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Les Entreprises Algériennes Restent frileuses pour passer au Monde Virtuel !


Hicham

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Les entreprises algériennes restent frileuses pour passer du monde physique au monde virtuel

 

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Le Cloud Computing, ce concept technologique a encore du mal à se démocratiser en Algérie. Et pour cause, les entreprises algériennes demeurent encore méfiantes face à cette technologie qui fait, pourtant, tabac à l’étranger.

 

« Il y a encore une frilosité chez les entreprises algériennes pour passer du monde physique au monde virtuel. C’est ce qui retarde l’avancée du Cloud », a regretté à ce sujet le directeur exécutif de Comparex Algérie, Djaoued Salim Allal. « C’est souvent un manque de temps. Le DSI (Directeur des Systèmes d’Information) d’une entreprise est impliqué dans des tâches quotidiennes qui lui prennent énormément de temps. Il doit maintenir le "Word" et l’"Excel" alors que sa véritable fonction est de penser stratégie », explique encore cet interlocuteur dans un entretien accordé à Maghreb Emergent.

 

Ce responsable a déploré également « le manque de valorisation de ce genre d’investissements au niveau de l’entreprise ». Il a interpellé ainsi les entreprises algériennes pour qu’elles adoptent une nouvelle attitude face au Cloud dont l’impact positif sur l’économie réel a été prouvé dans plusieurs pays à travers le monde.

« Aller vers le Cloud c’est transformer l’investissement en un coût d’exploitation. Donc au lieu de prendre des investissements monstres et essayer de les amortir, on prend juste les coûts d’exploitation », indique ainsi cet expert selon lequel, « l’informaticien reste toujours, au niveau de l’entreprise, celui qui met en place la stratégie et la cadre. Il va jouer son vrai rôle. Il ne s’agit pas de rabaisser le rôle de l’informaticien à celui d’un opérateur, au contraire, il va pouvoir se concentrer sur son business ».


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Le Cloud c'est pour les Professionnels ceux qui utilisent les liaisons spéciales (100 Mbps et 1 Gbps) , nous les clients on est des points dans les projets d'avenir de l'algérie.

 

Ok donc pour les PME il faut se ruiner pour utiliser le cloud, dans ce cas on est beaucoup plus perdant en frais de liaison spécialisée que économie d’infrastructure et logiciel.

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Bonjour,

 

Khelliwna ! En Algérie on parle de 3G alors qu'elle n'existe pas ... on parle de FTTx alors qu'il ne s'agit que des équipements d'Algérie Télécom ... on parle de e-Commerce alors qu'aucune banque n'offre de technologie permettant de lier la boutique en ligne via un formulaire sécurisé en SSL pour garantir la transaction ... On parle de vente en ligne alors que la Poste continue à livrer des lettres et non des colis (sans compter le vol des colis !) ...

 

Et là, le monsieur vient pour nous parler de Cloud ! Laissez-moi rire !

C'est qui qui va mettre les données de son entreprise sur un cloud algérien tout en sachant que la vie privée n'est pas respectée, le manque de sécurité des serveurs déjà, le manque de compétences, les actes de hackin' ... et c'est qui qui garantie à la PME/PMI algérienne que ses propres données ne seront pas exploitée par un employé de l'entreprise Cloud ?! Et puis rien qu'à voir l'état de l'Internet en Algérie, je ne vous en dis pas plus !

 

Et enfin, est ce qu'il y a "une loi sur l'économie et la confiance numérique en Algérie ?" ! Réponse : NON !

 

Alors, votre Nuage ou plutôt "l'infonuagique" terme exacte, vous pouvez le souffler avec du VENT ! Le jour où les entreprises en exprimeront le besoin, le Cloud Computing va s'imposer de lui même !

 

P.S. : Lisez et inspirez-vous : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_pour_la_confiance_dans_l%27%C3%A9conomie_num%C3%A9rique

 

Salam !

Modifié par Yoplalache
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    • NOUVEAUTE interessante ! evolution interessante et qui concerne des millions d'algeriens ! pour les voyageurs vers la TUNISIE entre autres...on peut desormais payer la taxte via le net !   La Direction générale des impôts (DGI) a annoncé, jeudi dans un communiqué, le lancement d’un nouveau service de paiement en ligne de la taxe sur les titres de transport, via sa plateforme numérique dédiée au paiement des droits de timbre, « Tabioucom ». Ce service s’adresse aux détenteurs de passeports souhaitant voyager par voie terrestre ou ferroviaire vers les pays frontaliers. Il leur permet de s’acquitter à distance de la taxe applicable aux titres de transport, en utilisant la carte interbancaire (CIB) ou la carte Edhahabia, précise la même source. La DGI indique que ce service est disponible 24h/24h et 7j/7j, et accessible via le le meme site que la vignette AUTO. https://tabioucom.mf.gov.dz.
    • Il faut toujours qu'ils trouvent un moyen de compliquer des choses simples.. c'est fou.
    • Merci me je disais que ce n’était pas normal 
    • Problème réglé suite à l'intervention de l'ARPCE, je viens de m'abonner à la formule 15Mbp comme je le voulais.
    • Modalités de retrait et contrôles renforcés Le retrait des devises s’effectue aux points de sortie du territoire national, sur présentation du reçu de versement, du passeport et de la carte d’embarquement (ou lors des formalités frontalières pour les voyages terrestres). La Banque d’Algérie a également instauré des mesures strictes en cas d’annulation ou de séjour inférieur à sept jours. Tout bénéficiaire dans cette situation doit rembourser intégralement le montant perçu dans un délai de cinq jours ouvrés après son retour. À défaut, il s’expose à une suspension du droit de change pendant cinq ans, voire à des poursuites pénales. Les banques sont tenues de vérifier que le demandeur n’a pas déjà bénéficié d’un droit de change au cours des 12 derniers mois. Elles doivent aussi s’assurer qu’il a effectivement voyagé s’il a perçu une allocation lors de la période précédente. Source : observalgerie.com
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