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votre avis du discours de monsieur b.o.u.t.e.f.l.i.k.a


Invité Localhost

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sa c'est de la manipulation

 

mais " baltajiya " au sens egyptien ( histoire de fair bouger un algerien pour la somme de 1000 da ... et l'envoyer dans une emeute a risque inconnu ) ; sa j'ose meme pas a y pensser ; sa existe pas en algerie

 

C'est plutôt ce que vous dites qui est de la manipulation " L’algérien est trop fier pour faire des coups bas" eh ben vous vous trompez, c'est avec ce genre de slogan moisis qu'ils ont envoyez les supporters Algériens s’entretuer au Soudan, la fierté de l’Algérie a était dissoute y a bien longtemps, c'est juste que le peuple continu a y croire.

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Attendez, même le plus fin des stratèges y réfléchirais à deux fois avant de déclencher des émeutes à l'issue imprévisible surtout après ce qui s'est passé chez nos voisins alors faut pas déconner et il faut arrêter les polars (Bollywoodien :D) et les romans de Stephen King.

 

PS: je ne dis pas qu'il n'y a pas de manipulation mais à cette échelle c'est impossible à gérer et la preuve est la tournure imprévisible en tunisie où tous les occidentaux avec leurs organismes de renseignements Hightech ont été pris de court, alors comparer à eux nos manipulateurs locaux sont des péteux. :rolleyes:

Modifié par Jazz3210
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Attendez, même le plus fin des stratèges y réfléchirais à deux fois avant de déclencher des émeutes à l'issue imprévisible surtout après ce qui s'est passé chez nos voisins alors faut pas déconner et il faut arrêter les polars (Bollywoodien :D) et les romans de Stephen King.

 

PS: je ne dis pas qu'il n'y a pas de manipulation mais à cette échelle c'est impossible à gérer et la preuve est la tournure imprévisible en tunisie où tous les occidentaux avec leurs organismes de renseignements Hightech ont été pris de court, alors comparer à eux nos manipulateurs locaux sont des péteux. :rolleyes:

 

bien dit

 

je deffend pas notre regime mais je ve dire qu'il est loin d'avoire un centre d'inteligence capable de manipuler avec precision tous ce qui se passe en algerie

 

- a mon experience : les haut dirigeant sont trop loin du peuple ... de leurs fils et familles meme .... des complexé chaq'un en ce qui lui concerne ( et generalement , ils aiment parler au femmes ..... )

 

voila le haut est pas loin de sa

 

le bas comme dit : AOP et un pe + .... ils ont dans la tete que " khoubza , voiture , soukna , et une papicha au rendez-vous ;; bref ils sont pas loin de leurs peuple , ils sont des algerins ( et qui n'as pas un ami flic ? )

 

les centres d'inteligence en algerie n'existe pas , ya des ventres de hum hum dans tous les niveaux

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Attendez, même le plus fin des stratèges y réfléchirais à deux fois avant de déclencher des émeutes à l'issue imprévisible surtout après ce qui s'est passé chez nos voisins alors faut pas déconner et il faut arrêter les polars (Bollywoodien :D) et les romans de Stephen King.

 

PS: je ne dis pas qu'il n'y a pas de manipulation mais à cette échelle c'est impossible à gérer et la preuve est la tournure imprévisible en tunisie où tous les occidentaux avec leurs organismes de renseignements Hightech ont été pris de court, alors comparer à eux nos manipulateurs locaux sont des péteux. :rolleyes:

desolé de te contredire kho, mais je pense que l'Algerien a trop attendu pour demander ces droits, l'argent des hydrocarbures n'est pa la proprieté des meres de ceux qui gouvernent, tout a algerien a droit a l'argent du petrole!! et des propos comme ca font les affaire ta3 lhoukouma!! ils se disent tant qu'il ya des personnes qui disent que faut pas crier, faut pas se revolter, a nous l'argent du petrole...

les responsables payent a cout de milliards des cadeaux a leur compagnes alors que le simple algerien n'a droit qu'aux miettes!!! il est temps que ca change et qu'on rattrape notre retard...

quand a la tunisie ou a l'egypte ils sont dans une periode de transition qui va durer le temps qu'il faut...et tout les pays occidentaux sont passé par la...faut pas esperer la lune en quelques jours ou quelques mois...

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tout a algerien a droit a l'argent du petrole!!

 

ce genre de répliques me donnent envie de crier ma rage !!!! on parle d'argent de pétrole qui doit etre distribué au peuple là ??!! mais vous voulez répéter le scénario du temps de Boumediene ou quoi ? Le peuple Algérien a besoin de bosser, de bosser, et de bosser, en s'aidant bien sur du fric du pétrole pour se lancer mais il n'a pas besoin d'argent pour consommer !! on n'a pas besoin de politique de subvention alimentaire mais d'une politique de subvention économique.

Modifié par mouradski
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ce genre de répliques me donnent envie de crier ma rage !!!! on parle d'argent de pétrole qui doit etre distribué au peuple là ??!! mais vous voulez répéter le scénario du temps de Boumediene ou quoi ? Le peuple Algérien a besoin de bosser, de bosser, et de bosser, en s'aidant bien sur du fric du pétrole pour se lancer mais il n'a pas besoin d'argent pour consommer !! on n'a pas besoin de politique de subvention alimentaire mais d'une politique de subvention économique.

voila tu n'a rien compris !!

j'ai pas voulu dire faut distribuer de l'argent au peuple...(malgré que la Lybie et l'Iran...

aident leurs pauvres gens), mais ce que je voulais dire c'est de payer les gens comme il se doit...le majorité de ceux qui sont en greve ces jours ci, c'est a cause soit de leurs salaires mediocres ou parcequ'ils ne sont pas payes depuis des mois...

et les chomeurs ont droit aussi a un smic qui va les aider survivre...qu'est ce que tu va faire avec 15000 ou 20000DA ,surtout si tu est pere de famille??

les etudiants gagnent 4000DA/3mois !! ne pas les donner c'est mieux c'est pour ca que je parle de miettes

j'ai lu dans elwatan qu'un grand economiste anglais qui connait bien les revenus de l'algerie a dit: que tout nouveau né (bébé) en algerie peut avoir un salaire de 30000DA par mois

Modifié par hanzo7
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merci de revenire sur le SUJET : le discours. avant que ça parte en vrille..

 

et pour les gosses qui se chamaillent ici a cous de répliques personnelles et autre insultes vous risquez d'aller voir ailleurs, sur d'autres forums si on n'y est pas :)

 

 

 

 

http://www.algerie360.com/algerie/un-discours-qui-va-changer-l%E2%80%99algerie/

 

Bo^^^^^ika a parlé. C’està- dire qu’il a lu un discours de quinze feuillets en croisant à peine deux fois le regard avec le peuple. Et au fur et à mesure que la pile de feuilles maigrissait à sa droite, maigrissait l’espoir de l’entendre dire quelque chose d’aussi spectaculaire que la déclaration de novembre-bis.

 

On a appris donc que la Constitution allait être révisée, mais selon lui, ou par le biais d’experts à lui, avant de passer par un Parlement qui n’est pas à nous. On y a appris que la loi électorale allait être changée, mais sans toucher à l’autre loi qui fait loi depuis la dissolution du GPRA : c’est le peuple qui vote mais c’est le Pouvoir qui élit. On y a appris que la lutte contre la corruption continue mais sur la lune. On y a appris qu’on va décentraliser mais dans les airs. On y a appris que la loi sur les partis va être revue mais selon les partis qu’on n’aime pas et qui ne nous représentent pas.

 

Le discours de Bo^^^^^ika est donc venu, mais en retard, après Ben Ali et Moubarak et dix mille émeutes et deux cents ans de silence et d’indifférence. A la dernière feuille de ce monologue, les Algériens ont compris qu’ils sont toujours seuls, que leur vie après la mort va être longue et vide et que rien ne change pendant que le monde change si vite avec des vieillissements brusques et des rajeunissements miraculeux, mais ailleurs que chez eux. Déception donc, lassitude et de la peine.

 

Dans la liste des mesures énoncées dans une langue que les Algériens ne comprennent pas, on a retenu donc les blancs du discours, les immenses choses entre parenthèses. D’abord que l’ENTV va continuer de filmer le Pouvoir et de parler à notre place. Pas d’ouverture du champ audiovisuel donc. Le délit de presse sera dépénalisé, mais on ne sait rien sur la possibilité de créer des journaux, rien sur la dictature de l’agrément et le chemin de croix entre l’éditorial et l’imprimerie.

 

On saura ensuite que le Parlement, élu par un peuple qui avait les mains derrière le dos, ne sera pas dissous et qu’il va même servir à donner ce qu’il n’a pas : de la légitimité à de prochaines promesses de changements.

 

On saura aussi que les mêmes ministres restent et que le gouvernement ne sera pas changé. On saura aussi qu’on ne sait rien si les mandats vont être limités à deux mandats ou à trois présidences à vie pour chaque président. On n’apprendra rien sur le rôle des « Services » dans la vie politique, associative et économique du pays et si, désormais, un Algérien a d’abord un extrait de naissance avant d’avoir une fiche, ou le contraire. On ne saura pas si désormais, pour créer une entreprise, il faut payer le fisc ou un intermédiaire ou un corrompu.

 

Rien n’a été dit sur la liberté, le bonheur, le droit de manifester, la démocratie et la vie meilleure et l’entreprise. Bo^^^^^ika a fait de la politique mais il en a trop fait, à tel point qu’on n’a rien compris tout en comprenant l’essentiel : il a tranché. Pas entre nous et lui mais entre les siens. Entre Ouyahia qui veut l’hériter sans changer la formule, ou Belkhadem qui va le servir jusqu’à le remplacer. Bo^^^^^ika a donc parlé : du passé, du futur, mais pas du Présent où nous sommes tous enfermés.

C’est un discours qui déçoit, crée le vide au lieu de le remplir, ouvre droit à des attentes plus radicales mais fait à la main et illustre bien cette incapacité panarabe des régimes arabes à se réformer de l’intérieur, à comprendre, communiquer et oser. Conclusion : c’est un discours qui va changer l’Algérie. Parce qu’il l’a tellement déçue.

Modifié par Djoss
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Si la sortie publique du chef de l’Etat ce vendredi est en soi un événement, il faut dire qu’elle a laissé nombre de nos concitoyens sur leur faim. Et pour cause : Abdelaziz Boute-flika a enfilé les déclarations d’intention comme on enfile des perles sans apporter de réponses claires sur certains sujets-clés, sans avancer d’agenda, sans trancher dans le vif sur certains dossiers particulièrement préoccupants.

 

 

Pourtant, c’est ce qui était le plus attendu de lui dans ce contexte de crise : présenter un projet neuf, autrement plus ambitieux, avec, à la clé, une batterie de mesures et de décisions audacieuses, à la mesure des aspirations de changement exprimées par les Algériens.

Le président de la République, force est de le constater, s’est longuement appesanti sur la réforme de la loi électorale et de la loi sur les partis, ainsi que sur l’amendement de la Constitution comme éléments structurants de son projet de «renforcement du processus démocratique» dans notre pays. Mais pour le court terme, Boute-flika est resté muet. A titre d’exemple, il n’a affiché aucune disposition à consolider le «pluralisme politique» en élargissant le club des partis autorisés. On sait que nombre de formations partisanes languissent désespérément d’obtenir leur agrément.

 

Qu’on songe au parti Wafa d’Ahmed Taleb Ibrahimi, au Front démocratique de Sid Ahmed Ghozali, au Parti de la liberté et de la justice ou encore au Parti pour la laïcité et la démocratie, pour ne citer que ceux-là. Qu’est-ce qui empêche le chef de l’Etat d’annoncer plus de souplesse dans ce sens, avec instruction expresse au ministère de l’Intérieur de montrer moins de fermeté à l’égard des demandes d’agrément qui lui parviennent, et auxquelles le département d’Ould Kablia oppose un niet presque mécanique. Idem pour les syndicats autonomes et les organisations citoyennes, tout particulièrement celles qui ont le «malheur» de ne pas montrer de signes d’allégeance aux réseaux du pouvoir. Les mêmes réserves valent également pour l’exercice des libertés publiques, notamment le droit de manifester. Si Boute-flika s’est félicité de la levée de l’état d’urgence, il feint d’oublier que sur le terrain, toute manifestation publique est formellement interdite, tout spécialement dans la capitale. En témoigne le nombre impressionnant de policiers déployé au moindre trublion qui ose pointer son nez, faisant d’Alger une ville sous état de siège.

 

 

Autre dossier cher au Président : la révision de la Constitution. Dans son discours à la nation, Abdelaziz Boute-flika a fait état de sa résolution d’en confier la tâche à une commission spéciale chargée de lui faire des propositions. Exclue donc l’élection d’une Constituante…Tout le monde sait que l’actuel locataire d’El Mouradia doit son troisième mandat à un amendement de l’article 74 de la Constitution dite de «Zeroual» qui limitait alors les mandats à deux. Sur ce point précis, le chef de l’Etat se devait d’apporter une clarification forte quant à ses intentions pour la prochaine présidentielle. L’un des mérites du «printemps démocratique arabe» est d’avoir mis un terme au syndrome de la «présidence à vie» qui hante tous nos potentats. Si bien que même les ex-présidents tunisien et égyptien avaient annoncé, dans une ultime tentative de sauver leur trône, leur engagement à ne pas briguer un énième mandat et leur détermination à consacrer le principe de la limitation des mandats par voie constitutionnelle. Eh bien, Boute_flika n’a pas pipé mot là-dessus alors qu’il n’y a pas si longtemps, ses aficionados, Belkhadem en tête, avaient commencé déjà à «chauffer le bendir» pour préparer l’opinion à un quatrième mandat.

 

 

Aucun geste fort, aucune décision spectaculaire

 

 

Autre élément pertinent de son discours : le président de la République a abondamment évoqué le travail parlementaire et législatif en indiquant qu’il comptait «demander au Parlement de réviser l’ensemble de l’arsenal législatif sur lequel reposent les règles de l’exercice démocratique». L’on notera au passage que Bou-teflika n’est nullement disposé à dissoudre l’APN et organiser des législatives anticipées comme l’a exigé une partie de l’opposition. Pas plus qu’il n’a montré la moindre velléité de virer tout ou une partie du gouvernement Ouyahia. En gros, aucun signe spectaculaire. Aucun geste fort. Les Algériens auront eu droit vendredi soir à un joli cours de droit constitutionnel assorti d’un chapelet de réformes institutionnelles dans les limbes. Sans plus. Comme le faisait remarquer Abdelhamid Mehri, «l’élément le plus saillant de ce discours a été de réduire les réformes principalement à la révision des textes».

 

Dans la rubrique «médias», Boute-flika a fait preuve du même conservatisme opiniâtre en réaffirmant son intention de garder le monopole de l’Etat sur l’audiovisuel. Il aura ainsi raté l’occasion de signer le passage du bouquet DZ vers l’ère de l’image. Enfin, le chef de l’Etat semble amoindrir la portée des mouvements sociaux qui secouent le pays. Les réponses, sur ce chapitre, sont restées les mêmes. Bout_eflika s’est évertué à rappeler (et vanter) les différents dispositifs de ses programmes sociaux sans un seul mot pour les centaines de mouvements de protestation qui agitent la scène sociale, donnant l’impression de couler des jours heureux sur une île paisible pendant que le bateau Algérie prend eau de toutes parts.

 

 

src : http://www.elwatan.com/une/le-discours-que-n-a-pas-prononce-bo^^^^^ika-17-04-2011-120805_108.php

Modifié par Djoss
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Bo^^^^^ika est issu du système mis en place depuis 1962, il ne pourra jamais remettre en question ce dernier. Belkhadem l'a dit clairement :"il n'est pas question de mettre en place une assemblé constituante, parceque ça voudrait dire que tout ce qui a été fait depuis 1962 n'aurait servi à rien".ça a servi à quelque chose mais c'était à l'arrache et selon une seule idéologie, celle des révolutionnaires (ou leurs pendants) de l'époque.

Pour l'instant, les manifestations continueront et ça dépendra de la maturité du peuple à mettre la pression sur le pouvoir pour le fissurer petit à petit. Un changement radical comme en Tunisie et en egypte est trés risqué en Algérie (c'est ma conviction).

 

Quant à la déclaration du 1er novembre, elle a été plus axée sur une stigmatisation des messalistes que sur une volonté d'asseoir une démocratie et une émancipation de la société algérienne et des libertés individuelles. Elle manque aussi de profondeur philosophique (voir la déclaration d'indépendance des USA et la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 en France)

 

C'est un sujet sensible mais je prend le risque ...

 

PS: prière pour ceux qui ne sont pas d'accord de rester dans un dialogue courtois

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desolé de te contredire kho, mais je pense que l'Algerien a trop attendu pour demander ces droits, l'argent des hydrocarbures n'est pa la proprieté des meres de ceux qui gouvernent, tout a algerien a droit a l'argent du petrole!! et des propos comme ca font les affaire ta3 lhoukouma!! ils se disent tant qu'il ya des personnes qui disent que faut pas crier, faut pas se revolter, a nous l'argent du petrole...

les responsables payent a cout de milliards des cadeaux a leur compagnes alors que le simple algerien n'a droit qu'aux miettes!!! il est temps que ca change et qu'on rattrape notre retard...

quand a la tunisie ou a l'egypte ils sont dans une periode de transition qui va durer le temps qu'il faut...et tout les pays occidentaux sont passé par la...faut pas esperer la lune en quelques jours ou quelques mois...

 

Vous n'avez pas suivi le fil de la discussion, je disais qu'il est impossible à un groupe de manipulateurs dans le système de contrôler une ou des émeutes soit disant déclencher par eux car il est impossible de la ou les contrôler (et ceci en réponse aux suggestions de certains qui crois le contraire).

 

Donc lisez bien les post et concentrez vous avant de répondre à un message SVP, merci !

Modifié par Jazz3210
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voila tu n'a rien compris !!

j'ai pas voulu dire faut distribuer de l'argent au peuple...(malgré que la Lybie et l'Iran...

aident leurs pauvres gens), mais ce que je voulais dire c'est de payer les gens comme il se doit...le majorité de ceux qui sont en greve ces jours ci, c'est a cause soit de leurs salaires mediocres ou parcequ'ils ne sont pas payes depuis des mois...

et les chomeurs ont droit aussi a un smic qui va les aider survivre...qu'est ce que tu va faire avec 15000 ou 20000DA ,surtout si tu est pere de famille??

les etudiants gagnent 4000DA/3mois !! ne pas les donner c'est mieux c'est pour ca que je parle de miettes

j'ai lu dans elwatan qu'un grand economiste anglais qui connait bien les revenus de l'algerie a dit: que tout nouveau né (bébé) en algerie peut avoir un salaire de 30000DA par mois

 

Oui c'est vrai, comme ça le SMIC sera à 30000DA, et la baguette de pain à 200DA...

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en resumé un discours insultant plein de mepris et de contre verité...en somme il a repeté plusieurs fois sa demande au peuple de l aider a finir son mandat sans grabuges et de laisser ses comparses saigner ce beau pays. voila ce que ma petite cervelle a retenu de cette sortie mediatique de notre PRESIDENT...et ma reponse en tant que tel est qu avant de changer une constitution apprenez a la respecter d abord

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Algérie: la succession en préparation:

 

Les réformes politiques annoncées vendredi par le président algérien Abdelaziz Boute-flika et prévoyant notamment une révision de la Constitution d'ici à un an, vont lui permettre de préparer sa succession, estime aujourd'hui Le Quotidien d'Oran.

 

"De toutes les réformes politiques à venir dont Boute-flika a fait l'annonce dans son discours à la nation vendredi dernier, celle à laquelle il tient le plus consistera en la révision de la Constitution", selon le journal.

 

Outre une révision de la loi fondamentale de 1996, Abdelaziz Boute-flika a annoncé une modification de la loi électorale, de la loi sur les partis politiques et du code de l'information.

 

"Ces retouches ne seront consenties par lui que pour masquer et faire passer une révision constitutionnelle à travers laquelle sera confirmé sans ambiguïté le caractère présidentiel du système et instauré une nouvelle modalité de transmission du pouvoir en cas de succession anticipée", analyse le journal.

 

Abdelaziz Boute-flika, 74 ans, qui a célébré le 15 avril le douzième anniversaire de son élection à la présidence de la République, effectue un troisième mandat jusqu'en en 2014. Son discours, prononcé après des mois de silence, a révélé un homme fatigué.

Le Quotidien d'Oran lui prête le projet de créer un poste de vice-président qu'il nommera lui-même et qui "se chargera de la succession si celle-ci devait être anticipée".

 

"Pour Boute-flika, c'est l'assurance qui prémunirait ainsi ses proches et fidèles contre l'eventualité de +règlements de comptes+ comme cela fut le cas dans le pays à l'occasion de tous les changements du pouvoir", poursuit le journal.

Cette perspective a été évoquée aussi par le politologue Rachid Krim, mardi, dans une interview au quotidien El Watan.

 

"Il lui (Boute-flika) faut absolument organiser sa succession de manière à ce que le pouvoir n'échappe pas à son clan et que le système qu'il a mis en place soit pérennisé", analyse le politologue qui prévoit la mise en place d'un "système véritablement présidentiel, à l'américaine".

 

Ce système est défendu par le Front de Libération Nationale (FLN, ancien parti unique), principale formation de l'alliance présidentielle

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Je ne parle pas des pratiques, je parle de ça:

 

 

 

C'est très précis comme information.

 

Lors de son passage à la télévision nationale, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a étalé «toute sa puissance» à l’égard de l’opposition politique et des propositions de sortie de crise qu’elle a formulées.

 

Mais, face à ce qllé jusqu’à désigner nommément «ces barons». Lui, «serviteur de l’Etat» comme il aime à se définir, n’avait pas suffisamment de courage politique pour nous ’il a qualifié d’«alliance de la mafia financière avec les barons du commerce», le Premier ministre a, par contre, montré toute l’impuissance de l’Etat et du pouvoir qu’il représente.

 

«Difficile de le combattre, car le combattre frontalement, c’est la stabilité du pays qui est remise en cause», a-t-il déclaré. Attestation formelle d’impuissance et encore un aveu d’échec de l’équipe au pouvoir. Est-il besoin de rappeler que le pouvoir politique veut dire gouvernance économique ? De ce fait, la responsabilité de l’Etat est entière.

 

Les barons de l’informel sont-ils à ce point puissants ? Capables de mettre en péril la stabilité du pays !

 

Ouyahia, dont la mission, en sa qualité de chef de l’Exécutif, est d’apporter des réponses claires à des questions aussi sensibles, s’est «réfugié» dans des interrogations. «La Banque d’Algérie a augmenté en octobre 2010 l’émission de billets de banque de 10 à 18 milliards de dinars par jour.» «Les fonds émanant des centres de chèques postaux ont quant à eux augmenté de 250%. Où va donc cet argent ?»

 

Le Premier ministre, qui a emprunté la casquette de patron du RND le temps d’un débat télévisé pour s’exprimer sur «les questions de l’heure», n’est pas ammer ces prédateurs de l’économie nationale.

 

«Le meilleur service qu’il puisse rendre à l’Etat et à la société est d’identifier ces barons de l’informel pour pouvoir les combattre», a commenté Mourad Ouchichi, enseignant d’économie à l’université de Béjaïa.

 

«La transparence économique» dont a parlé Ouyahia exige de lui, justement, de dire la vérité, toute la vérité aux Algériens. L’informel qui gangrène la sphère économique n’est pas le fait du hasard. Force est de noter, à la lumière de l’intervention du Premier ministre, que l’économie informelle conséquence, entre autres, de la non-application des normes de gestion économique et des atermoiements des choix économiques, bénéficie une fois de plus du manque de rigueur politique des autorités gouvernementales. Ce n’est pas la première fois qu’un haut responsable du pays admet la fragilité de l’autorité politique face à la prolifération à grande échelle des pratiques économiques informelles.

L’informel est aussi politique

 

L’on se souvient que le chef de l’Etat, au début de son premier mandat, avait déclaré que «quinze personnes» ont fait main basse sur le commerce extérieur. Cela dénote de la manière avec laquelle les affaires du pays sont menées. Il est demandé aux gouvernants de prendre des décisions allant dans l’intérêt du pays et non pas des discours.

 

Il n’est un secret pour personne que l’informel et tout le lobby qui s’est constitué autour prospère essentiellement dans la sphère spéculative (import-export). Il n’est donc pas totalement étranger au pouvoir politique.

 

De nombreux économistes et acteurs politiques affirment que l’économie informelle n’a pas pu se développer sans connexion avec les cercles de décision au sommet du pouvoir. Cela a donné lieu à une accumulation primitive des richesses et à l’apparition d’une nouvelle caste d’affairistes dont la proximité avec le pouvoir politique est avérée.

 

En somme, réduire l’influence de l’informel sur la vie économique et sociale du pays exigerait non seulement du courage politique, mais également une légitimité démocratique pouvant susciter l’adhésion de toute la société dans cette bataille.

 

Mais force est de constater que l’informel, en Algérie, n’est pas seulement économique. Il est fondamentalement politique. Le système politique algérien se caractérise justement par l’hégémonie du secteur informel sur le secteur formel. Même les décisions politiques sont prises en dehors des institutions démocratiquement élues, du reste, inexistantes à cet effet justement.

 

«Ce rapport entre l’informel et le formel est la source fondamentale de l’échec des réformes en Algérie», avait déclaré le politologue britannique Hugh Roberts à l’occasion de son intervention aux Débats d’El Watan. On ne peut pas prétendre lutter contre l’informel et s’opposer farouchement à toute réforme politique.

 

Articles de Hacen Ouali publiés par Mondialisation.ca

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Ouyahia est surement la personne la plus crédible au pouvoir

 

J'ai pas voté depuis belle lurette mais c'est sûr que je sortirai ma carte d'électeur du placard pour voter contre ce gland doublé de faux jetons qui ne sort que des lois contre les citoyens.

 

Souvenez vous; la vignette, la taxe véhicule neuf, et pleins d'autres taxes à la con !

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Ouyahia est surement la personne la plus crédible au pouvoir

 

T'es sérieux ? Ouyahia n'a jamais été autre chose qu'un exécuteur d'ordre, un homme des sales job et un homme sans conviction politique propre ni aucune imagination politique et démunie d'idées ou de perspective pouvant aider l'Algérie, ça n'a jamais été autre chose qu'un homme de main et il ne sera jamais autre chose.

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c'est ça les reformes promis ;

Urgent. Ahmed Kerroumi retrouvé mort dans le local du MDS à Oran

L’affaire de la disparition du militant politique et membre de la CNCD-Oran, Ahmed Kerroumi, vient de connaître un dénouement tragique. En effet, le cadavre d’Ahmed Kerroumi, âgé de 53 ans, enseignant universitaire, a été retrouvé au local du MDS à Oran. Selon les premières informations qui nous sont parvenues, il s’agit bel et bien d’un assassinat. Une enquête a été ouverte pour identifier l’assassin, et aucune piste n’est exclue pour l’instant.

 

Pour rappel, Ahmed Kerroumi a disparu mardi le 19 mai. Selon son épouse, il a passé la matinée au CRASC (Centre de Recherches en Anthropologie Culturelle) où il mettait les dernières touches à un colloque qu’il préparait pour le lendemain mercredi. Vers midi, il avait reçu un coup de fil de la part d’une personne avec qui il avait fixé un rendez vous. Depuis, sa famille et ses amis n’ont plus eu de nouvelles de lui. Son assassinat a jeté l’effroi dans son entourage, et tout le monde craint un retour au sinistre temps des exécutions politiques. A suivre…

 

RAF

 

ESA|•• URGENT •• URGENT •• 14h15

 

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Ahmed Kerroumi le militant de la CNCD Oran , disparu depuis le 19 avril, a été assassiné. Son corps a été retrouvé, aujourd'hui, dans le local de son parti le MDS, à Oran. Qu'il repose en paix, que la vérité soit faite sur cet assassinat et les coupables soient punis pour cet acte abominable.

 

إنــــــا لله و إنــــا إلـــــيه راجـــــــعــــون

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