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ReDhAx

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  1. l'etat n'enquêtera sur rien , rebrab et toufik sont très lié !
  2. il a commencer a menacé l'etat depuis de semaine déjà a cause des nouvelles dispositions sur l'importation, apparemment il a mis ses menaces en exécution et maintenant il demande la suppression des 17% de tva
  3. aucune ideé je suis a bougie actuelement , sinon Maison Suzuki à Bab Ezzouar totalement cassé (En allant vers Sorékal) + maison FORD & dépot des boissons alcooliques saccagé
  4. l'armé interviens a staouali d'après quelqu'un sur dzfoot
  5. ca chauffe a biskra et Constantine et a ighzer amokran à bejaia
  6. URGENT : Arrestation d'Ali Benhadj à Bab El Oued Le Quotidien d'Algérie Le Quotidien d'Algérie : 06 - 01 - 2011 Nous venons d'apprendre que Mr Ali Benhadj a été arrêté par les services de sécurité durant la soirée à Bab El Oued où il s'était déplacé pour calmer les esprits, suite au violent mouvement populaire de contestation. Il aurait été transféré au Commissariat Central d'Alger.
  7. Affrontements à l’est de Boumerdès Après Alger et Oran, les affrontements gagnent d’autres régions du pays. Les habitants des localités des Issers, Bordj Menaël et Naciria, à l’Est de Boumerdès, sont sortis, jeudi en fin de matinée dans les rues, pour protester contre la cherté de la vie. Ils ont coupé la route... Emeutes à Bordj El Kiffan, tension extrême à Alger centre Des émeutes ont éclaté jeudi après midi à Bordj El Kiffan, dans le quartier la « Verte rive », a-t-on appris auprès des habitants. La route qui mène à Bordj El Bahri depuis les Bananiers est coupée à la circulation. Une voiture de police a barré la route, indiquant aux automobilistes de faire demi-tour. «J’ai vu des automobilistes faire demi-tour sur l’autoroute », affirme un automobiliste. Les émeutes touchent les quartiers dits « Verte rive » et « Bateau cassé » situés entre Bordj El Kiffan et Bordj El Bahri TSA
  8. justement c'est pour ca que j'ai appelé, mais j'ai pas eu une confirmation, juste qu'il y a des émeute !
  9. j'ai eu des echo de ma famille a bordj el kifan c'est l'embrasement , quelqu'un pourrai confirmé ? on parle de commissariat et de brigade de gendarmerie attaqué et poste brulé !
  10. salam, ca a repris de plus belle a alger selon des témoignages sur place -A Bab El Oued ça a repris du coté de Triolet et la tension monte au Centre de BEO du coté de la régence ( près du 5e) - Quelques Grossistes d'El Hamiz et de Belcours ont été attaqués ces info viens de différent forum donc a se méfier quand même !
  11. Très vive tension à Bab El Oued : les jeunes promettent de déclencher "une révolte contre la mal vie et le chômage" zoom | © rfi.fr Bab El-Oued s'est réveillé jeudi matin dans un climat... Bab El-Oued s'est réveillé jeudi matin dans un climat de tension après une nuit d'émeute et de violents affrontements. Après une nuit d'émeute et d'affrontements très violents avec les forces de l'ordre, une tension très vive a été constatée jeudi matin dans le quartier populaire de Bab El-Oued, devenu ces derniers temps un véritable bastion pour la protestation populaire. Jeudi matin à la célèbre place des Trois Horloges de Bab El-Oued, les policiers se font rares et les attroupements de jeunes occupent le pavé. Après une nuit agitée, les jeunes de Bab El-Oued n'ont, ce matin, qu'un seul mot d'ordre sur leurs lèvres : "ce soir, nous reviendrons dans les rues pour déclencher une révolte contre le chômage et la mal vie" ! Dans les coeurs et les esprit de ces jeunes, la colère continue à bouillonner même si la veille les forces anti-émeutes leur ont promis une répression exemplaire. "Plus rien ne va nous retenir cette fois-ci. La vie est devenue trop chère et la disette menace nos familles alors que les apparatchiks détournent des milliards et s'enrichissent sur notre dos. Nous ne voulons plus de cette vie de chien. Nous réclamons notre part aux richesses de ce pays", confient un groupe de jeunes qui habitent à Bab El-Oued dans des immeubles vétustes lesquels " risquent à tout de moment de s'effondrer" ! La misère, la cherté de la vie, le chômage et la précarité, tels sont les maux dont ces jeunes veulent se libérer pour écrire une nouvelle page de leur existence. Mais à cet appel de détresse, les pouvoirs publics ne semblent pas y prêter une oreille attentive. Des lors, les conséquences malheureuses ne se sont pas faites attendre. "Les majorité des jeunes du quartier ont été récupérés par le filet social dans le cadre du pré-emploi. Qu'ils soient diplômés ou non, ils ne touchent même pas dix mille dinars par mois. Comment voulez-vous qu'ils s'en sortent avec une paie aussi minable ? On leur a enlevé le droit de penser à l'avenir. La précarité a fini par les jeter dans les bras la violence et le pire peut arriver à présent", relève pour sa part aâmi Omar, un des vieux de la place des Trois Horloges qui s'attend lui aussi à de nouvelles violences pour cette nuit. Des violences que tout le monde craint dans le quartier. Et d'ailleurs, jeudi matin, de nombreux commerces sont restés fermés. Leurs gérants sont sur le qui-vive et guettent la moindre menace émanant de ces bandes de délinquants qui profitent des émeutes pour piller et tout casser sur leur passage. De leur côté, les familles s'approvisionnent en produits de première nécessite pour garantir de quoi faire à manger au cas où les sorties deviennent très risquées ! A n'en point douter, après les émeutes de mercredi soir, plus rien ne sera comme avant à Bab El-Oued..
  12. A la une Actualité La rue gronde à Béjaïa La rue a grondé la matinée de ce jeudi 6 janvier dans plusieurs endroits de la wilaya de Béjaïa où la protestation contre la flambée des prix des produits de consommation s’est propagée comme par effet de contagion. Exclusivement dans la vallée de la Soummam où l’axe de la RN26 a été barricadé en divers points. C’est le cas, notamment à Akbou, deuxième plus importante ville de la wilaya, où au moment ou nous mettons sous presse une foule de manifestants brûle des pneus au centre ville. Guendouza, le Piton, la Zone, tout l’axe de la route nationale qui traverse le sud de cette ville est fermé à la circulation automobile par des poubelles, pierres, troncs d’arbres, et autres objets mis en travers de la route dans certains endroits. Les manifestants se sont même pris à l’immobilier public, selon des sources locales, qui notent que la protestation, bien que timide, a commencé la veille avec les jets de pierres sur la voie publique. Le même climat de tension est perceptible dans la ville voisine d’Ighzer Amokrane où, selon notre correspondant sur place, la route est fermée au niveau de Helouane, à l’entrée ouest de la ville. Et aussi à Laâzib où la circulation automobile n’est permise que pour des cas d’urgence. Des pneus y ont été également brulés de bon matin. Vers le début de l’après midi, d’autres sources nous signalent des signes avant-coureurs d’un mouvement de protestation qui se préparerait dans d’autres localités de la wilaya comme Takriets, à Sidi Aïch, et El Kseur.
  13. Alger : les émeutes se propagent dans plusieurs quartiers ! Un bureau de poste ravagé, une agence Djezzy saccagée, un grand Bazar attaqué, le climat qui règne depuis la nuit du mercredi à Bachdjerrah est digne d'un film de guerre ! En début de l'après-midi, des jeunes cagoulés et armés de projectiles dont l'envie d'en découdre est largement visible sur leurs visages s'organisent et s'attroupent au niveau du Lotissement "Michel" et du quartier "l'Appreval" à Kouba. C'est l'embrasement ! A Gué de Constantine, Bachdjerrah et Kouba, un climat de tension terrible caractérise de nombreux quartiers et cités populaires. La colère contre la cherté de la vie et la misère a fait sortir dans la rue depuis mercredi soir des centaines de jeunes exaspérés par leurs conditions sociales déplorables. De l'aveu même de plusieurs témoins oculaires, les affrontements avec les forces de l'ordre ont été d'une violence inouïe. Des bandes de voleurs ont su des lors comment profiter de la révolte à laquelle était livrée Bachdjerrah pour s'attaquer à des commerces et les dévaliser. Du bureau de la poste en passant par l'agence Djezzy et le grand Bazar "Hamza" situé au centre de Badjcherrah, les jeunes émeutiers n'ont reculé devant rien pour s'attaquer à tous les édifices. Par la suite, des routes ont été bloquées à coup de pneus brûlés jusqu'à la rue Tripoli de Hussein Dey où pas moins de six entreprises, des bureaux d'études, des sociétés de sous-traitances et de vente de matériel industriel, ont été cambriolées et dévalisées vers les coups de 3 H du matin. Débordés, les forces de police ont été pris pour cible de toutes part par des jeunes qui ont adopté durant toute la nuit la technique de la guérilla urbaine. Et au rythme où vont les choses, rien ne laisse indiquer une quelconque amélioration d'ici la nuit de ce jeudi dans les quartiers chauds la banlieue est de la capitale.
  14. Boumerdès : vague de colère à Naciria, Bordj-Menaiel et Issers Des centaines de jeunes des communes de Naciria, Bordj-Menaiel et Issers, sont sortit dans la rue aujourd’hui 6 janvier, pour crier leur colère contre l’augmentation effrénée des prix des produits de large consommation. Les manifestants ont bloqué la RN12 à la circulation automobile à hauteur de plusieurs endroits. Cette vague protestation a été débutée à Naciria, où des dizaines de jeunes ont investi la rue pour exprimer leur mécontentement contre l’indifférence affichée par les pouvoirs publics quant à la satisfaction des revendications relatives à l’amélioration de leurs conditions de vie. La nouvelle de la fermeture dudit axe a vite fait le tour de la région. Vers midi, des centaines d’autres citoyens de Bordj-Menaiel ont investi le même axe, au lieudit Bousbaâ. D’importants convois des forces anti-émeutes ont été dépêchés sur les lieux de la protestation. Les automobilistes sont restés bloqués dans d’immenses embouteillages. La colère a gagné également les commerçants de la ville. Nos sources indiquent que plusieurs d’entre eux ont baissé rideau en signe protestation contre la hausse constante des prix des produits de première nécessité. A Issers, des jeunes en furie ont dressé des barricades sur la rue Abane Ramdane, en perturbant le trafic routier durant plus d’une heure. Certains habitants n’écartent pas de voir cette vague de protestation s’étendre sur d’autres communes de la région dans les heures et les jours qui suivent. el watan
  15. les gendarme renvois les automobiliste à partir d'akbou.
  16. slam, l'axe bejaia-Alger ( par bouira ) est fermé a la circulation.
  17. C'est moi et tu est banni et va jouer au coboy sur un autre forum !
  18. Les violences sont montées d’un cran supplémentaire à Bab el Oued, mercredi 5 janvier vers 20 h 40, selon notre journaliste présente sur place. Des milliers de manifestants ont investi tout le quartier jusqu’à la corniche, pour dénoncer la cherté de la vie tout en scandant des slogans hostiles au pouvoir, particulièrement au président Bo^^^^^ika. Des pneus ont été incendiés à proximité du cinéma Atlas. La route du littoral menant vers Alger a été coupée à la circulation jusqu’au quartier de La Pointe, à l’ouest. Les manifestants ont pris l’initiative de gérer la circulation. Ils ont expliqué aux automobilistes que leur colère était dirigée contre le pouvoir et non contre le peuple. La police a riposté en utilisant des gaz lacrymogènes. Mais les forces de l’ordre semblaient dépassées par les événements. Illustration de cette situation : vers 21 heures, le commissariat du « Cinquième » était toujours encerclé par les manifestants qui tentaient de l’incendier. Par ailleurs, des émeutes ont éclaté à Cheraga, dans l’ouest de la capitale. Là encore, les manifestants ont scandé des slogans dénonçant la cherté de la vie. TSA
  19. Des émeutes ont éclaté, mercredi 5 janvier en début de soirée dans le quartier de Bab El oued à Alger a-t-on appris auprès de témoins sur place. Des manifestants du quartier les « trois horloges » et d’autres environnants, armés de barres de fer, ont brûlé des pneus pour protester contre la cherté de la vie, ont indiqué ces sources. Des magasins ont été saccagés et des voitures incendiées. Plusieurs groupes ont tenté de s’attaquer au commissariat du « cinquième », situé non loin des « trois horloges », mais les policiers ont riposté par des tirs de balles à blanc, à indiqué une source sécuritaire. Aucun bilan n’était disponible vers 20 heures, mais pluseiurs manifestants et des policiers ont été blessés, selon la même source sécuritaire. A l’heure où nous mettons en ligne, la police attendait des renforts pour contenir la colère des manifestants. Le quartier a été bouclé par les forces de l'ordre. C’est en début de matinée que des rumeurs avaient circulé dans tout le quartier de Bab El Oued sur l’imminence d’une protestation contre les commerçants. Les habitants ont aussi répercuté les informations faisant état d’émeutes à Tipaza et El Kolea pour des motifs similaires. tSA
  20. Des gens crève de faim, habite sous les pon en famille et brule leur meuble pour avoir un peut de chaleur et toi ce qui te préoccupe c'est internet ?
  21. Quand la kabylie c'est soulevé les autre leurs disaient qu'il voulaient partager le pays, et depuis 2001 bejaia tizi et a un degret moindre bouira sont complétement marginalisées, c'était en 2001 qu'il fallait bouger et on aurai pu faire quelque chose , donc oui c'est trés peut !
  22. pour moi ca passe mais sur MSN
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