. Alors, nous dira-t-on, vous autres antisionistes, vous êtes pour la destruction de l’Etat d’Israël ? Ne mélangeons pas les choses. Les Israéliens juifs (5 millions et demi de personnes) forment aujourd’hui un peuple et ils resteront. Mais aucune paix n’est envisageable sans une égalité totale, politique et économique entre les peuples de la région. Quelle que soit la solution envisagée (un ou deux Etats), cela devra être les sociétés de tous leurs citoyens. Donc oui l’existence d’un «Etat Juif» (Etat français, ça sonne mal et ça rappelle de mauvais souvenirs, n’est-ce pas?) où les Non Juifs sont des sous- citoyens est un cauchemar. Un Etat ne peut pas être à la fois juif et démocratique, c’est une contradiction. La paix passe par le respect de la citoyenneté de tous et par celui des droits humains fondamentaux. Le sionisme est une idéologie criminelle. Et c’est une catastrophe pour le judaïsme quel que soit le sens qu’on donne à ce terme. En mélangeant sciemment juif et sioniste et en assimilant toute critique d’Israël à l’antisémitisme, les sionistes transforment «l’antiisraélisme» (selon la formule d’Edgar Morin) en antijudaïsme. Ils se comportent en véritables pyromanes. Il est temps que la parenthèse sioniste se referme. Pierre Stambul (Bureau national de l’Ujfp) Marseille le 15 janvier 2009 -
il sagit de PROCOM: un FAI engagé, et pas juste là pour se faire de l'argent, mais aussi pour jouer un role cytoyen ! qui met ses espaces d'hébergement a disposition du Comité Populaire algérien de Soutien à la Palestine et d'appui à la Résistance il est visible en arabe et en français sur : http://www.ghaza.procom.dz/ on y apprend, par exemple, qu'il a été rédigé une LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE. waaasssssaaaaalllllllaaaaaaaammmmm
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[AT] Lancement d'un appel d'offres Wimax
Djoss a répondu à un(e) sujet de mouzak dans Wifi-Wimax - واي فاي ويماكس
rien a voir : mawdjet est un partenariat entre AT et Anwarnet, qui était a la limite de fermer boutique, suite a deux années de sur place, et des financiers qui voulaient se retirer de ce marcher pour se concentrer sur les services aux opérateurs télécom. Mais, heureusement pour ces étrangers du moyen orient, la vache AThée ( ou a lait) est bien là pour les sauver . waaaassssssaaaaaalllllaaaaammmm -
Le site Web du RCD a expiré !
Djoss a répondu à un(e) sujet de ButterflyOfFire dans hébergement et noms de domaine (HOSTING)
ben voyons... un ".net" comme un fournisseurs de services internet waaassssaaaalllllaaaaammm -
Etude comparative sur les prix de l'ADSL dans le monde arabe
Djoss a répondu à un(e) sujet de elpaso dans Algérie Télécom
ben voyons....et l'inde ? alors ? vous lavez oubliée ? ils ont pas été colonisés ? wwwaaaasssssaaaaalllllaaaaammm -
Microsoft Windows XP [version 5.1.2600] © Copyright 1985-2001 Microsoft Corp. C:\Documents and Settings\Djoss>ping -t http://www.google.com Envoi d'une requête 'ping' sur http://www.l.google.com [216.239.59.147] avec 32 octets de données : Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=102 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=102 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=99 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=100 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=98 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=100 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=103 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=100 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=101 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=99 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=101 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=99 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=101 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=100 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=100 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=103 ms TTL=242 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=103 ms TTL=240 Réponse de 216.239.59.147 : octets=32 temps=104 ms TTL=242 Statistiques Ping pour 216.239.59.147: Paquets : envoyés = 18, reçus = 18, perdus = 0 (perte 0%), Durée approximative des boucles en millisecondes : Minimum = 98ms, Maximum = 104ms, Moyenne = 100ms Ctrl+C ^C C:\Documents and Settings\Djoss>ping -t http://www.yahoo.fr Envoi d'une requête 'ping' sur http://www.euro.fyeu.b.yahoo.com [217.146.186.51] avec 3 2 octets de données : Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=102 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=99 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=98 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=97 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=100 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=97 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=99 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=97 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=97 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=99 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=100 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=98 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=97 ms TTL=52 Réponse de 217.146.186.51 : octets=32 temps=101 ms TTL=52 Statistiques Ping pour 217.146.186.51: Paquets : envoyés = 14, reçus = 14, perdus = 0 (perte 0%), Durée approximative des boucles en millisecondes : Minimum = 97ms, Maximum = 102ms, Moyenne = 98ms Ctrl+C ^C ^C C:\Documents and Settings\Djoss>ping -t http://www.forumdz.com Envoi d'une requête 'ping' sur http://www.forumdz.com [91.121.24.26] avec 32 octets de données : Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=82 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=83 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=83 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=82 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=85 ms TTL=54 Réponse de 91.121.24.26 : octets=32 temps=84 ms TTL=54 Statistiques Ping pour 91.121.24.26: Paquets : envoyés = 12, reçus = 12, perdus = 0 (perte 0%), Durée approximative des boucles en millisecondes : Minimum = 82ms, Maximum = 85ms, Moyenne = 83ms Ctrl+C waaaassssaaaallllllaaaaammmmm
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Laxisme des forces de l'ordre a Berriane waaassssaaaalllllaaaaammmmm
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"Qui est derrière les provocations de Berriane? " Auteur: Publié: 01/02/09 En l'espace d'une année, la commune de Berriane a connu trois explosions avec, chaque fois, mort d'hommes. Les autorités locales ne semblent avoir tiré aucune leçon de ces évènements qui connaissent pourtant les mêmes prémices et les mêmes déroulements. L'intervention des services de sécurité se fait toujours avec un retard suspect et ceci malgré les interpellations des partis politiques ou de simples citoyens. Les trois communiqués du Bureau régional de Ghardaïa, publiés en moins de 24 heures, annonçaient pourtant le pire. Il est vrai que l'administration locale a ses priorités : violer la loi et destituer illégalement le Président d'APC d'une ville qui n'a pas fini d'enterrer ses enfants à cause de la perversité de l’Etat. Nouvelles émeutes à Berriane après un calme précaire et des scènes de violence quasi-quotidienne Vendredi 30 janvier 2009 , par rcdghardaia Presque simultanément dans les quartiers de la Poste et de Baba-Saad, des affrontements ont éclaté de nouveau à Berriane après la prière du vendredi, le 30 janvier 2009. Le scénario des évènements des 19 et 20 mars 2008 s’est reproduit. Depuis la rentrée scolaire, il ne se passe pas un jour sans que des élèves des deux lycées du quartier Madagh ne soient la cible de jets de pierres. Les mesures approximatives prises par les responsables n’ont fait qu’aggraver la situation qui devient de plus en plus tendue. Le café Mazigo, situé au grand rondpoint de la route nationale n°1, est souvent ciblé par le même procédé. La gravité de l’évènement s’est accélérée, notamment ces deux dernières semaines. Plusieurs citoyens ont été tabassés sans qu’aucune poursuite ou arrestation des auteurs ne soit engagée alors que les auteurs de ces forfaits sont identifiés par les victimes. Juste après l’éclatement des affrontements dans les quartiers de la Poste, en face du siège du commissariat, des émeutiers prennent d’assaut des maisons en les saccageant, les pillant et les incendiant avant de quitter tranquillement les lieux sous le regard complice des policiers. Le lancer des bombes lacrymogène en direction de la foule de façon peu convaincante fait plutôt la tension au lieu de la calmer. En quelques minutes, des centaines de citoyens s’affrontent et des dizaines de blessés sont enregistrés. Au quartier Baba-Saad où se trouve un poste fixe de la police, une panique générale s’est emparée des citoyens, perplexes, désabusés et livrés à eux-mêmes. Ils le disent sans nuance : «il faut se détromper, nous sommes livrés à nous même. Regardez, ils ne font rien pour disperser la foule ». Quatre heures après le début des émeutes, les affrontements continuent et la situation laisse craindre le pire pour la tombée de la nuit. Un jeune mozabite a été assassiné samedi 31 janvier 2009, par rcdghardaia Les affrontements qui ont éclaté de nouveau à Berriane cet après-midi du 30 janvier 2009 viennent d’enregistrer une perte humaine. Un jeune de 16 ans a été assassiné d’un coup de sabre par un groupe d’individus armés d’armes blanches et de barres de fer. Ceux-ci ont attaqué une maison habitée où la famille résidente a dû son salut en sautant de la terrasse du voisin. Des jeunes sont venus au secours de cette famille après le refus des policiers, postés à la place Baba-Saad, d’intervenir. Mais la victime a rendu l’âme aux urgences après avoir réussi à sauver cette famille. Le pire que nous craignions pour la nuit s’est produit bien avant ! Rappelons que juste après la prière du vendredi et presque simultanément des émeutes ont éclaté dans les deux quartiers de la Poste et de Baba-Saad. Le café Mazigo situé au grand rondpoint de la route nationale n°1 ainsi que celui d’en face ont été pillés et complètement saccagés avant d’être réduit en cendres. Toujours dans le même quartier des maisons et des magasins ont été pillés, saccagés et incendiés sous le regard des policiers. La route nationale était coupée aux usagés pendant tout l’après-midi par des émeutiers. Les policiers qui sont à chaque fois priés par des citoyens d’intervenir n’avaient qu’une seule réponse : « On n a pas encore reçu d’ordre » ! L’intervention de la gendarmerie, qui maîtrisait les quartiers chauds d’El-Madagh et Kef-Hammouda lors des évènements de mars 2008, a évité tout incident dans ces deux quartiers. C’est grâce à l’intervention de ce corps en fin d’après-midi que la circulation a été rétablie sur la RN 1. Rappelons que le 22-07-2008, des scènes pareilles ont eu lieu à Berriane avec une complicité flagrante des policiers, phénomène signalé et condamné par les citoyens. Trois jeunes avaient échappé de justesse, à l’époque, à une mort certaine. Ceci n’a pas été pris en considération et cette passivité/complicité s’inscrit dans la durée ! Dans un tel climat d’insécurité générale et d’absence totale de confiance dans la police par les citoyens, tous les scénarii sont envisageables et le pire reste toujours à craindre. Berriane passera l’une des plus longue nuit de son existence ! Le massacre continue samedi 31 janvier 2009, par rcdghardaia Entamés par une première perte humaine, les affrontements de Berriane, commencés hier, ont à nouveau enregistrés une autre victime. On compte des centaines de blessés, deux morts (le deuxième, Kerrouchi Omar enseignant âgé de 48 ans, exécuté avec une rare sauvagerie) et d’importants dégâts matériels. Sachant que Berriane dispose d’un commissariat et d’au moins deux sûretés urbaines comme nouveau dispositif fixe ainsi que six infrastructures abritant le maximum de force d’intervention appartenant à l’URS et le GIR, on se pose la question sur la passivité de ces éléments de sûreté. Malgré, en effet, la forte présence des forces de l’ordre, aucun corps de sécurité n’a pu ramener le calme. Ils sont même passifs devant l’utilisation d’armes à feu et d’une grenade qui a blessé grièvement un jeune. Pris de panique dès qu’il a su que la route nationale est bloquée, le Wali a ordonné d’utiliser tous les moyens pour le déblocage de l’axe routier. Il ne veut pas que les passagers utilisant la route nationale n°1 soient témoins de la liquidation physique de cette société. La population est livrée à elle-même. Les affrontements sont presque ininterrompus depuis hier. Les policiers qui disent à qui veut les entendre : « on n’a pas reçu l’ordre de la part du wali pour intervenir » !, se contentant de suivre passivement le spectacle en lançant de temps en temps des bombes lacrymogène pour justifier leur présence. source : http://www.rcd-algerie.org/details_article.php?Rid=167&Aid=1078&titre=\ waaassssaaaalllllaaaaammmm
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j'aime bien le haud débit waaasssssaaaaallllaaaammm
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lacom tjrs vivante ?
Djoss a répondu à un(e) sujet de mednadir dans Internet via WLL - الإنترنت عبر WLL
La société Lacom (Consortium algérien des télécommunications) est reprise par la société VTEL Jordanie, spécialisée dans l’industrie des télécommunications. Un accord de cession de Lacom à VTEL Holdings devrait être signé aujourd’hui. Chérif Bennaceur- Alger (Le Soir)- Trois mois après la dissolution de Lacom, décidée en assemblée générale des actionnaires début novembre 2008 au Caire, le sort du second opérateur de téléphonie fixe en Algérie semble définitivement scellé. Détenue à parts égales par les sociétés Orascom Telecom et Egypt Telecom, Lacom vient d’être reprise par la société VTEL Jordanie, filiale de la multinationale VTEL Holdings, acteur et investisseur leader dans l’industrie des télécommunications et basé à Dubaï Emirats arabes unis). L’accord de cession, en partenariat avec AnwarNet, fournisseur privé d’accès à Internet et de VOIP et membre du groupe moyen-oriental Munir Sukhtian International, devrait être signé aujourd’hui. Ce qui étaye les propos du P-dg d’Orascom Telecom, Naguib Sawiris, qui avait déclaré en novembre dernier qu’«il y a (actuellement) des pourparlers avec une société qui souhaite racheter Lacom…». Cet accord relance ainsi les activités de Lacom qui avaient été suspendues après deux années de déconvenues pour ce consortium. Détenteur de la seconde licence de téléphonie fixe depuis 2006, pour une offre de 65 millions de dollars, Lacom voulait contribuer à combler le déficit criant en ce domaine et a commencé par déployer son réseau de téléphonie et d’Internet dès 2006 et offrir un accès quasi gratuit à ces deux services. Mais en deux ans d’activité, Lacom n’a pu attirer que 20 000 abonnés seulement et n’a pas rempli ses obligations contractuelles en termes de couverture et de déploiement technique. Voire, Lacom a subi des pertes financières (42 millions de dollars en 2006) et n’a pas pu honorer ses engagements en matière d’interconnexion avec les autres opérateurs de téléphonie. Des déconvenues que les actionnaires de Lacom ont imputées à l’Etat algérien, à travers l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) qui a refusé leurs demandes en matière de dégroupage et utilisation de la technologie du Wimax. Comme les responsables de Lacom ont ciblé le manque de respect des règles de la concurrence. A ce propos, le manager d’Orascom Telecom avait affirmé : «Dès que nous avons commencé notre activité, Algérie Télécom (l’opérateur public de téléphonie) a réduit ses prix en dessous du coût. Nous avons porté plainte. En vain.» A contrario, des observateurs ont considéré que Lacom avait fait un choix erroné en utilisant le procédé de téléphonie sans fil WLL, une technologie chinoise offrant une prestation bas de gamme et un accès peu rapide à l’Internet (50kb/s). src :http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/01/28/article.php?sid=78706&cid=2 Algérie : solution en vue pour l’opérateur fixe Lacom Par rafik tadjer , le 28/01/2009 | réactions : 2 975 visites Après plusieurs mois de négociations, Orascom Telecom et Egypt Telecom sont parvenus à accord de principe avec VTEL Holding Ltd., une société multinationale de télécommunications basée à Dubai, pour la vente de la totalité de l'opérateur de téléphonie fixe privé algérien Lacom. Ce dernier est détenu à parité (50% chacun) par les deux groupes égyptiens. Le PDG de Lacom devrait quitter ses fonctions le 15 février prochain. On ignore si ce départ est lié à la vente de l'opérateur. Selon nos informations, les deux parties sont parvenues à un accord de cession mais avant la signature de la vente, elles devront attendre le feu des autorités algériennes. Le gouvernement algérien, via l'Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT), entend en effet procéder dans un premier temps à un audit de Lacom avant d'autoriser sa cession. Les auditeurs de l'ARPT vont commencer leur travail dès samedi prochain, selon une source proche du dossier. Durant plusieurs jours, ils vont se concentrer notamment sur le respect par Lacom des obligations du cahier des charges signé avec le gouvernement algérien lors de l'attribution de la licence fixe. Lacom, dans le cadre de ce contrat, s'était engagée à atteindre des objectifs de couverture du territoire national avec son réseau. Or, depuis au moins deux ans, l'opérateur a cessé ses activités. Ce non respect du cahier des charges vont donc entrainer des pénalités dont on ignore le montant. Ces pénalités seront déterminantes pour fixer les conditions et le prix de vente de Lacom. Détenteur de la seconde licence de téléphonie fixe, acquise en 2005 pour 65 millions de dollars, l'opérateur privé emploie 163 personnes, dont seulement six expatriés. Lacom avait été officiellement dissoute en novembre dernier lors d'une assemblée générale de ses actionnaires tenue au Caire. Mais, selon une source proche du dossier, le Procès verbal de dissolution n'a jamais été transmis au gouvernement algérien. Lacom a maintenu ses effectifs en Algérie et continue à leur verser leurs salaires. L'acquisition de Lacom va permettre VTEL Holdings de renforcer ses positions en Algérie où elle est déjà présente via trois filiales : Anwarnet (Fournisseur d'accès Internet), Noornet (services internet et sms) et Watanserv (infrastructures télécom). src : http://www.tsa-algerie.com/Algerie---solution-en-vue-pour-l-operateur-fixe-Lacom_5988.html waaassssaaaallllaaaammm -
tu as tout simplement révé de tous les gouvernants de l'algérie qui sont contents de s'assurer le troisième mandat. waaassssaaaaalllllaaaammmm
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Allo Divona ? une réponse ? un avis ? vous ete la bienvenu, pour éclairer nos chers lecteurs. waaasssssaaaalllllaaaaammmm
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Samir, on fait passer le message, chef ! waassssaaaalllllaaaaammmm
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SOFRECOM ALGERIE Recrute INGENIEURS RESEAUX Formation requise - Ingénieur en télécommunications. Qualités requises - Maîtrisant parfaitement les architectures réseaux GSM, GPRS et UMTS. - Minimum 3 ans d'expérience réussie dans le domaine : chef de projet, expertise BSS, NSS, optimisation RF, O&M, NOC. Condition - Missions à l'international Avantages - Rémunération attractive Merci d'envoyer votre CV et votre lettre de candidature a : recrutement@sofrecom.dz Informations complémentaires Type de contrat : CDI Année d’expérience : 3 à 5 ans Niveau d'étude : Bac +5 Région : Alger Pays : Algérie Contacts Email : recrutement@sofrecom.dz
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Pourquoi les algériens se fâchent pour rien ???
Djoss a répondu à un(e) sujet de BEN.YAS dans Humour فكاهة
ça n'a rien a voir ni avec les "sang" ni avec autre chose d'ailleurs : c'est tous simplement parce qu'ils sont mal éduqués, et souvent dans la violence, verbale ou physique. waaaassssaaaalllllaaaaamm -
Pourqoui les femmes algerienne parle trop pour rien ???
Djoss a répondu à un(e) sujet de BEN.YAS dans Humour فكاهة
alors les phallocrates, on se lache ? waaasssaaaalllllaaaammm -
ok. israel israel israel israel wasssaaaaaalllllaaaaammm
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je ne vois pas l'interet d'acheter des racks internes ? autan acheter des SSD en 3,5" ? non ? en plus, vu le prix du SSD il vaut mieux attendre que ça baisse : ça coute le prix d'un pc complet ! tu a un HDD à 500 Go pour quatre fois moins cher ( ou bien 2000 Go pour le mme prix ) waaasssaaaalllllaaaamm
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biensur que non jazjaz. là est tout le problème waaassssaaaalllllaaaammm
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A mon avis : parcours ce forum, et dans l'historique tu comprendra : le régulateur, comme vous dite , ne changerait pas les règle du jeu : Orascom (qui et un petit peu plus puissante que monaco telecom, avec tout le respect, avec environ 1000 fois plus d'aboné !) essaye d'avoir cette licence depuis 2007 ! il se vendrait au moins 100 million de dollar d'aprè mr Benyellesse, bien au dessus des moyens de divona (ou monaco) avec ses 2 millions de la licence VSAT et ses résultats en perte, publiés par l'ARPT depuis 2004 ! et ses 0,05 % de part de marché ! impossible, répond l'ARPT : Vocalone (membre assidu de ce forum) s'est associé a Wataniya, avec ses 500 MILLIONS DE DOLLARS DE CAPITAL , pour un échange d'actions d'une valeur de 8 millions de dollar : refus d'association de l'ARPT : les licences sont au noms des personnes, non associables et ce malgré l'appui du précédent DG de l'ARPT Gaceb, président de consil de Wataniya . Laste Net Algéria , tutulaires de la licence, voulait s'associé a une société francaise bien connue, l'ARPT a reffusée. Lastee net a dit qu'alors il payerait pas la redevance de la licence, tant qu'il n'aurait pas l'autorisation de s'associer, pour metre la pression : l'ARPT lui a retiré sa licence !DECISION N° 12 /SP/PC/ARPT DU 15 AVRIL 2007, RELATIVE A LA SUSPENSION TOTALE DE L'AUTORISATION n° 04/SP/PC/ARPT/2005, VOIP DELIVREE A LA SOCIETE LAST NET ALGERIE : impossible, répond l'ARPT : SLC a vendu il y a plus d'un an sa société a Koréa Telecom pour la modique somme de 34 Millions de dollars. Voila plus d'un an que Koréa Telecom, un peu plus puissant que Monaco Telecom, essaye de régulariser la situation : l'ARPT à répondu que les "licences" sont incessibles. pas plus que Divona ne peut pas vendre sa licence de sa propre initiative ou ceder des actions sans en réfere a l'ARPT. MEDSAT, il y a 11 titulaires d'autorisation VOIP et non 10. par contre, seuls 5 de ces 11 disposes de fréquence Wimax, et trois seulement de ces cinq peuvent faire du wimax en dehor d'Alger ! Les bande passante atribuées sont de 7 méga : (sauf SLC ). D'après ces memes opérateurs, on ne peut pas aller loin en nombre d'abonnés avec seulement 7 méga : il on tous demandé un augmentation depuis 2007 ! : sous pression du lobby: rien n'a été obtenu. aucun plan commercial ne tient la route avec 7 méga, selon un rapport envoyé à l'ARPT et édité par le consortium d'opérateurs : Icosnet + Anwarnet + Wataniya comence par potassé ce forum, et plus ,tout ce qui parle de licence, de wimax, d'ISP si tu veu plus d'infos, n'hésiter pas : nous sommes la pour ça et sois sur ce forum comme chez toi waassssaaaaalllllaaaaaammmmm
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Monaco Telecom veut se concentrer sur son offre Wimax en Algérie
Djoss a répondu à un sujet dans Wifi-Wimax - واي فاي ويماكس
il se fout de la gueule du monde ? il se retire de la Tunisie , et il veut nous faire croire qu'il ne se désengage pas ??? Encore un colon, qui se croit chez dar khali moh ! de quel droit il va faire du wimax en Algérie ??? ils sont même pas opérateur ?? waaassssaaaaalllllaaaaammmm -
Ce que les Algériens retiendront de l’an 2008 : Recul des libertés et désarroi social Que retenir de cette année 2008 au chapitre de la situation des libertés dans notre pays ? Il est d’emblée regrettable de constater que la régression, sur ce plan-là aussi, est manifeste et cela concerne aussi bien les libertés individuelles que collectives. Hier encore, à l’occasion d’un rassemblement de soutien à la Palestine, qui s’est tenu à la Maison de la presse, les participants à cette action prenaient toute la mesure de la frustration de ne pouvoir sortir dans la rue pour une marche de solidarité avec la population de Ghaza persécutée. Toute manifestation de rue, on en est prévenu, est interdite depuis le 14 juin 2001. L’état d’urgence perdure depuis 16 ans. Les condamnations à des peines d’emprisonnement continuent d’accabler les journalistes. Dernier fait en date : la condamnation à trois mois de prison ferme prononcée récemment par le tribunal de Sidi M’hamed à l’encontre de Omar Belhouchet et Salima Tlemçani, suite à une enquête mettant en cause un guérisseur soupçonné de charlatanisme. Citons aussi le cas du journaliste Noureddine Boukraa, ex-correspondant du quotidien Echourouk à Annaba, qui a écopé d’une lourde peine d’emprisonnement pour un article sur les services de sécurité locaux. La dépénalisation du délit de presse n’est pas pour demain… Il convient de citer également les suites de l’affaire Benchicou dont le livre Journal d’un homme libre a été saisi à l’imprimerie, un acte « revendiqué » par la ministre de la Culture. Dans la foulée, des libraires ont reçu la visite de la police et ont été embarqués au commissariat au motif d’avoir diffusé l’ouvrage frappé d’imprimatur. Rappelons, par ailleurs, les nombreux opus interdits au dernier Salon international du livre d’Alger, faisant du SILA un festival de la censure. En somme, le pouvoir politique agit comme si les Algériens avaient besoin d’un surmoi tutorial ou d’un directeur de conscience qui leur dicterait les films qu’ils doivent voir et les livres qu’ils doivent lire et qu’ils n’avaient pas assez de discernement pour juger par eux-mêmes les œuvres et les contenus qui leurs sont proposés. Au chapitre de la liberté de culte et de conscience, le palmarès 2008 là aussi est tristement chargé, à commencer par l’affaire Habiba K., du nom de cette jeune femme de l’ouest du pays, convertie au christianisme et jugée inconsidérément par le tribunal de Tiaret pour une fumeuse histoire de prosélytisme. Ou encore ces gens de Biskra condamnés en première instance à 4 ans de prison ferme pour une présumée atteinte à la morale du Ramadhan. Même sentence prononcée à l’endroit d’ouvriers en bâtiment pris en flagrant délit de consommation de tabac avant l’adhan et condamnés par le tribunal de Bir Mourad Raïs à trois ans de prison ferme avant que la cour d’appel d’Alger ne commue le verdict en peine avec sursis. Cette vague de rigorisme qui intervient dans un contexte de durcissement des mœurs n’est pas sans rappeler les campagnes de moralisation de la vie publique qui avaient cours sous Boumediène. Elle renvoie immanquablement à ce projet ô combien controversé de construction d’une méga mosquée surplombant la baie d’Alger et que d’aucuns ont interprété comme une pure opération populiste. Dans le même sens, signalons cette décision de fermeture de 1200 bars, qui s’impose comme une autre expression de ce rigorisme aux accents démagogiques qui rime avec islamisme. Sur le plan strictement politique, le forcing constitutionnel du 12 novembre 2008 où le Parlement votait les amendements de la Constitution autorisant M. Bouteflika à postuler pour un troisième mandat déroule le tapis rouge pour une présidence à vie au profit d’un autocrate qui n’a jamais fait mystère de sa passion du pouvoir. Faisant l’économie d’un référendum populaire dont Bouteflika redoutait sans doute quelque effet de surprise néfaste, option a été faite pour une adoption à huis clos, sans débat contradictoire et sans exégèse. En témoignent ces quatre militants du MDS arrêtés pour avoir distribué des tracts et commis des tags appelant à un débat de fond autour de la Constitution. Et maintenant, le régime s’agite pour préparer la parodie d’une élection en partant à la chasse de lièvres consentants ou plutôt de « lapins » à qui l’on va faire croire que la présidentielle d’avril prochain n’est pas jouée d’avance et qu’ils seront défaits à la régulière. En définitive, que reste-t-il dans un paysage politique aussi morose et aseptisé ? Heureusement qu’il y a le front social, enseignants en tête. Le secteur de l’éducation aura été l’un des rares à faire un peu d’animation syndicale, comme l’a montré le mouvement des enseignants contractuels, au reste sévèrement réprimé. Citons aussi le corps médical du secteur public, ainsi que le volontarisme d’autres syndicats autonomes comme le CNAPEST, le SNAPAP et SNAPEST qui résistent autant que le verrouillage du champ politique et social le permet. Nous nous devons également de saluer l’action du RAJ qui a marqué contre vents et marrées le vingtième anniversaire des événements d’octobre 1988 avec colloque et cérémonie à la place des Martyrs. On ne peut clore cet inventaire sans faire une fois de plus le constat du « plombage » du champ audiovisuel à l’heure de l’explosion des bouquets satellites et de Youtube. Le régime campe sur son argutie selon laquelle le peuple algérien « n’est pas mûr » pour le pluralisme des images. Sans ambition de modernisation ni projet sociétal, Bouteflika ne sera pas non plus l’homme qui débarrassera les Algériens du mépris de l’ENTV. Résultat des courses : pendant cinq autres années (au moins), on va encore ne voir que lui à tous les JT… Par Mustapha Benfodil (source : http://www.afrik.com/article16019.html)